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essay B

l’expression lyrique de son poeme la tonalite general est celle de l’enthousiasme qui se traduit par un rythme vif se sont les decasyllabes qui forment une seccession de proposition le rythme est tres varie v 10 11 12 ensuite les enumerations v 10 11 17 18 25 creent un phenomene d’accumulation enfain les exclamations au v 21 36sont les veritables cri de ravissement et de satisfaction et concernant rousseau, il evoque son bonheur avec les terme de la vie paisible ,de la nature de sa promenade sur l’ile isolee(de saint pierre au milieu du lac de bienne) a la 12 m’a rendu si véritable francais Premium

By saralatolle-ag ’16, 2015 7 pages Corpus introduction deja faite suite du corpus : pour commencer victor hugo nous propose sa vision du bohneur pour lui il dit dans le simple fait d’exixter dans la vie que Dieu lui a donné lui et aux hommes est son bonheur,au v2 le bonheur o mon dieu vous me l’avez donne mais cette conception s’oppose a celle du philosophe voltaire qui affirme sa these:il sagit d’un eloge de l’age de fer et to vien « ext d’une critique de l’ag materiels peut etre meme la mollesse to s’explique que le lux auv 11 la proprete g les • p g rise du besoins j’aime le luxe et toute espece il és(livres) nous son bonheur véritablement heureux,„1 6 tres agreable et situe pour le bonheur d’un homme qui aime se limiter,ici le narrateur presente l’image du bonheur vecu et ensuite une analyse de ce sentiment,pour lui le bonheur il est synonyme de la nature d’ou laquelle lui sert de refuge par y rever a son aise, cependant chez hugo on remarque son langage soutenu, mais encore hugo utilise des metaphores procedes qui consiste a donner a un mot un sens que l’on attribue generalement a un autre lorsqu’il dit par ex voir blanchlr nos cheveux et tomber nos annees v 36 v38 le poete utilise aussi l’antithese au v44 on y voit une image qui epresente d’un cote le debut de la VIe la naissance(berceau) et de l’autre la mort(plein ombre)on apercoit bien le traditionalisme de son poeme car il repente la vie en effet le debut nous fait penser a la naissance v3 a l’oppose de la fin qui elle nous montre la mort mourir en regrettant la vieillesse et la vie! ependant voltaire a bien compris et l’affirme que le bonheur est lie au progres de la civilisation et pour rajouter cet auteur nous dit je rend grace a la nature sage qui ma fait naitre en cet age nous pouvons dire que la nature est genereuse que la nature est un tresor que la nature est corrige ar l’homme par des luxes vestimentaires„, dans l’automne grace a ce poeme lyrique victor hugo nous expose sa propre conception du bonheur ou le lyrisme du po 2 lyrique victor hugo nous expose sa propre conception du bonheur ou le lyrisme du poete reflete une conception assez positive de la dans les reveries du promeneur solitaire les perceptions visuelles et auditives sont récurrentes elle rencontre entre 2 solitudes la sienne et celle du paysage, en tous cas rousseau c’est different pour lui il a une harmonie avec le paysage un rythme lent une ponctuation sineuse nombreuses alliterations de consonnes(l,n,m) et voyelles sons ouverts des particiês presents et des verbes infinitif tous ces elements participent a une synesthesie sensorielle au dernier paragraphe l’auteur evoque un caractere de bonheur grace aux souvenirs une remémoration 3 forum de Davos que vous n’etes pas du tous en accord sur l’idee que la maitrise des besoins materiels de chacun peut etre la voie qui conduira au bonheur? etes vous conscient de ce que vous dites jespere vraiment que je me trompe je vous accuser a tort n’est ce pas dans le mondain de voltaire de 1736 ou cet auteur nous dit bien cela v 9 IO,quoi vous dites que voltaire c’est ce qu’il ense mais vous n’etes pas obliger d’etre aussi en accord avec lui? je comprend nous n’avons pas les meme avis opinions mais sur cela a propos des besoins materiels c’est logiques nous en avons besoins pour notre bonheur, pour que notre vie A la fin le bonheur se définit comme l’état essentiellement moral atteint par l’homme lorsque ses besoins sont comblés.

