Femme Ou Homme
Femme Ou Hom « homme et la ten la et Hairstore. fr et rrwtér Mobilier – Sèches — et Spa Droit de l’inform PLAN Ou COURS • communication La Déontologie Nicolas Cantelou NICOLAS CANTEL( Introduct’on : VOLIS présente Ni. Eco financiere Éwnomie tonnons Dissertati on Faits et Statistiquc de Blscay, Mer Pyrénées, le Sud » projet de code d. Femme Ou Homme Premium By gigidu51 1 MOPTa 28, 201 S I E pages « Femme ou Homme, un rôle ? » l/Lln enjeu dualiste: Le rôle déterminant de l’hom dans la construction de renfant A- Le statut de l’enfant dans la société et le rôle pa
Jadis, les relations parents-enfants étaient balisées de puissance paternelle, institution qui reconnaiss famille des droits assez considérables sur ses enfa n’exerçant alors qu’un rôle subsidiaire. Le rôle des femmes n’a pas toujours été dominé p maternel à l’époque où les moyens de contracepti absents. En effet, l’enfant était présent dans les fo mais souvent non dé indispensable pour la ns org parlé. L’instinct pater confronté au schéma dominance et la fem is ce 01ne n éta re sig de pr s’occuper des tâches de la maison.
Selon Elisabeth qu’être mère n’est pas un instinct naturel mais un ous confronte avec l’horrible possibilité que nous naître dans l’indifférence la plus totale D. En effet, en plus », la relation entre amour maternel et insti est récente. La famille va connaitre une mutation à partir des années 60 (mouvements feministes) c de la famille est modifié en France et la femme au progressivement son importance. La loi du 4 juin 1970 met fin à la puissance Swipe to next page puissance paternelle et rompt juridiquement la puissance du père.
De plus le droit de la filiation est modifié avec en 1966 la création de l’adoption plénière, première consécration de la amllle choisie. peu à peu les femmes se rendent compte avec ces évolutions juridiques que les prestations familiales ne valent pas un salaire. Les mouvements féministes pointent du doigt la maternité et refusent ce prétexte pour leur exploitation au sein du foyer. Les femmes demandent les mêmes prérogatives sociales que les hommes.
La loi Veil du 17 janvier 1975 permet de légaliser l’IVG en France, ouvrant un droit supplémentaire aux femmes tout comme la loi du 11 juillet 1975 mettant fin à la procédure de sanction lié au divorce. Toutes ces évolutions permettent ‘apparition de la famille multiforme : famille recomposée, multiforme car les femmes sont plus libres : elles ne sont plus cantonnées à leur foyer. Aujourd’hui, dans la plupart des cas, l’enfant est désiré par le couple (sinon moyens de contraception : depuis 1 967 autorisé pour la femme) : il constitue un événement familial important.
Même s’il existe toujours des risques lors d’un accouchement, les progrès de la médeclne le rendent beaucoup plus sûr qu’auparavant et moins douloureux. De nos jours ce concept a laissé sa place à celui de l’autorité arentale, lequel se définissant par une fonction exercée conjointement par les deux parents dans le respect des droits et de l’intérêt de l’enfant. L’intérêt de l’enfant est important car il va reproduire par la suite ce qui lui a servi de modèle pendant sa construction il va reproduire par la suite ce qui lui a servi de modèle pendant sa construction individuelle ; ses parents.
B- Reproduction des modèles du masculin et du féminin dans la famille Durant l’enfance sont transmit et intégrés des cadres de sensibilité, de savoir être, de savoir faire, de prescription et de roscription, qui vont largement structurer les petits garçons comme de futurs hommes et les petites filles comme de futurs femmes. En effet, les 1er cadres de structuration des individus trouvent toutes leur force et notamment leur force d’évidence que dans la mesure où au quotidien, dans les interactions les plus ordinaires, les rôles de garçons et de filles se trouvent en permanence reproduits.
Selon la féministe italienne Elena Gianini Belotti dans son best- seller « Du côté des petites filles D, la construction des genres se fait très jeune par la différenciation des jouets. En effet les stéréotypes liés au sexe masculin ou féminin, quand on est un homme où une femme vont être partagés par les enfants dès leurs premières années. Quand on demande, par exemple, a des enfants de 3-4 ans de choisir, sur des photos ou parmi des objets réels, des jouets ou activités propres à leur sexe, ils expriment dès leur plus jeune âge des préférences liées à leur sexe.
Tous les comportements de l’enfant sont, « lus » et interprétés différemment selon son sexe, par les adultes. Par exemple les pleurs d’un nourrisson sont interprétés en termes de colère si le ébé est présenté comme un garçon, en termes de peur s’il est présenté comme une fille ; ou encore devant les bébés compar garçon, en termes de peur s’il est présenté comme une fille ; ou encore devant les bébés comparables, on emploiera plus souvent le qualificatif de « grand » si le bébé est un garçon, de « mignonne » s’il s’agit d’une fille.
Sans s’en rendre compte, les mères se comportent différemment, notamment dans les jouets qu’elles leurs proposent. Simone De Beauvoir le souligne avec la différenciation des comportements des familles envers les filles ou garçons. En effet, pour les garçons l’expression de l’émotivité sous une forme expansive et débridée, est assez tôt condamné par les parents au nom de la virilité du petit garçon ; on retrouve cette propension dans l’expression ordinaire : « tu ne vas pas pleurer t’es un grand garçon A l’inverse les petites filles ne sont pas décourager dans l’expression publique de leur émotivité.
On retrouve cette distinction de genre encore bien marquée dans l’expression du comportement, notamment celui du jeu. En effet les jeux de garçons sont principalement orientés vers la prise e possession de l’extérieur, ou la prise de contrôle de l’espace extérieur ou encore des simulacres de domination à l’endroit d’autrui : jeux de guerre, voitures, construction, « pour les voitures par exemple d’ailleurs plus l’instrument est gros plus la puissance est affirmée On retrouve ici toutes les dimensions précocement affirmées du machisme.
C’est pourquoi, se conformer aux jeux qu’on leur assigne suivant leur genre n’est pas un choix ni même un goût : c’est bien plutôt une affaire d’existence ou d’inexistence sociale. L’existence sociale se voyant très PAGF