Comment réaliser son m moire ou sa thèse

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LE MEMOIRE DE FIN D’ETUDE A L’ ESBEA Comment réaliser son mémoire ou sa thèse extraits adaptés du livre( Mongeau Pierre, Réaliser son mémoire ou sa thèse, côté jeans, côté tenue de soirée, Presses de l’Université du Québec , 2008) e mémoire de fin d’étude à ESBEA doit comprendre (40 à 50 Pages) en totalité, se divisant en partie théorique de 20 pages et en projet artistique de (20 à30 S) au maximum. Nous tenterons de 3 le mémoire selon les wipe next page quelques détails po chaq Le corps du texte co Introduction (2 parties composant ternationales avec e MRA D

Méthodologie et choix des outils, concepts de recherche (10 S) Résultat (correspondant au projet artistique) (25pages) Discussion (2 pages) Conclusion (1 page) Bibliographie et annexes (Spages) A) LE PROCESSUS DE RECHERCHE 1. LE DÉMARRAGE ET ses SURPRISES 1. 1. Effectuer la recherche documentaire Le premier mouvement : inventorier diffusion La poursuite Les demandes de corrections sont normales B) REMARQUES SUR LA FORME RELATIVES AUX POINTS SUIVANTS : Les pages liminaires (Table des matières, les listes, le résumé) la mise en page, les citations Les notes de bas de page Le style

Les qualificatifs 1) LES S LIMINAIRES Les pages liminaires correspondent à l’ensemble des pages qui précèdent le texte principal. Elles comprennent : la page de titre, les remerciements (s’il y a lieu), l’avant-propos qui est facultatif ; la table des matières ; la liste des figures (s’il y a lieu) ; la liste des tableaux (s’ily a lieu) ; la liste des abréviations, sigles et acronymes (s’il y a lieu) ; la liste des différents symboles utilisés (s’il y a lieu) ; et le résumé, lequel est suivi de mots clés.

Ces pages sont rédigées à la fin du travail La table des matières Généralement, la table des matières couvre trois niveaux : le titre de la section et deux niveaux inférieurs. Elle comprend toutes les parties du mémoire, y compris, s’il y a lieu, la liste des figures, la liste des tableaux, la liste des abréviations, la liste des symboles et le résumé. Seuls les remerciements et la table des matières elle- même n’y apparaissent pas.

Les listes Les différentes listes des figures, tableaux, abréviations et symboles utilisés doivent être lacées, s’il y a lieu, sur des pages distinctes et avant le corp s comprennent le 23 que toute forme d’illustration qui n’est pas composée de colonnes t de rangées est considérée comme une figure, tandis que toutes celles qui sont composées de colonnes et de rangées sont considérées comme des tableaux. Quant à la liste des abréviations, des sigles et des acronymes, elle doit être minimale et ne comprendre que les abréviations, sigles et acronymes les plus courants et connus.

Autrement, on écrit toujours le nom au complet. La règle est ici de faciliter la lecture plutôt que l’écriture. Dans cet esprit, il est d’usage décrire le nom au complet suivi de l’abréviation, du sigle ou de l’acronyme entre parenthèses, lors de a première apparition dans le texte 2)LE RESUME PRINCIPAL Habituellement, tout rapport de recherche est accompagné d’un résumé. Le mémoire de maitrise et la thèse de doctorat ne font pas exception. Ce résumé doit aider la lectrice ou le lecteur à se faire rapidement une idée exacte du contenu.

La structure de ce résumé est relativement standard. Celui-ci débute généralement par une phrase ou deux qui situent la problématique étudiée. Suivent les éléments principaux qui ont conduit à la formulation des objectifs, des questions ou des hypothèses formulés. Lesquels sont très brièvement annoncés. La démarche de recherche et l’angle d’approche de la recherche sont ensuite présentés dans leurs grandes lignes. Finalement, le résumé se termine sur les principaux résultats et les grandes conclusions de notre travail, y compris les nouvelles pistes de recherche proposées.

Le défi est de réussir à dire tout cela en moins de cinq cents mots et même, idéalement, en moins de deux cents mots. Cinq mots clés caractérisant la recherche sont généralement placés immédiatement sou cents mots. Cinq mots clés caractérisant la recherche sont généralement placés immédiatement sous le résumé. Ces mots clés sont choisis de manière à évoquer, selon leur pertinence, l’objet, l’échantillon, la méthode et les résultats. 3)LA MISE EN La mise en page est la partie où les spécificités locales sont les plus nombreuses.

Il est donc important de vérifier les normes en vigueur dans notre établissement. Toutefois, certains principes généraux sont relativement constants. Ainsi, les pages liminaires sont habituellement paginées en chiffres romains avec les lettres minuscules. Les premières pages de chaque section ne sont pas paginées, mais elles sont comptabilisées. Le reste du texte st paginé en chiffres arabes (tout, y compris les annexes, les références, etc. ). Les figures et les tableaux n’apparaissent qu’après avoir été mentionnés dans le texte. Ils sont généralement insérés au haut ou au bas d’une page.