Avoir besoin, c’est désirer, et désirer c’est se trouver frustré, c’est souffrir, c’est ne pas être heureux. Il est donc essentiel à l’homme de répondre au mieux à ses besoins s’il veut connaître le bonheur. Nous vivons, par ailleurs, dans une société post- industrielle éveloppée qui semble s’attacher principalement à la production, l’acquisition et Futilisation de biens matériels. On peut alors se demander si la recherche et l’utilisation de toujours plus d’objets, de machines qui caractérise nombre de nos contemporains satisfait leinement l’homme et le conduit ? être heureux. 4 pleinement l’homme et le conduit à être heureux. n considère le plus communément dans nos sociétés que la satisfaction pleine et entière de vivre est liée surtout au développement autour de nous, en quantité comme en qualité, des objets produits par l’activité humaine et liés à l’essor ?conomique et industriel. On note d’abord que l’homme, produit lui- même de la nature, s’efforce pourtant de s’en détacher de façon à mieux la dominer pour lui survivre. Ainsi, le bonheur serait lié aux progrès techniques et à la maîtrise de données (telephone portables) matérielles que nous pensons propres à nous protéger de la nature et de sa rudesse. Selon Voltaire, par exemple, dans Le Mondain, l’homme est davantage heureux pendant la période de l’âge de fer que pendant celle de l’âge d’or.

Autrement dit, pour le philosophe des Lumières, le bonheur de l’homme est susceptible ‘être plus grand depuis l’industrialisation que pendant les premiers âges de l’humanité puisque l’homme n’a plus à souffrir ni du froid, ni de la faim mais il peut jouir au contraire d’une bonne chaire, de bons vins, par exemple. Il peut se vêtir. A mon sens, il faut aborder cette question avec pragmatisme. Le bonheur,n’est-ce pas la satisfaction des besoins ? Je pense notamment aux besoins matériels. J’ai relu récemment un poème de Voltaire, Le Mondain, qui exprime à peu près ce que je pense : a la fin c’est I S c’est la matière qui nous satisfait, la possession d’un bien être matériel. Elle nous pousse à désirer toujours plus et nous entraîne dans le cercle vertueux du progrès, qui produit une abondance toujours accrue, créant des besoins que le progrès cherche à satisfaire.

Ainsi nous sommes toujours à la poursuite de quelque chose, poussés par un désir de posséder un nouvel agrément, ce qui est nécessaire à notre motivation, et notre monde progresse techniquement, se perfectionne, s’embellit. Le mouvement, toujours le mouvement, issu du désir ! Je ne crois qu’à cela.. Madame du Châtelet, dame très cultivée du XVIIIe siècle prônait elle-même le plaisir et les passions sans limites, et s’adonnait aux eux, aux arts et autres occupations de son époque. Elle écrit alors son Discours sur le bonheur, et s’attire les foudres de ceux qu’elle appelle les moralistes. Je partage son raisonnement, puisqu’en effet, les passions sont à vivre sans restriction si l’on ne veut pas finir savie dans le regret d’avoir raté certaines occasions ayant pu nous apporter le bonheur.

De plus, Voltaire a réussi à démontrer que la présence quotidienne des biens matériels dans nos vies était utile ce ke l’assemble pense Selon Saint-Exupéry, l’accu iens matériels est Saint-Exupéry, l’accumulation de biens matériels est assimilée ? ne prison pour l’être humain. A partir de ceci on peut se poser un certains nombre de question dont celle-ci : En quoi l’homme s’enferme-t-il en accumulant des biens matériels et quels en seraient donc les biens alternatifs qui nous permettraient de vivre pleinement ? Pour commencer, on peut dire que l’argent perçu pour un travaille effectué (salaire) est utilisé pour des achats d’objets et de choses inutiles ce qui dévalorise la fonction première du travail. En effet, l’homme travaille afin de subvenir à ses besoins matériels.

Certes afin de combler ses besoins vitaux mais aussi ? e procurer des biens qui sont loin d’être nécessaires à la vie et qui enferment donc l’homme et l’empêche de profiter de toutes sortes de choses simples que la vie nous offre. ce que l’assemble pense Le bonheur, c’est plutôt un cheminement à travers des épreuves et des expériences. Cela nous ramène à cette question persistante : « Faut-il être malheureux pour pouvoir être heureux?  » Personnellement, je pense que la plupart des personnes de notre société doivent passer par là pour connaitre le vrai bonheur, un bonheur durable. Car un bonheur matériel n’est pas durable, il faut sans cesse le renouveler.