Herve Bazin Vip re au poing Expos

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Hervé Bazin – Présentation Hervé Bazin est un écrivain et poète né à l’Ouest de la France, plus précisément à Angers le 17 avril 1911. Il est issu d’une famille plutôt aisée. Son père, portant le nom de Jaques Hervé-Bazin est avocat alors que sa mère, Paule Guilloteaux est fille de sénateur. La relatlon entre sa mère et lui est très tendue, en raison du caractère sévère et froid de cette dernière. Cest aussi pour cette raison, qu’il fuguera a maintes reprises de la maison, durant son adolescence.

Finalement, il finit par couper totalement les liens entre sa famille et lui en allant rejoindre la faculté de la Sorbonne. En 1949, il s’engage en tant que militant dans « Le mouvement de la paix mouvement d’extrême gauche. Cest quelques années plus tard, en dénonçant le piètre é côtoyée quelques an es Snipe to View route dont il sortit a de littérature de Mon nquête complète triques, qu’il avait un accident de la ient le « Grand prix dation Prince-Pierre, fondation présidé par la princesse de Hanovre.

En 1973, il devint président de l’académie Goncourt. A la même période, il apparut dans « Italiques une émission de télévision française. En 1980, il obtint le prix de littérature Lénine, étant l’une des plus hautes istinctions accordées Swipe to View next page accordées du temps de l’Union soviétique. Il s’éteint le 17 février 1996 et fut enterré au cimetière de Cunault. Vipère au poing – Présentation • Vipére au poing est le premier roman d’Hervé Bazin, publié en 1948.

Cette œuvre est un roman autobiographique d’Hervé Bazin, dont la jeunesse est décrite dans le livre a travers le personnage de Jean Rezeau aussi surnommé grasse-Bouillon. Dans son œuvre, L’auteur a attribué a la majorité des membres de sa famille, le même prénom qu’ils portent réellement (ex : pour la mère, le père, la grand-mère etc. L’œuvre a été adaptée deux fois à l’écran, une fois en 1971, par Pierre Cardinal et une autre fois en 2004 par Philippe de Broca.

Vipère au Poing-Résumé A leur jeune âge, Ferdinand et Jean sont élevés par leur grand- mère, qui même qu’un peu sévère, les aime et veille sur eux. Ils habitent une très grande maison qui est un héritage familial. On la nomme « la belle angerie » qui est une déformation flatteuse de « la boulangerie La Maison, bien qu’immense, est située dans un endroit sale et pauvre. Peu après la communion solennelle de Frédie, la grand-mère meurt subitement et es enfants sont alors confiés à leur mère, Paule et à leur père, Jaques.

Le jour de leurs retrouvailles, les deux frères voulant embrasser leur mère, ne récoltent d’elle que soufflets et grondements. C’est d’ailleurs, à ce moment qu’ils font la connaissance de leur frère, Marcel (surnommé Cropette) qui vivait jusque là en Chine, endroit ou le leur frère, Marcel (surnommé Cropette) qui vivait jusque là en Chine, endroit ou le père travaillait. La famille s’installe dans « la belle angerie » et c’est alors que commencent les ennuis. Paule ne cesse d’inventer de nouvelles ègles et de trouver n’importe quel prétexte pour punir et maltraiter ses enfants.

Jaques, le père de son côté, n’intervient pas entre la mère et ses fils. Les trois frères, eux inventent des manigances afin de se venger à leur manière de leur mère, en par exemple, la fixant des yeux tout au long du repas. Ils essaient même de l’empoisonner. Domestiques et abbés sont instantanément renvoyés par la mère lorsqu’ils essayent de défendre les enfants. Frédie nommera même sa mère Folcoche, étant un mélange entre folle et cochonne. Entre autre, la mère souffre de crises hépatiques et faillit mourir à plusieurs reprises. an finit par fuguer vers paris, se refugiant chez ses grands parents. Son père le rejoint et le ramène à la Maison. Jean est attiré par une jeune fille appelée Madeleine, fille avec qui il aura une relation sexuelle. Vers la fin, Jean lutte contre sa mère verbalement et physiquement (rend quelques coups à sa mère). Dans les dernières pages, II annonce sa victoire face à Folcoche. Il la compare, comme au début du texte a une vipère. Mais cette vipére, il l’a vaincu et la brandit avec fierté.

Vipère au poing – Points importants : -roman autobiographique auteur narrateur = personnage Famille bourgeoise habitant une vieille demeur autobiographique auteur narrateur personnage -Famille bourgeoise habitant une vieille demeure surnommée « La Belle Angerie habitation humide et délabrée et qui rappelle un vieux château, entouré par les paysans. -violence physique et psychologique. -succession de nombreux précepteurs chargés de l’éducation des enfants. -humiliation et propos vexatoires. enfant soumis aux humiliations (tonde) et brimades. -sous-alimentation, confiscations, fouilles, pas de chauffage, pas d’oreiller, chaussettes et vêtements changés chaque six mois. instauration de la confession familiale quotidienne. A cette occasion, Marcel joue les délateurs. Suite à cela, Frédie, rebaptise sa mère Folcoche. -Frédie et Jean jouent au jeu de la pistolétade, jeu qui consiste ? mitrailler leur mère des yeux lors du dîner, ce qui permet à Jean de crier sa haine (non-dit) au visage de mère. Ils ont essayé de l’empoisonner à la Belladone, rien n’y fit, elle s’entire avec une colique. Nouvelle tentative, ils voulaient la laisser se noyer, mais peine perdue. -Tombée malade, Falcoche souffre de troubles hépatiques. Quelques années plus tard, elle retombe à nouveau gravement alade et doit s’absenter pour environ un mois afin d’être hospitalisée. Pendant ce temps, les enfants constituent une réserve de nourriture, vetements. Finalement elle a survécut. -Partis avec leur père en voyage, Folcoche découvre la cachette grâce à l’aide de Crapette, le délateur.

A leur retour, la guerre est déclarée PAGF la cachette grâce à l’aide de Crapette, le délateur. A leur retour, la guerre est déclarée entre Paul et Brasse Bouillon. La mère frappe Jean et ce dernier se révolte et lui rend quelques coups. -Les enfants se plaignent plus de l’injustice qu’ils subissent que e la rigidité de leur mère et perdent ainsi toute confiance en l’éducation parentale. -Elle a semé dans leurs cœurs, et plus particulièrement dans celui Jean, la haine a la place de l’amour. Plus les enfants grandissent, plus l’emprise de Folcoche sur eux commence à s’affaiblir. -Jean finit par fuguer et se refugie à Paris, chez ses grands-parents maternels. Son père le ramène. Il affronte sa mère qui se rend compte du changement opéré dans le comportement se son fils. -Folcoche sentant que son emprise physique sur Jean vacille, elle décide, suite à l’incident du portefeuille, supposé volé par Brasse Bouillon, ainsi donc découvert par ce dernier, de l’envoyer en maison de correction.

Jean en lui rendant le portefeuille, lui fait comprendre qu’il a suivi des le début son manège afin de l’accabler. N’ayant pas d’autre choix, elle décide en commun accord avec Brasse Bouillon de l’envoyer au collège. -Jean, au cours de la cérémonie du grand oncle académicien annonce la naissance du monde ouvrier. Vipère au poing – Analyse : -Relation ambigüe et paradoxale entre mère et fils. L’œuvre de Folcoche est si dévastatrice qu’ils arrivent a admire leur tortionnaire : énergie, talent de comédienne ; Ils ont un gout perver