Madame Bovary

essay A

Commentaire littéraire Madame Bovary de Gustave Flaubert Madame Bovary appartient au réalisme, mouvement littéraire du XIXème siècle. Cette oeuvre est de Gustave Flaubert, issu d’une famille de la petite bourgeoisie catholique et d’ancêtres protestants qui d’ailleurs se rendra compte très vite que le réalisme est une illusion, l’écriture ne peut que produire du texte et non du réel. Le roman Madame Bovary a pour titre original .

Mœurs de province, Flaubert y passe cinq ans dessus et est publié dans la Revue en octobre 1856 mai outrage à la morale p  » page et religieuse et aux b l’ouvrage sortit en lib sont jugés pour « nalement acquités, fût un véritable succés. Cette oeuvre raconte l’histoire d’Emma Rouault élevée dans un couvent, révant d’une vie luxurieuse et superficielle, elle épouse ensuite Charles Bovary étudiant de longues années en médecine mais n’est finalement qu’un médecin de campagne.

Ensuite, Emma attend un enfant, la petite Berthe et Charles quitta la ville pour s’installer à Yonville, déçue par cette vie monotone, Mme Bovary va finir par perdre espoir de cette vie toujours révée et accumulera les dettes et les amants, elle se suicidera et Swige to vie' » next page et Charles mourra de chagrin, Berthe est onfiée à une tante démunie qui la fera travailler dans une filature de coton.

Dans cet extrait qui se situe à la deuxième partie et au chapitre IX du roman (cette oeuvre comporte trois parties avec une dizaine de chapitres chacune), la scène se passe dans une forêt, Emma vient juste de quitter Rodolphe et découvre de nouveaux plaisirs interdits, on redécouvre l’héroifie, elle est enfin heureuse. Premièrement, nous allons aborder comment Flaubert va transfigure Madame Bovary dans ce passage. Ensuite, nous allons voir comment Emma se retranscrit dans ses lectures romantiques et ses personnages. ur finir, nous irons voir comment Flaubert utilise l’ironie dans le romantisme. Emma vient tout juste de quitter Rodolphe, elle découvre les plaisirs secrets des «joies de l’amour» qu’elle n’avait jamais trouvé. Flaubert cherche à montrer dans ce passage l’euphorie d’Emma et nous montre ses sentiments en utilisant le point de vue interne «les sommets du sentiments étincelaient sous sa pensées. Elle est enfin libérée, elle peut oublier sa vie avec Rodolphe, elle se sent maintenant heureuse et belle «Elle entrait dans quelque chose de merveilleux où tout serait passion, extase, délire».