La mort dans la bete humaine, personnages impliques , cause et circonstance de la mort

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Introduction : La bête humaine est un livre écrit par Emile Zola au XIXème siècle. Cette œuvre littéraire illustre la vie d’un homme, Jacques Lantier, dans le milieu ferroviaire, racontant sa vie durant le trajet Paris-Le Havre aller-retour à bord de sa locomotive, la Lison, qu’il considère comme sa compagne. Dans l’extrait choisi, nous allons étudier le mal ressenti par Jacques Lantier , ce mal dont il ne trouve pas d’explication.

Alp to iew next page a) Dans un premier t de Jacques Lantier. N assez violent puisqu’i » cette répétition qu’i qu’il a commis, cepe p st er la violence du mal mal qu’il ressent est e, tuer une femme ! conscient de ce dire comme une envie extrême de la tuer et de réaliser ce fantasme. « La fièvre grandissante » ce passage montre que le personnage perçoit son mal comme une maladie, que le désir qu’il a de vouloir tuer une femme est l’élément déclencheur de son mal. ? Il avait bien prit les ciseaux pour les lui planter dans la chair » : encore une fois, le personnage de Jacques montre qu’il a conscience des faits, que c’est un acte horrible cependant il s’obstine à y repenser « une nvie telle, que, s’il ne s’était pas cramponné aux herbes, il serait retourné là-bas, en galopant, pour l’égorger » le personnage semble vouloir repenser à son fantasme, il a presque l’air de regretter de ne pas l’avoir fait mais il reprend tout de même ses esprits en s’écriant « Elle, mon Dieu !

Jacques semble tellement s’en vouloir qu’il implore Dieu, il se rend compte qui il a réellement failli tuer et il s’en veut beaucoup. b) Jacques est souvent comparé à des animaux ou à des comportements d’animaux, même Flore est certainement omparée à une proie pour Jacques, le mot « chair » est évoqué, comme si Flore était un animal que Jacques dévorait. C’est un mot qui est plutôt dans le domaine animal.

Nous avons aussi l’exemple de la phrase « loup mangeur de femmes au fond des bois » ici Jacques est comparé à un animal sauvage très réputé pour être un élément principal de croyances de populaires, qui est souvent décrit comme étant féroce et sans pitié. Le mot « galoper » fait référence au cheval, au fait qu’il est rapide donc, Jacques est ici comparé comme devenant sauvage et pouvant ?tre rapide lors de ses pulsions meurtrières.

Le narrateur lui donne l’image de « bête enragée une seconde fois une vision plutôt négative du personnage, considéré ici comme étant malade de la rage, qui donne un comportement impulsif. L’instinct animal est aussi présent à la phrase « obéissant à ses muscles Jacques est ICI comparé comme étant une énième fois Imp 2 OF s présent à la phrase « obéissant à ses muscles Jacques est ici comparé comme étant une énième fois impulsif, sa maladie semble prendre le dessus. Dans cet extrait, il y a des références à la mort assez présentes. Jacques se répète lorsqu’il dit « Tuer une femme, tuer une femme ! » ce passage est assez violent puisque le personnage semble être content de penser et vouloir le faire. Nous avons aussi « l’égorger » qui est un acte d’une extrême violence et qui mène à une mort douloureuse. Il y a le passage « un lent empoisonnement » qui est une mort lente mais quasiment indolore. Nous pouvons donc penser que l’auteur se sent en train de mourir.

Il) a) Malgré ses envies de tuer et son impulsivité, Jacques Lantier essent une réelle souffrance, notamment une souffrance physique lorsqu’il « éclata en sanglots convulsifs on a beaucoup de pitié pour lui, nous découvrons son côté sensible et la grande souffrance qu’il ressent. Mais il y a aussi une souffrance morale, il ne comprend pas pourquoi il a ces envies, il se dit même que « ce mal abominable dont il se croyait guéri » était revenu, il est prit de remords, nous pouvons entrer dans ses pensées grâce au discours indirect libre « voilà qu’il avait voulu la tuer, cette fille ! » ou « mon dieu !

Non ! ? le personnage de Jacques est sensible, il prend conscience de ses sentiments « cette Flore qu’il avait vu gran 3 OF s Jacques est sensible, il prend conscience de ses sentiments « cette Flore qu’il avait vu grandir, cette enfant sauvage dont il venait de se sentir aimé si profondément ! Il se remet beaucoup en question, il se sent différent des autres Qu’avait- il donc de différent, lorsqu’il se comparait aux autres ? il est très complexé par son mal et souffre beaucoup, cependant il est pleinement conscient de sa différence, ce qui fait de lui un ersonnage particulièrement intelligent.

Ill)a) Jacques cherche une explication, il accuse ainsi ses ancêtres, croyant qu’ils sont responsables. Il suppose que son état est notamment dû au fait que sa mère l’a eu jeune : « sa mère Gervaise, il est vrai, l’avait eu très jeune, à quinze ans… Puis il rejette ensuite cette idée car il lui revient à l’esprit qu’il n’était que le second enfant. Il se souvient que son frère est assez étrange et les personnes le prennent pour un fou à tel point qu’ils le disent « à moitié fou de son génie ».

Puis il remet ensuite en uestion le fait qu’il ne doit pas abuser de l’alcool car ça le rend fou « Pourtant, il ne buvait pas, il se refusait même un petit verre d’eau-de-vie, ayant remarqué que la moindre goutte d’alcool le rendait fou. Cependant Jacques sait que ses descendants n’étaient que des ivrognes, il dit que c’est de leur faute et que c’est lui qui en paye les conséquences « les génératio 4 OF S dit que c’est de leur faute et que c’est lui qui en paye les conséquences « les générations d’ivrognes dont il était le sang gâté », Jacques en veut alors beaucoup à tous ses ancêtres, il a ‘air d’avoir honte d’eux. ) Nous pouvons voir que le milieu social d’où vient Jacques est assez pauvre. Sa mère Gervaise qui est tombée enceinte à l’âge de quatorze ans, est quelque chose crassez rabaissant pour elle car à cette époque les femmes tombant enceinte à cet âge ne venait pas d’un milieu social bourgeois. Nous savons aussi que dans le livre L ‘Assommoir, Gervaise est une femme alcoolique. Cependant son frère s’obstinait à vouloir devenir peintre mais c’est assez contradictoire puisque les peintres étaient la plupart u temps des personnes venant d’un milieu aisé.

Néanmoins lorsque Jacques évoque toutes les générations d’ivrognes derrière lui, nous revenons à la situation de sa mère, c’est-à-dire un milieu pauvre. Conclusion : dans cet extrait, Jacques est un personnage violent, impulsif, ne pouvant contrôler ses pulsions meurtrières, il lui est d’ailleurs attribué des comportements d’animaux, cependant le personnage est prit de remords, il est très sensible à sa situation puisqu’il se remet beaucoup en question, mais pour lui le mal ne vient pas de lui mais de ses ancêtres. S OF s