la division du travail est-elle facteur de cohésion?

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oui ou non un facteu un premier temps qu sociale, puis dans un toujours un facteur d que la cohésion la division du travail est-elle facteur de cohésion? Premium By emimie23 1 Oeapan9 16, 2015 g pages La division du travail est-elle un facteur de cohésion ? Introduction : La radio Europe 1 a révélé il y a peu de temps la chose suivante ; 56% des Français vivent le travail comme une « contrainte nécessaire pour subvenir à ses besoins » plutôt qu’un « moyen de s’épanouir et donc seulement 44% le voient comme un moyen d’épanouissement.

En effet, la question de facteur de ohésion et de division du travail reste centrale dans la société aujourd’hui car chaque individu agit de manière autonome et individuelle, chaque individu recherche son émancipation mais malgré cela il n’est jamais complètement indépendant. Nous allons donc à présent nous demander si la division du travail est e tr cond nous verrons dans facteur de cohésion e le vail n’est pas ur finir nous verrons Pour commencer notre analyse nous allons tout d’abord voir que le travail peut être un facteur de cohésion sociale.

Premièrement, nous verrons que le travail est une source ‘intégration sociale. Le terme « division du travail » correspond à la spécialisation des tâches au sein d’une société, entre des individus, des métiers ou encore des groupes sociaux. En effet, le travail représente une valeur sociale et pour Emile Durkheim , la croissance de la societé conduit les individus à une interdépendance qui permet à chacun de compter l’un sur l’autre, ce q qui favorise la cohésion sociale et permet donc à l’activité humaine de se scinder ; c’est donc à partir de là que se créée cette interdépendance.

Ce brillant auteur du XIXe siècle dans on célèbre ouvrage De la Division du Travail Social de 1 893, constate la transformation de la solidarité et l’interdépendance des individus. Selon lui, la cohésion et l’intégration sociale doivent présenter trois caractéristiques différentes ; les membres du groupe social doivent avoir des interactions entre eux, ils doivent se sentir appartenir à ce groupe c’est-à-dire qu’ils ont des buts et des objectifs en commun et enfin ils doivent partager les mêmes pratiques ou croyances cela veut dire qu’ils ont une culture qui leur est commune.

On voit donc bien que l’intégration ociale amène les individus à avoir et trouver une place qui leur est propre dans la société et c’est à partir de ce moment là que l’on peut dire qu’un individu est bien « intégré » dans cette même société et cela grâce à la socialisation dans laquelle cette même personne va acquérir des normes et des valeurs tout en partageant les buts que dest fixée la société.

De plus, dans l’Antiquité le travail était totalement à l’opposé du loisir, deux termes complètement antithétiques, était vécu comme une nécessité, comme un besoin. Cependant, aujourd’hui cela bien changé car par exemple Alfred de Musset a écrit « Jours de travail ! Seuls jours où j’ai vécu !

Mais il ne reste pas le seul écrivain à dire cela car même Voltaire, grand philosophe du siècle des Lumières explique dans Candide en 1759 que « le travail éloigne de nous trois grand maux : l’en 2 éloigne de nous trois grand maux : l’ennui, le vice et le besoin (Enfin, Karl Marx affirme que le travail représente une activité sociale et qu’il faut donc tenir compte de la division du travail, qu’il ne sert plus à rien d’employer le terme « travail » mais plutôt qu’il aut savoir ce que celui-ci représente réellement. Cela prouve bien que le travail permet aux individus et cela depuis l’Antiquité de vivre, voire de survivre et surtout de créer une cohésion sociale à travers la société. Deuxièmement, nous allons voir que la division du travail assure de nombreux liens sociaux. En effet, le travail constitue un vecteur d’apprentissage et d’intériorisation de normes et de valeurs propres à la société.

En travaillant chaque jour sur un même lieu ; une entreprise par exemple, les salariés, les ouvriers vont ressentir un sentiment d’appartenance entre eux, un lien qui a se former petit à petit. De ce fait, nous pouvons en déduire que le travail conduit à la construction d’une identité personnelle et cela sur le lieu de travail des individus qui est ainsi un lieu où se façonne les identités sociales de chaque être. Par ailleurs, le lieu de travail des individus permet une sorte de sociabilité qui va fonder des liens plus ou moins forts entre eux.

De plus, le travail est un moyen de s’intégrer dans la société car on vit un quotidien qui va nous faire prendre certaines habitudes comme par exemple se lever tous les jours à la même heure pour ensuite rendre le métro, ce qui va nous permettre d’être intégrer de façon inconsciente dans un 3 ensuite prendre le métro, ce qui va nous permettre d’être intégrer de façon inconsciente dans une foule de personnes allant également travailler et vivant la même routine quotidienne.

Une étude avait été publiée par l’Insee disant que 309E des Français considéraient leurs collègues comme des amis, cette étude prouve donc bien que la division du travail assure de nombreux liens sociaux car les individus côtoient leurs collègues chaque jour et sont donc forcés de communiquer avec eux afin ‘obtenir un renseignement professionnel ou simplement afin d’échanger quelques mots ce qui peut, par la suite, entraîner des liens beaucoup plus forts que de simples liens professionnels ; des liens amicaux par exemple.

Enfin, cette division du travail provoque également un accès à la consommation car la possession d’un emploi permet à cet individu de s’intégrer sur le plan économique étant donné que celui-ci va percevoir un revenu donnant accès aux différents biens de consommation. Ce revenu mensuel perçu va permettre aux Individus d’avoir ertains loisirs tels que le cinéma par exemple ou la pratique d’un sport.

Grâce aux loisirs les individus peuvent élargir leur capital social en rencontrant de nouvelles personnes voire même en créant des liens avec ce qui va leur permettre de se sentir encore plus intégrer dans la société. Nous pouvons donc constater que la division du travail agrandit les liens sociaux qui eux-mêmes contribuent à l’intégration sociale. Cependant, nous allons à présent voir que le travail n’est pas toujours un facteur de cohésion sociale mais qu’il peut être un facteur d’inégalités. En effet, 4