Le Gargantua – Rabelais

essay A

9 sept. -14 Littérature du XVIème S Edition de Gargantua : 1535 Lecteur générique d’une œuvre c’est le lecteur auquel l’œuvre s’adresse comme genre ou sous genre particulier. Notion utile dont jouent les différentes collections. Le lecteur de 1530 lit avec ses yeux = lecture savante. Les rares lecteurs On appelle les roman voir avec le roman, *La réforme religieus » mais ils n’ont rien ? p g REPRENDRE COURS DE TERMINALE Rabelais . Né en 1494 à Chinon – mort en 1553. Certainement d’une famille aisée. Prologue

Socrate est comparé aux boites des Silènes, boites dans lesquelles se trouvent des choses fabuleuses. Or Socrate était quelqu’un de très laid physiquement, mais très beau à l’intérieur. Cette ref au banquet de Platon, sert pour Rabelais a comparer son propre ouvrage : on pourrait penser que vu de l’extérieur un lecteur qui est prêt à faire crédit à Rabelais, prêt à faire l’effort, en y cherchant quelque chose, sous la simple surface. es grandes chroniques : ensemble de tx dont il n’existe ajd pratiquement plus d’exemplaires (tout tient dans un petit olume).

Ce petit nbr de témoins, de tx apparentés à Pœuvre de Rabelais contrastent avec le nbr relativement grand de tx sur Rabelais et le Gargantua & Pantagruel. Ces tx sont narratifs (racontent des histoires). On pourrait dire qu’ils racontent tous la même histoire. Cette histoire est celle que Rabelais raconte (mm structure narrative : une naissance merveilleuse, une phase d’éducation, une étape guerrière). Ce schéma est celui du Pantagruel & du Gargantua et c’est celui des modèles de Rabelais, les grandes chroniques. ?? Le lien entre l’œuvre de rab et ces tx : la structure narrative. Au fur et à mesure de l’évolution des œuvres de Rabelais, les dialogues vont prendre une place considérable, alors que dans les grandes chroniques il n’y a pas de dialogue. Origines de ces chroniques : Elles se rattachent par quelques aspect au monde de la chevalerie : certains psgs sont communs au roman de chevalerie (roi arthur, merlin) & l’univers chevaleresque est présent (mais pas autant valoriser que des les rom de chevalerie).

Dans les rom de chevalerie il y a des éants, mais on peu dire que le monde épique dans les grandes chroniques constitue une toile de fond sur lesquelles se dvlppe(… ) Par d’autres aspec 2 OF s les grandes chroniques constitue une toile de fond sur lesquelles se dvlppe(… ) Par d’autres aspects les origines se rattaches au monde du carnaval : Le psg de gargantua est un psg carnavalesque (dans sa démesure). Les chroniques : il y a probablement ds les prénoms des origines celtiques, mais aussi le mythe arthurien. Ily a aussi probablement un certains nbr de traits de gargantua qui renvoient au mythe ‘hercule.

Ces chroniques sont très « médicalisées » et ce dans des termes suffisamment précis pour que l’on suppose de la part des rédacteurs, des connaissances qui renvoient au monde de la médecine. Û tx qui se rattachent au monde médiéval, au mythe arthurien et dhercule + termes de médecine, donc ce ne sont pas des tx directement populaire. Faut-il lire ces tx comme de la parodie des rom de chevalerie ? La chronologie de ces tx est difficile à établir : peu d’exemplaires disponibles et en mauvais état, de plus les ouvrages populaires ne apportent pas tjs la date de publication.

Lorsque Rabelais publie Pantagruel et Gargantua, il s’insère dans un courant entre les années 20 et les années 30. Rabelais est l’auteur d’une de ces chroniques « le vrai gargantua Les contemporains de Rabelais n’établissaient pas directement une distinction très nette entre les 2 romans de Rabelais et les Grandes Chroniques. Le terme de Chronique renvoi a un travail de l’historien : dimension importante de la véridicité. Intituler des histoires farfelue 3 OF s