Sil y a lieu, la référence du tableau ou de la figure doit être indiquée selon la même méthode que celle employée dans le reste du texte. Le renvoi aux tableaux et aux figures se fait sous la forme (tableau 2. 1 ) ou (voir le tableau 2. 1) ou directement dans le texte : « La figure 2. 1 montre la relation… Les figures et les tableaux sont numérotés selon la éthode pseudo décimale où le chiffre avant le point correspond au chapitre et celui après le point à l’ordre d’apparition dans le chapitre. Les numérotations des figures et des tableaux sont distinctes.

Le numéro et le titre sont placés au-dessous de la figure, ceux des tableaux sont placés au-dessus. Le résumé, les sommaires de chapitre, les citations, la liste des références, les notes de bas de page sont habituelleme 4 23 sommaires de chapitre, les citations, la liste des références, les notes de bas de page sont habituellement imprimées à un interligne et demi. Les remerciements, la table des matières, es listes et corps du texte sont quant à eux imprimés avec un interligne double. Les marges du document sont assez larges : 4 cm au haut de la page ; 3 cm au bas ; 4 cm à gauche et 3 cm ? droite.

Rappelons toutefois que ces normes varient grandement et qu’elles doivent être vérifiées avant de commencer la mise en forme. 4) LES CITATIONS Généralement, on ne rapporte le texte même d’une citation que lorsque les mots ou la formulation de l’auteur ont un sens par rapport à l’argumentation développée. Autrement, on reprend l’idée dans ses propos mots et on indique la source selon la éthode privilégiée par l’université. L’une des méthodes les plus répandues est la méthode auteur-date. Les citations courtes, c’est à-dire de moins de trois lignes, sont placées entre guillemets (chevrons).

Les citations plus longues sont placées en retrait ? simple interligne et sans guillemets. Les citations de plus d’une page doivent être placées en annexe. On indique les omissions dans les citations à l’aide du signe « Au-delà de ces spécificités de chaque méthode de citation, I importe de respecter une même règle de façon cohérente dans l’ensemble du texte. Le but de toutes les méthodes est de permettre à la personne qui nous lit de remonter à la source et de vérifier notre interprétation des propos de l’auteur. Aussi, en fin de compte, le plus important est d’indiquer clairement ce qui n’est pas de nous.

Des références claires évitent les soupçons de plagiat et signalent indirectement ce qui est un apport pers s 3 évitent les soupçons de plagiat et signalent indirectement ce qui est un apport personnel. 5)LES INTERTITRES En ce qui concerne les titres et intertitres des différentes sections, la règle à observer au moment de la révision est qu’un titre et n sous-titre ne doivent jamais se suivre. On doit introduire au minimum quelques phrases de texte présentant la section après chaque titre ou intertitre. Par exemple, on n’écrit pas : 1. Le cadre d’analyse 1. Position épistémologique mais plutôt mais plutôt : La présentation du cadre d’analyse a pour but de préciser les bases épistémologiques de notre travail au regard des nombreuses études sur le sujet. Nos principales hypothèses y sont présentées et contextualisées selon les résultats observés… 1. 1 . Position épistémologique 6) LES NOTES DE BAS DE Les notes de bas de page apportent une précision upplémentaire ou une explication utile mais non essentielle à la compréhension. Aussi, dès que leur contenu apparaît important, on cherche à les Introduire dans le corps du texte.

La règle générale est d’en réduire le nombre au minimum. 7)LES S ANNEXES À la toute fin, on trouvera les pages annexes. Ces pages comprennent principalement la liste des références, ou bibliographie, les appendices le lassaire ou le lexique (s’il ya lieu). 6 3 mettre en évidence tel ou tel aspect du problème, ou montrer en quoi cette approche permet de recadrer ou de relire le problème utrement, ou encore en quoi cette étude permet de spécifier certains éléments, etc. Si l’on ne peut établir de tels liens, il faut élaguer. Mais abandonner de tels segments de travail est parfois émotivement difficile. ar ailleurs, au moment de l’analyse et de la discussion de nos résultats, on pourra se rendre compte que tel ou tel concept s’avère très éclairant. On reprendra alors l’écriture de notre chapitre théorique pour y Introduire cet outil conceptuel. Ce retour en arrière assurera les conditions favorables à la production d’un texte intégré et cohérent. Dans cet esprit, ous les principaux termes significatifs qui seront éventuellement utilisés lors de l’analyse 8) LE SPr’LE récriture d’un mémoire de recherche est habituellement simple, claire et précise.

Ce n’est pas un exercice de création littéraire. On privilégie généralement un style impersonnel caractérisé par l’utilisation du « nous du« il » et du « on ». Il faut toutefois éviter les tournures trop passives ou trop lourdes. 9)LES QUALIFICATIFS Dans le même esprit, on évite les qualificatifs et les superlatifs non nécessaires. Ainsi, dans les exemples « son excellent travail ? cet auteur consciencieux», « ces conclusions remarquables », « ces efforts louables », etc. , on supprimera les qualificatifs lors de la révision.

