Marie antoinette reine de la mode

essay B

C’est pourquoi nous pouvons nous demander en quoi Marie-annotaient était plus particulièrement une reine de la mode qu’une reine de France? Pour répondre à cela, nous verrons que Marie-annotaient y révolutionne les codes vestimentaires mais délaisse son rôle de souveraine. Nous pouvons dire que Marie-annotaient est une reine instigatrice de modes par certains aspects. Tout d’abord Le terme « mode » au sens où nous l’employons aujourd’hui n’existait pas au temps de Marie-annotaient. L’expression a progressivement été modifiée.

Sous ce terme, on définissait de manière générale toutes les frivolités utilisées ans la confection des vêtements, ainsi que de tous les air a mode premier 11 BOY e10658 amputa 22, 2011 9 pages accessoires qui en dépendaient. A titre d’exemple,nous pouvons prendre l’extravagant engouement pour la couleur bure burlesque « puce Durant l’été 1775, Marie annotaient portait une robe de taffetas violet foncé devant lois SUIVI. Le Roi s’écria en la voyant : « Oh ! Ces la couleur des puces ! » La formule fit sensation et aussitôt les élégantes voulurent s’habiller de ce taffetas. Cette vogue s’étendit jusqu’ hommes.

Cette anecdote est révélatrice de la manière dont ne mode pouvait naître, s’imposer et disparaître – du moins dans le monde de l’aristocratie. Marie-annotaient était donc passionnée par la mode et elle voulait tellement être à la pointe de celles-ci qu’elle devint instigatrice de certaines d’entre elles. La reine pour s’assurer d’être bien la première à porter ses tenues fit réserver toutes ses nouveautés à mêle bernent exclusivement suite à un accord pris qui stipula qu’il serait interdit de les vendre, dans son magasin de Paris, jusqu’ ce que Marie annotaient les eut portées.

Citation ne et 2 Ces 2 citations nous montrent que les femmes de la cour auraient été prêtes à tout pour porter les robes de Marie- annotaient, et qu’elle était bien à l’origine de la mode et non à la suivre, en ce qu’il s’agit de ses robes, la reine était devenue un modèle, une icône de bon goût et de beauté et lui ressembler était une nécessité. Mais Marie-annotaient choque déjà par son comportement, car laisser des femmes de cour porter les mêmes tenues qu’elle n’est pas conforme aux règles étable laisser des femmes de cour porter les mêmes tenues qu’elle n’est pas conforme aux règles établies.

Chaque petits changements que la reine engendre fini par apporter e vrais bouleversements aux codes vestimentaire de l’époque. Elle ne supporte pas le corset qui est trop contraignant quand il s’agit simplement de bouger alors celle-ci s’en passe aussi souvent que possible et finira même par engendrer une nouvelle mode composée de robes toilette appelée la « gaule » ou « Chemise à la Reine » Ces robe étaient constituée d’une robe-chemise « à la créole » de mousseline blanche portée sans corset , avec des manches longues, une collerette froncée autour du décolleté et une écharpe nouée en ceinture sous la poitrine.

Ces donc une abolition de l’étiquette par le biais de la mode que Marie-annotaient n’hésite pas à franchir. Après avoir montré que la reine était une instigatrice de modes,nous allons à présent mettre en évidence qu’elle en était aussi dépendante. Parfois la reine ne déclenchait pas un phénomène de mode mais y prenait part. La mode était chez elle presque une obsession, elle cherchait à être toujours être parfaite en toute occasion, pour elle son rôle se résumait à être belle et pour cela il fallait qu’le e ait es plus belles toilettes mais aussi les plus beaux et précieux bijoux.

Pour cela elle reçoit les joailliers bohème et bassesse qui lui expose leurs créations et bijoux. Pour cela elle reçoit les joailliers bohème et bassesse qui lui expose leurs créations et lui font crédit lorsque la reine en a besoin. Cet engouement pour les bijoux est appuyé par la citation ne. Marie-annotaient se ruine donc en bijoux pour être parfaite, et l’élément apparaissant tout aussi essentiel qu’une robe c’est bien sur la coiffure.

Pour ceci la reine fait appel au coiffeur dont tout le monde parle élonger. Il se fait connaître tout d’abord par le biais de danseuses qu’il fiée , tout le monde se met à parler de ses coiffures extravagantes et originales, vient alors les dames de cours qui font mander élonger puis se fait connaître par la reine elle même et devient son coiffeur. Ce coiffeur est un artiste capillaire, il crée des coiffures toujours plus extravagantes, toujours plus colorées et invraisemblables.

Les coiffures prennent de plus en plus de hauteur au point que l’on doit rehausser les portes pour que les dames n’aient pas à se baisser et même les plafonds des théâtres. Elles prennent aussi la forme de l’événement ou de l’humeur du jour home le montre la citation ne. La mode ne s’apparente pas seulement à la parure car tant que c’est dans l’ère du temps, Marie-annotaient aime tout ce qui est en lien avec le divertissement.

