Fuite de cerveaux
Selon fanera célestes dans son article intitulé « l’affaire francophone, la question des diplômes et la fuite des cerveaux » paru sur telles-congé, il précise, A partir des années soixante dix, l’UNES a pris des initiatives au sujet des harmonisation des différents systèmes de formation internationale, afin de permettre l’ensemble de ces universités à se relier entre elles. C’est ainsi, qu’ont été élaborées des conventions régionales pour la reconnaissance des études et des titres de l’enseignement supérieur.
A l’heure de la monopolisation, il nous faut distinguer les cas ci-dessus à la réalité d’une entreprise, les entreprises se fonderaient notamment sur des données ou des réputations de certaines grandes écoles de formation, c’est pourquoi, nous assistons actuellement, à une meilleure cotation à travers le monde, des diplômes en Informatiques des universités indiennes dans les grandes entreprises dans le monde. Delà des migrations pour les buts universitaires, recherches et projets, le problème crucial des états africains est dans son incapacité à ne pas maintenir es citoyens ou les attirer vers leurs pays.
Les sommes colossales dépensée par les états africains, semblent être gaspillées : car, on forme pour les autres. Finalement ce phénomène compromet aux africains compétents de servir au développement de leurs pays. La fuite de cerveaux se caractérise, le plus souvent par le chômage, le manque du bien être social, les états africains disposent déjà à l’intérieur un chômage important, une jeunesse diplômé et dés?ouvre qu’on ne peut donner au plus grand nombre un travail décent.
Le manque de la bonne gouvernante, qui se réduit par le népotisme, le manque de mérite, le tribales et le faciès dans certains pays, conditionnent d’autres citoyens à quitter son pays. Lorsque nous parlons des cerveaux, nous avons l’habitude de nous définir sur des diplômes universitaires, or, les états africains se trouvent encore aux étapes en voie de développement, Est-il possible ces états d’utiliser convenablement ces diplômes universitaires ? Autrement dit, ne pouvant pas les produire la qualité selon la satisfaction client, dans ces conditions les ouvriers hautement qualifiés constituent n socle important de cerveaux pour le développement d’un pays. Par conséquent, un pays qui n’arrive pas résorber le chômage des jeunes, voient ces ouvriers qualifiés fuir leur pays, c’est le cas du pourtour pendant la dictature, des ouvriers qualifiés du bâtiment quittaient leur pays pour d’autres états européens.
étant donné que le problème des migrations est un problème mondial et de ressources financières, les pays développés seront toujours attractifs, car l’européen qui a besoin de la main d’?ouvre, dans les secteurs où il souffre du manque de main d’?ouvre local, pourront jours engagés des africains diplômés ou non, qui auront besoin de travailler, à cause du manque de travail dans leurs pays.
Aujourd’hui, la baisse de taux de natalité dans les pays occidentaux, nécessitera, demain, une demande importante de main d’?ouvre étrangère, cette main d’?ouvre étrangère sera probablement fournie par les pays qui n’arrivent pas à donner du travail à leurs citoyens, les cerveaux africains ne résisteront pas à cet appel. Certains pays étrangers se sont lancés dans la publicité économiques, les dictatures, la mauvaise gouvernante, e manque de bien être social, l’exil forcé des intellectuels et des ouvriers. ) CAUSES DU NON RETOUR DES CERVEAUX AFRICAINS : Après leurs études à l’étranger, certains étudiants africains, choisissent le chemin de la liberté d’expression et des critiques contre la mauvaise gouvernante, tout de suite, ils deviennent aux yeux des régimes locaux dictatoriaux comme des dangereux à rechercher. Pour ne pas exposer leurs vies en danger, s’ils retournent dans leurs pays, nombreux de ses ex-étudiants diplômés, préfèrent rester et y travailler à l’étranger.
Selon Monsieur chercher jalon de l’Organisation Internationale de Migrations (MOI), le durcissement sur qui peut se traduire par des chocs culturels : On a du mal par exemple, a supporter la dictature, on du mal à supporter l’incompréhension, tant avec ses citoyens, qu’avec les dirigeants. D’autres, ayant poursuivis des filières, qui n’ont aucun débouché dans leurs pays, la peur de se retrouver au chômage, les contraint de rester travailler dans son domaine dans le pays d’accueil, souvent, en vue d’épanouissement, à partir de son métier qu’il a appris et qu’il aime.
AI est aussi, intéressant de comprendre que l’homme est à la quête de la réussite sociale, surtout après ses études, mais les pays africains n’offrent pas beaucoup de possibilités attractives, pour leurs citoyens en fin d’étude, les dictatures africaines ont montré leurs incapacités et insuffisance, à ne pas pouvoir, sortir l’affaire du sous développement depuis les indépendances et y voient sur les expressions contradictoires de leurs citoyens comme un moyen de porter atteinte au régime.
Les conditions sociales en affaire : les rémunérations, les métiers, les conditions de travail ne sont pas améliorées, comme en Occident, qui prouvent que ces phénomènes de fuite de nos cerveaux seront difficiles, conflits armés et services sociaux inadaptés. 4) CONSÉQUENCES COLLATÉRALES : Les conséquences latérales sont multiformes : Les pays manqueront, inéluctablement, d’un capital humain de matières grises locales, suffisant pour faire face aux défis, tels que l’éducation, la lutte contre les maladies ou la lutte contre la pauvreté.
Avec l’exode de ses cerveaux, les pays africains souffrent du capital humain insuffisant, de matières grises, qui normalement s’avère aussi, efficace, en arme de propositions locales, de formation d’élites locales ou des cadres, pour permettre la continuité du savoir et de la connaissance, et donc, s’assurer de la rémunérateurs, ce qui permet de réaliser à court terme, la réalisation de la valeur ajoutée de certaines entreprises malveillantes, en exemple, certaines entreprises recrutent des africains à des postes moins qualifiés et au fil des temps, on lui confie des taches qui nécessitent des connaissances.
L’administration française aussi, est sur la ligne de mire, elle ne rémunère pas au même niveau les diplômes étrangers t les diplômes français dans l’enseignement et surtout dans la médecine. Dans ces deux cas, la fuite des cerveaux devient un désastre, pour l’individu surtout, sur le plan psychologique L’émigration et l’immigration, n’ pas que d’effets négatifs pour le pays exportateur, comme pour le pays de destination, elle se présente à la fois, comme, une richesse incontrôlable.
La chiné, par exemple, avec son plus de milliards d’âme, voit la prolifération de ses ressortissants, au quatre coins du monde, ces chinois, contribue au dynamisme et au développement de ‘économie chinoise, par une représentation commerciale et économique des produits chinois et par l’envoie des économies pour nourrir leurs familles pauvres et en contre partie le pays d’accueil peut bénéficier du dynamisme chinois. Concernant l’immigration africaine en Occident, nous découvrons des phénomènes comparables, les ressortissants malins par exemple, s’organisent autour écoles etc……
Pendant la campagne électorale, le Gouvernement malin réélu avait promis, protéger et défendre l’immigration malsaine. On observe à travers le monde entier, de l’organisation es immigrés de même origine en communauté, essentiellement, qui établissent des rapports avec leurs pays d’origine, ainsi, la diaspora africaine par exemple s’organise autour des associations ou ANGON, qui sont actives en affaire à diverses fins : échange, apport du savoir, entraide.