La mort et le malheureux
Bac francais La mort et le malheureux Zvers la4 1’appel a la mort Vers 5,6 L’arriver empreser de la mort Vers 7 a 10 refus de la mort Vers 11 a 15 moral. Faut profiter de linstant present. Le pauvre bûcheron (vers 1 à 6). – Portrait du bûcheron : c’est un pauvre homme (affectif / financier). On ne voit d’abord que son fagot ( » la ramée » ; son humanité semble écrasée sous ces branchages), et on comprend vite que c’est un vieillard aussi bien que des ans « ) qui ne peut p g se permettre d’arrêt ‘ Gémissant et cour psychologique. Rythme monotone, pesants « , pénibleme son état physique et rche » à pas – Assonances avec des nasales pesants ‘ – Il » tâchait de gagner » il a du mal. pauvreté, habitation rudimentaire. – Fin des 4ers vers : ramée » sa tâche » pesants » souffrance ‘ enfumée » misère. Enfin » conséquence logique : il po Sv. ‘ipe to ans ‘ ‘ gémissant ‘ Chaumine » » ans » son âge pose son fagot, fatigué, souffrant ; il cède à l’épuisement. Son malheur » -> le mot est enfin lâché, il reconnaît lui-même son grand désespoir. Il – Les pensées du bûcheron (v. 7 à 12). – Style indirect libre pour nous décrire l’évolution de sa vie : il n’a Jamais pris de plaisir l’épuisement lui fait oublier les joies qu’il a pu connaître dans sa vie – il n’y a pas plus pauvre que lui pas de pain, pas de repos (chiasme au vers 9). » La machine ronde » expression populaire, dénuée de philosophie. Sa famille est une charge, il ne peut la nourrir convenablement cela fait partie de son malheur (à la différence d’autres personnes qui voient la famille comme quelquechose d’agréable), de même que les soldats qui dorment chez lui car il ne peut pas payer ses impôts. – Les 4 mots du v. 10 portent un accent qui représente autant de oups assénés sur le pauvre homme. – Vers en octosyllabe (4/4) point culminant de ses malheurs : le créancier et la corvée. II est le modèle parfait du malheureux. Ill – Le bûcheron face à la Mort (v. 13 à 16). 2 est le modèle parfait du malheureux. Il appelle donc la Mort (ici la mort est considérée comme une divinité, donc le mot prend une majuscule), qui arrive très vite lorsqu’on la réclame. – Elle lui demande ce qu’il » faut faire » (comment il veut mourir). – Suspens avec l’enjambement v. 15/1 6, mais aussi avec le » dit-il – Réponse surprenante : il veut qu’elle l’aide à ramasser son fagot aurait-il peur delle lorsqu’il se trouve face à elle, et aurait-il fait marche arrière Manque de sang-froid face à la Mort, et le motif de sa venue va donc être le fagot qui traîne par terre ! Tu ne tarderas guère » il a hâte de la voir disparaitre ? présent. IV – La moralité de cette histoire (v. 16 à 20). – Morale : les hommes préfèrent la souffrance à la mort, car ils en ont peur, et c’est ce que La Fontaine méprise dans la nature humaine. La mort est une guérison, mais les hommes sont lâches. – L’esprit est clairement détaché du corps : il est en heptasyllabes. 3