La connaissance de soi
Mais il y a certains éléments de la connaissance de soi qui méritent d’être approfondis. Il est également nécessaire dans notre cas d’établir un lien entre ces deux connaissances et de se demander pourquoi elles ont été mises en parallèle. La. La question de la connaissance de soi est à la source même de l’existence humaine. De fait nous ne pourrions exister si nous ne nous posions pas une telle question. La pensée étant toujours en action, en définitive, l’homme ne cesse de se connaître. De plus personne ne peut nous connaître mieux que nous même.
Depuis le début de notre vie nous vivons avec nous-même et cela est indissociable. Je suis le seul à savoir ce que je ères si e toi vie nées a e La connaissance de soi premier boy merlin achoppa 07, 2009 | 6 pages spire toi vie nées page ressens, ce que je pense, ce dont je rêve, quel est mon passé dans les moindres détails et ce que j’en ai appris. J’ai un rapport direct avec ma conscience. Mais cela qui ne veut pas dire que nous nous connaissons totalement. Car pour être en symbiose avec soi-même il faudrait avant tout procéder à une mise à distance avec soi pour prendre du recul sur ce que l’on est.
Cela nous permettrait ainsi de tenter d’instaurer l’objectivité qui nous est nécessaire et en hier impossible, étant donné la trop grande proximité avec nous-même. Cependant nous pourrions nous remettre en question et progresser sur cette interrogation qui nous ronge, à savoir qui nous sommes. A partir de là, se profileraient trois problèmes majeurs. Il faudrait faire la part entre l’idéal que l’on a créer de nous-même, ce que les autres voient en nous, ce qui quelque part pourrait fausser notre opinion, et enfin ce que l’on est au plus profond de nous même.
C’est cette dernière interrogation, en somme la plus complexe à définir, qui est finalement celle que nous devrions approfondir. Nous sommes aidés par notre conscience, car ayant la capacité de réaliser que nous existons nous pouvons nous analyser. Cela pourrait nous mener à la perception de notre être. D’un autre coté l’homme peut être submergé par cet afflux de connaissance et finir par tri de connaissance et finir par trop se connaître. Ainsi il se trouve face au problème indissoluble de pouvoir dire avec une exactitude infaillible qui il est.
De plus notre raison interfère avec notre instinct faussant ainsi la première approche que nous avions suggérée. Il. Mais qu’est-ce donc que la connaissance des choses ? Ce este terme nous amène à nous demander si l’on parle du savoir ou de la compréhension totale du monde qui nous entoure. Il est certain que cette connaissance possède de nombreuses questions sans réponses. Qu’est ce que néant ? Qu’est-ce que l’infini ? Et même qu’est ce que l’univers ? Face à ces interpellations, nous pouvons nous trouver aussi désemparés que face à sa connaissance intime.
Il ne faut cependant pas perdre de vue la singularité de l’être et par conséquent la réceptivité contrastée de chacun face à un quelconque apprentissage. Cela peut paraître plus fastidieux à certains qua d’autres. Néanmoins la connaissance des choses ne serait-elle pas plus accessible que la connaissance de soi, du fait de leur avantage à détenir, pour la plupart, une définition précise ? Les choses, d’un point de vue général, n’ont pas de conscience. Elles suivent donc un schéma fixe et sont aboutisse.
Leur explication est donc plus à même d’être Elles suivent donc un schéma fixe et sont aboutisse. Leur explication est donc plus à même d’être réalisée que la connaissance de soi. En effet cette dernière est en perpétuelle évolution car l’homme ne cesse de penser, d’expérimenter. Et ce phénomène est amplifié par la notion u temps. L’homme a une capacité de renouveau, d’effacement. Chaque jour est vécu jusqu’ ce qu’il appartienne à son passé. L’homme intelligent apprend de ces erreurs.
Et même si ces dernières l’aident à mieux comprendre qui il est, paradoxalement elles le transforment, il faut dès lors recommencer son analyse. Ainsi même si la connaissance des choses apparaît comme complexe, la connaissance de soi, elle, relève de l’impossible bisexuelle ne part de rien. En effet l’homme par sa singularité n’accepte pas de schéma prédomine. L’homme à sa naissance est vierge de tout passé et seule on expérience dans la vie pourra, ne serait-ce qu’élaguer la réponse à la question de qui il est. AI. Mais ces deux questions de connaissance ne sont-elles pas liées ?
La connaissance des choses n’aide-elle pas à la connaissance de soi ? Car dans l’éventualité où je ne serais pas entouré des choses, comment pourrais-je prendre conscience de mon existence ? Les choses peuvent ainsi m’amener à me différencier d’elles. Et cela me permet de me rapprocher de moi-même. Q ainsi m’amener à me différencier d’elles. Et cela me permet de me rapprocher de moi-même. Que serait l’intimité que ‘on a créée avec soi si l’on ne pouvait différencier la solitude, de la compagnie ? Utilisant les choses je peux me définir plus aisément.
Le monde qui m’entoure me forme à la vie. AI m’aide comprendre qui je suis par les expériences qu’il admet. De même il amène à m’interroger sur ce qui me constitue. J’ai de cette manière la faculté de fixer mes limites : je sais de quoi je suis capable et jusqu’ je peux aller. Ainsi il ne faut pas opposer la connaissance des choses de la connaissance de soi. Elles sont en réalité indissociables bisexuelles se complètent. Les choses en réalité ‘existeraient pas sans notre présence puisque nous sommes les seuls à pouvoir prendre conscience qu’elles existent.