On obtiendra alors un style plus simple, clair et neutre en cohérence avec les objectifs scientifiques de développement de la connaissance : « son travail », « cet auteur », « ces conclusions b, « ces efforts n, etc. IO)LES MOTS DE LIAISON De même, on doit « ces conclusions », « ces efforts », etc. De même, on doit porter attention aux mots de liaison logiques entre les phrases et les sections. On surveille notamment les « onc les « par contre », les « en conséquence », etc. , qui n’en sont pas ! Strictement, ces mots indiquent une conséquence, une conclusion ou une opposition à un raisonnement.

Aussi, on les supprimera chaque fois qu’ils ne servent pas ? indiquer explicitement un lien de causalité. En pratique, on peut effectuer une recherche de ces termes dans son texte ? l’aide de la fonction de recherche de son logiciel de traitement de texte. Le nombre d’occurrences de ces termes a souvent de quoi surprendre. En terminant, lors de la révision, on cherche ? uniformiser le style. On note les changements qui ont pris forme ors de la rédaction de notre première version, puis on choisit une manière de dire les choses qui pourra être maintenue du début ? la fin du mémoire.

Et, évidemment, on corrige le texte en conséquence. C)REMARQUES SUR LE FOND RELATIVES AUX POINTS SUIVANTS : L’introduction ,le corps du texte, conclusion , révision et les extras. I)LA REDACTION DU MEMOIRE -L’INTRODUCTION L’introduction comprend une présentation d’ensemble du contenu et de la forme du mémoire. Malgré la tentation fréquente de commencer la rédaction de son mémoire par l’introduction, laquelle apparaît comme le début naturel, ‘introduction doit aussi être rédigée après tout le reste de l’ouvrage. En fait, on écrira l’introduction après avoir rédigé la conclusion.

On est alors en meilleure position pour introduire la lectrice ou le lecteur à notre travail uisque celui-ci est déjà fait. Commencer à écrire en ré 3 ou le lecteur à notre travail puisque celui-ci est déjà fait. Commencer à écrire en rédigeant rintroduction peut parfois être utile. Seul devant son écran, on s’établit une forme de plan de match, on essaie de donner forme à ses intentions. II faut toutefois rester prudent. Cet exercice peut en effet devenir ccablant, car il exige de savoir ce qu’on fera avant de l’avoir fait. ?videmment, à la suite du premier travail de débroussaillage, on commence à savoir, du moins dans ses grandes lignes, ce que sera notre travail. De plus, après ce débroussaillage, on entreprend la rédaction du premier chapitre. On est alors parfois tenté de commencer par l’introduction. Cela peut nous servir de « réchauffement » pour l’écriture de notre premier chapitre et cette première ébauche pourra servir de canevas lorsque viendra le temps de rédiger le texte définitif d’introduction à notre mémoire.

D’ici là, celle-ci sera rangée avec les quelques ébauches de pages liminaires de manière à pouvoir y revenir lorsque ce sera necessalre. -PRÉSENTATION DE LA PROBLÉMATIQUE Les premieres pages à écrire, visent à introduire la lectrice ou le lecteur à la thématique et au problème de recherche qui sera abordé dans le mémoire. Cette étape est centrée sur la description des faits et des éléments connus. Elle s’appuie sur la documentation scientifique existante et fait état de ce que l’on sait à propos du thème. On résente, définit et décrit les différents résultats d’enqu erches antérieures qui mémoire.

Cette partie se termine par la présentation de l’objectif et de la question de recherche. En fait, on peut, à rebours, considérer la présentation de la revue de la documentation comme une justification de la question de recherche. II s’agit d’un état de la situation qui conduit à notre question, celle-ci semblant découler directement de ce qui vient d’être présenté dans la problématique. Dans cet esprit, l’établissement de la problématique peut être assimilé à la définition d’un ensemble de considérants ou d’attendus qui justifient qu’on s’attarde récisement à la thématique et au problème retenus.

La lectrice ou le lecteur de la problématique doit arriver à la conclusion qu’il est pertinent sinon nécessaire de répondre à la question de recherche. À la suite de la question de recherche, si cela n’a pas déjà été fait, on rédigera un paragraphe ou deux mettant en évidence la pertinence ainsi que l’importance scientifique et sociale de la thématique abordée ou du problème particulier auxquels notre question et notre objectif se rattachent. Nous nous efforcerons d’y montrer comment la réponse à notre uestion contribuera à l’avancement des connaissances ou au développement de certaines pratiques sociales.

CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION DU CADRE THÉORIQUE Le premier chapitre à écrire introduit la lectrice ou le lecteur aux concepts, modèles, théories, hypothèses et explications déj? proposés par d’autres chercheurs. Il s’agit d’avancer les notions qui seront utilisées pour orienter notre démarche de recherche. On explicite et présente les concepts et les modèles théoriques en lien avec notre manière de présenter notre problématique et avec la démarche méthodologique qui sera présentée au ch 0 3