madame bovary

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LE HELLO Julie IES2 Commentaire : Madame Bovary, Flaubert Gustave Flaubert es puis mort en 1921. FI l’aide de son regard r Sni* to View rançais né en 1821 ature française ? ement des individus ainsi que la soci t . L’extrait etudi est tiré du roman ? scandale Madame Bovary paru en 1856. Cest un roman réaliste qui transmet une observation juste et ironique de la vie d’une provinciale mariée à un médecin, néanmoins ce roman fut jugé immoral lors de sa parution.

En quoi Flaubert dresse-t-il le portrait pathétique d’Emma Bovary ? Dans une première partie nous étudierons en quoi Emma est ne femme en grand désarroi, puis dans une seconde partie la relation démoralisante entre Charles et Emma. Pour débuter, nous pouvons découvrir en quoi Emma Bovary est une femme remplie d’un grand désarroi. mots lui manquaient Le narrateur externe transmet les pensées d’Emma du début de l’extrait jusqu’à la ligne 49, c’est pourquoi le narrateur a recours au discours indirect libre.

Cela lui permet de laisser un accès au lecteur aux pensées intérieures de l’héroine. En second lieu, nous allons démontrer qu’Emma a des cotés reveurs. Dés le début de l’extrait, Emma songe a son désir de lune e miel, elle décrit par ailleurs un lieu aux abords exotiques « noms sonores », « suaves paresses « au bord des golfes « citronniers ». Puis elle en vient à imaginer d’autres lieux tels que les « chalets suisses » et les « cottage écossais Nous pouvons donc remarquer que Flaubert débute une critique des romans sentimentaux.

Enfin Flaubert parvient à mêler la rêverie d’Emma au réel. Au sein de la rêverie de madame Bovary, nous pouvons remarquer que tous les sens sont sollicités par l’intermédiaire de champs lexicaux. Tout d’abord l’ouïe, « noms sonores » (1. ), « la chanson » (1. 6), « les clochettes » (1. 7) et « le bruit sourd de la cascade » (1,7). Ensuite la vue « on regarde » (1,9). puis rodorat « on respire » (1. 8). Après quoi le goût « pour en gouter la douceur » (l. 3). our conclure le toucher « les doigts confondus » (1,9). Mais Flaubert insère de même les quatre éléments ? PAG » OF d conclure le toucher « les doigts confondus » (1. 9). Mais Flaubert insère de même les quatre éléments à savoir l’eau « la cascade », « le parfum » et le feu « le la terre « sol » ‘air « on respire oleil Enfin nous allons analyser la relation démoralisante présente entre les époux Bovary. Pour commencer nous allons attester l’absence de complicité entre Charles et Emma.

Par l’intermédiaire de son témoignage nous pouvons remarquer qu’Emma Bovary s’ennuie terriblement, sa relation avec Charles ne lui apporte rien, les deux époux s’élolgnent « serait détaché de son cœUr Flaubert se moque de la situation d’Emma. Par ailleurs, il utilise un parallélisme pour rendre la situation d’Emma de plus en plus pathétique « Il la croyait heureuse ; et elle lui en oulait de ce calme si bien assis. » Pour suivre nous pouvons démontrer que Charles est un homme inintéressant. Charles apparaît comme un personnage ennuyant, il ne fait pas un bon mari et ne suscite pas d’intérêt pour Emma.

La banalité a laquelle il est rattaché le défait de toute qualité, Flaubert utilise donc des négations « sans exciter d’émotion « il n’avait jamais été ». Le démonstratif « celui-là » montre qu’Emma n’est pas attachée à son mari. Nous pouvons entre autre relever la célèbre comparaison entre n’est pas attachée à son mari. Nous pouvons entre autre relever la célèbre comparaison entre « la conversation de Charles » et « un trottoir de rue » qui marque le mépris qu’Emma détient ? l’égard de son mari. our conclure nous allons montrer que Charles est réellement Amoureux de sa femme Emma. Charles n’est pas conscient de ce que ressent Emma à son égard, « il la croyait heureuse il vit avec elle un amour le rendant béat. Cet amour se traduit par le bonheur qu’il éprouve et qui est exprimé par un champs lexical « pesanteur sereine », », « grand amusement D, « il démerveillait ». Charles « bonheur st présenté comme un personnage naïf et amoureux.

Il jouit de bonheurs simples, regarder sa femme jouer du piano lui permet de se procurer du plaisir et il finit par « s’estimer d’avantage Charles aime donc sa femme et la trouve merveilleuse. Par ce roman, Flaubert peint le portrait pathétique d’une femme prise au piège par le mariage. Charles est quelqu’un d’inintéressant qu’une femme ne peut aimer. Quelques années plus tard Flaubert écrira un roman intitulé L’éducation sentimentale qui aura aussi un grand succès et deviendra l’un des piliers de la littérature française.