Français : dimension pathétique de la mort au théâtre

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vous avez étudiees e OF4 La mort est au cent un procédé souvent Français : dimension pathétique de la mort au théâtre Premium By Arukeiz Oeapam 17. 2015 | 4 pages xxx Dissertation. Sujet : La représentation de la mort au théâtre doit-elle nécessairement avoir une dimension pathétique ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les œuvres que p g es personnelles. ns au théâtre. C’est raire, un procédé qui a différentes interprétations, qui a été utilisé pour véhiculer des messages, des sentiments différents, et pour susciter des réactions variées.

Beaucoup de ces morts véhiculent un message e tristesse, mais pour autant, la mort au théâtre doit-elle toujours être imprégnée de pathétisme ? Si nous pouvons aisément comprendre le côté pathétique de la mort théâtrale, il serait erroné d’ignorer que la mort peut être porteuse d’autres messages. C’est ce que nous analyserons ici. Ainsi, nous pouvons comprendre assez simplement que la mort au théâtre est empreinte d’un pathétisme criant.

La mort, par sa définition, est déjà quelque chose de macabre, de lugubre, qui inspire l’effroi et la peur. Le théâtre n’y échapp échappe pas. En effet, beaucoup de morts théâtrales sont pathétiques. Il convient tout d’abord de parler d’une des morts les plus pathétiques, le suicide. Le personnage, désespéré, met fin à ses jours. Cest le cas dans Phèdre de Jean Racine : rongée par la culpabilité de son amour pour Hyppolyte, Phèdre se donne la mort par le poison en confessant au préalable sa faute ? Thésée.

Le suicide engendre en outre un certain malaise, surtout si comme ici, dans une tragédie grecque, il est possible de savoir dès le début que le personnage n’échappera en aucun cas à la mort. Autre exemple de mort suicidaire extrêmement pathétique, dans Roméo et Juliette de W. Shakespeare. Roméo s’empoisonne n croyant Juliette morte, tandis que cette dernière se tue avec le poignard de son amant en le voyant mort.

Néanmoins, la mort peut être pathétique sans autant se l’infliger soi-même, il peut s’agir d’un meurtre, ou d’une condamnation. Ce dernier cas est celui présent dans Antigone de Jean Anouilh. Créon, l’oncle d’Antigone, se voit contraint à ordonner d’emmurer vivante sa nièce. Rituel auquel se plie la condamnée. Même si sa mort n’est pas vraiment due à cet emmurement, étant donné qu’elle se pend elle-même avec sa ceinture, le pathétisme est créé par l’ordre de Créon qui aura tenté de raisonner Antigone, pr 2