innovation interne

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innovation interne Premium gy nini2215 1 27, 2014 4 Question 1 : Selon le Conseil de la science et de la technologie (1 998), quels sont les principaux facteurs de l’innovation internes à l’entreprise? Selon le Conseil de la science et de la technologie, il existe deux séries de facteurs qui agissent sur la capacité d’innovation de l’entreprise, les facteurs internes et les facteurs externes. Lorsqu’on parle de facteurs internes, nous faisons référence aux capacités de l’entreprise relative à : • l’acquisition de nouvelle technologie • l’embauche de personnel scientifique et technique

Sni* to View • l’implantation de no • la commercialisatio Pour le premier facte les dépenses des ent nisations du travail vons constaté que ébec durant les deux dernières décennies pour atteindre maintenant près de 1,3 % du PIB. C’est dans les entreprises liées aux technologies de l’information que cette progression s’est faite le plus remarquer, car elles ont multiplié par six leurs dépenses réelles. La R-D est une voie plus autonome vers l’innovation, plus difficile et plus risquée, mais éventuellement beaucoup plus rémunératrice.

Lorsqu’une entreprise désire se démarquer de la compétition, elle doit innover et pour innover, elle doit recourir à la R-D. Cest très important d’avoir de bons gestionnaires, car c’est eux qui prennent les décisions d’investir dans l’innovation. C’est aussi eux qui vont décider d’embaucher du personnel qualifié, d’investir des ressources dans la recherche et développ Swlpe to vlew next page développement, d’acquérir de nouvelles technologies, d’investir dans de la formation des employés, etc.

Sans la volonté d’innover de la part des dirigeants, les entreprises se condamnent ? oursulvre une stratégie basée sur le contrôle des coûts. Ceci a comme conséquences que les entreprises concurrentes plus innovatrices et plus dynamiques vont aller chercher plus de parts de marché. Elles vont ensuite être capables de diminuer leurs coûts et ainsi diminuer leurs prix grâce à l’innovation.

Dans le texte parlant de la gestion de l’innovation en réseau (Texte 2), nous pouvons voir que le progrès de l’industrie des ordinateurs affecte profondément le rôle de la R-D. En 2000, nous ne pouvions plus nous contenter de développer de nouveaux roduits, nous devons aussi repérer les nouvelles technologies susceptibles d’apporter un atout à l’entreprise et nous assurer de pouvoir les intégrer effectivement afin de gagner du temps et réduire les coûts de production.

Pour le deuxième facteur, durant les années 80, le Québec était très en retard face à l’acquisition de nouvelles technologies. Par la suite, les entreprises ont fait l’acquisition de technologie de pointe et il y a eu un progres notable. Les entreprises du Québec ont réussi à combler le retard en dix ans aussi bien dans le secteur anufacturier que dans les services. Ce qui est exceptionnel dans un contexte économique très difficile.

Dans le texte de Thierry Weil et Florence Durieux, nous pouvons constater le virement technologique à partir des années 2000, « les experts techniques n’ont plus comme fonction unique de développer eux-mêmes PAG » OF d « les experts techniques n’ont plus comme fonction unique de développer eux-mêmes de nouvelles technologies dont l’intégration dans des produits et des procédés procurera un avantage concurrentiel à l’entreprlse, mais de repérer es technologies, et de s’assurer la capacité de les intégrer efficacement. ? Pour le troisième facteur, nous savons qu’un des principaux obstacles à l’innovation est la pénurie de personnel compétent. Nous constatons que la proportion d’emploi scientifique et technique en regard de l’emploi total a fortement progressé au Québec de 1971 à 1996. Elle a plus que doublé, passant de 2. 4 % à 5. 3 % pour être équlvalente à Fontario. par contre, le manque d’ingénieurs dans les entreprises du Québec constitue un enjeu tres important pour l’économie, en particulier pour es PME manufacturières.

La présence d’ingénieurs et de techniciens est primordiale, car ce sont eux qui font la veille technologique, l’établissement et les liens avec les chercheurs de l’extérieur, la recherche, le développement et la mise au point des nouveaux procédés et produits. La maitrise des nouvelles technologies exige aussi que les employés soient adéquatement formés. Le gouvernement a créé un programme de soutien ? l’emploi stratégique pour favoriser l’embauche de techniciens, d’ingénieurs et de scientifiques. L’innovation est aussi un processus collectif.

La réussite de ‘innovation ne dépend pas seulement des équipes de recherche et développement, mais elle fait aussi appel aux compétences et à la participation de toute la variété des compétences impliquées dans la production et la mise en marché du participation de toute la variété des compétences impliquées dans la production et la mise en marché du futur produit : design, marketing, financement, commercialisation, etc. Pour le quatrième facteur de réussite, il y a une progression très lente en terme d’adoption de nouvelles méthodes de travail au Québec.

Dans le texte sur la gestion de l’innovation en éseaux, nous pouvons constater qu’à partir des années 2000, le changement apporté par les réseaux oblige les organisations à faire des changements organisationnels importants, avec une séparation des tâches entre la recherche, l’intégration et le développement. Pour le cinquième facteur de réussite, la capacité de commercialiser ses produits est déterminante pour la survie et la croissance des entreprises. À l’ère de la mondialisation, l’entreprise doit être capable de se vendre sur le marché international si elle veut être en mesure d’offrir des produits de qualité.

Elle doit être capable d’affronter la concurrence nationale et internationale afin de pénétrer les marchés mondiaux. Les entreprises québécoises ont de plus en plus de succès ? l’étranger et en particulier sur le marché américain. par contre, les entreprises ont souvent des lacunes très importantes au niveau de la compétence du personnel, de la connaissance des marchés et des réseaux de services. C’est pourquoi le gouvernement du Québec soutient les entreprises dans leurs efforts d’exportation en versant une aide financière à l’embauche de personnel spécialisé en marketing international.