Les jeux d’argent sont donc un bon moyen pour elle de divertir sa cour tout en étant à la mode, quelque soit le nouveaux moyen de s elle de divertir sa cour tout en étant à la mode, quelque soit le nouveaux moyen de se divertir la reine est prête l’essayer. C’est ce que montre la citation ne. Elle mérite donc bien son titre de reine de la mode, rien ne lui échappe en ce qu’il s’agit d’être à la pointe de ce qui ce ait de mieux et c’est dans cette aspect là que nous allons présent évoquer le cas du Petit traînant.

Pour retrouver à Versailles ce qu’elle a connu à Vienne – une vie plus détendue en famille avec ses amis , Marie- annotaient se retire souvent avec quelques privilégiés au Petit traînant (construit par lois SÈVE sous l’impulsion de sa maîtresse, Madame de pommader, qui décidera avant que celui-ci ne soit terminé, puis que lois SUIVI offrit Marie-annotaient). Dans son petit théâtre, elle joue notamment Le Barbier de sévisse de bombarderais et tient souvent des rôles de servante devant un lois SUIVI amusé.

Elle cherche donc à y intégrer les pièces les plus à la mode, comme le mariage de figera qui sera joué malgré le désaccord, en premier lieu du roi, qui finira par céder à sa femme. Le Jardin anglais, que la reine fit aménager à la place du Jardin botanique de lois SÈVE, et le Hameau où elle choisit de mener une vie proche de la nature y installant aussi des fermiers, des animaux, à la rousse, pour bien sur, suivre la mode qui était en vigueur et où nul ne pouvait pénétrer sans son invitation .

Marie-Anton suivre la mode qui était en vigueur et où nul ne pouvait pénétrer sans son invitation . Marie-annotaient ne résista pas à la mode. Elle ne l’avait d’ailleurs pas lancée. Elle fit détruire le jardin botanique que lois SÈVE avait créé, s’imagina qu’elle serait plus proche de la nature en empruntant des chemins sinueux, en faisant surgir de toute pièce un étang artificiel etc.. La promenade dans le jardin devenait un parcours surprenant, un cheminement libre puisque guidé par le seul plaisir d’aller d’une beauté l’autre.

Il avait fallu modifier tant de fois l’emplacement de l’immense rocher aux formes trouées, rugueuses, contournées, pour qu’il ait l’air naturel. La couleur n’était as en reste : tous les arbres du Jardin anglais participaient d’une même recherche de sensations colorées et surtout naturelle comme nous le montre la citation ne. Elle accorda aussi ses robes à ce mode de vie simple et naturel avec des robes de style chemise de la reine.

Mais malgré cela, à l’intérieur du petit traînant régnait tout de même un grand luxe et un style qui lui était beaucoup plus propre, fleurie, léger de couleur claires,etc.. La simplicité n’était là qu’en apparence car les meubles présents était très précieux,très travaillés. AI ne faut pas s’imaginer la inné venant choisir des objets chez un marchand mercier parisien comme on se rend aujourd’hui chez un antiquaire! C’est le Garde-meuble de la R mercier parisien comme on se rend aujourd’hui chez un antiquaire!

C’est le Garde-Meuble de la Reine qui lui proposait des maquettes, des modèles et elle désignait ce qui lui plaisait. La Cour avait autour d’elle une administration qui était l’Administration des Bâtiments. La reine mit en place sa propre administration qui s’appela le Garde-meuble de la Reine. Le goût de la reine, mais surtout le raffinement extrême, la qualité technique des modèles reposes par son administration, ont contribué à créer un des styles les plus brillants des arts français.

Donc tout ne dépendait pas de la mode en vigueur au petit traînant, certaines choses étaient bien au goût de Marie-annotaient elle même, elle avait du goût et savait d’elle même produire des chef d’?ouvre marquant la mode et les temps. Après avoir mis en évidences les révolutions de Marie- annotaient en France, nous allons voir à présent que ces révolutions furent au détriment de son rôle de souveraine et ce que cela engendra. Nous allons commencer par analyser la scène du film de sofa coupla, puis essayer de voir l’image de Marie- annotaient qui en ressort pour comprendre la suite des événements. Aminci et main. Marie annotaient est dépeinte comme frivole et dépensière à tout va, allant toujours plus loin dans l’excès pour suivre la mode n’écoutant pas vraiment ce qui peut lui être dit et ne se souciant que d’elle même et de sa petite n’écoutant pas vraiment ce qui peut lui être dit et ne se souciant que d’elle même et de sa petite cour. Les affaires du pays ne l’intéresse pas vraiment tout ce qui la touche c’est la manière dont elle sera habillée, coiffée et chaussée i une tenue est mieux qu’une autre.

Elle est montrée comme une femme insouciante et immature qui ne se rend pas compte qu’elle est reine et que son devoir n’est pas de jouir de la vie mais de se préoccuper de son peuple. Après avoir vu le tableau fait de Marie-annotaient face à la mode dans son film, nous mettons à présent en évidence que cet engouement apparaît aux yeux du peuple français comme une faute. Comme nous venons de le voir ce qui transparaît dans le caractère de la reine c’est une certaine frivolité, une propension à dépenser sans compter alors que la famine règne dans tout le pays.