Lundi 3 Novembre

essay B

Lundi 3 novembre FRANCIS-XAVIER Jéromia 4e7 IJne nuit au mois d’octobre, je falsais des recherches pour un devoir, dans un coin de la bibliothèque depuis plusieurs heures. j’étais lassée. Je sentais ma tête tomber en avant. J’entendais la pluie cogner contre les votre comme des gongs. Je tournais les pages sans faire attention à ce qui étais écrit. Tout à coup les lumières s’éteignirent et la lune éclaira la pièce. Je vis une omb brièvement mais il n’ val PACE 1 angoissée. Soudain, j er Sni* to me retournai douce ‘allais voir. Je vis une d’après. . Je me retournai c mes recherches, ur mon épaule et dait la créature que Isparut la seconde Je me retournai pour reprendre mes recherches. Je n’en croyais pas mes yeux. Je sentais man cœur battre à tout rompre. Je vis une femme, vêtue d’une robe de mariée déchirée vers le bas, que je reconnus au premier coup d’œil. Cétait ma mère, décédée trois plus tôt. Elle avait un air mélancolique. Elle me regardait de son regar Swipe to View next page regard triste. Je ne savais plus quoi faire. J’étais tétanisée de voir ma mère devant moi.

Elle me flt signe de la suivre et je ne sais pas pourquoi mais je le fis. J’étais comme hypnotisée. Je la suivis jusqu’à l’autre bout de la bibliothèque. Quand je repris connaissance, je vis que j’étais devant une table sur laquelle il y avait un livre et une bague qui ressemblait fortement à l’alliance de ma mère mais plus aucune trace de ma mère. Je pris donc la bague et la mis dans ma poche. Intriguée, j’ouvris le livre et tout à coup, tout se mit à tourner utour de moi et je m’évanouis Finstant d’après.

Je me réveillai, quelques jours plus tard, chez mon père . il me demanda ce qui m’était arrivé à la bibliothèque. Je lul dlS que je m’étais évanouie à cause de la fatigue de peur qu’il me prenne pour une folle me donna un verre d’eau et me demanda comment l’alliance de ma mère avait atterrie sur mon doigt. Quand je regardai moi doigt, je la vis et je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri. Depuis ce jour, j’ai l’impression que l’on me suis partout et tout le temps.