La Representation De La Femme

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Constantin Cristina-Mirabela Groupe 1 Les représentations de la femme. Normes et transgression La représentation de la femme diffère en fonction des mentalités, des coutumes et du niveau de développement de la société en cause. C’est pourquoi la représentation de la femme ne peut guère être comprise que si on l’analyse à travers les siècles. Et non seulement la représentation, mais la différence entre la manière dont on traitait ou considérait la femme et la manière -parfois idéalisée- de la montrer. Les normes et la représentation de la femme -dans l’art-.

De la Grèce ancienne, uand la femme étai jusqu’auourdhul, qu sexes . Alors, la repr évolué ou en fait on représentation de la OF6 Swipetaviewn « t p g raits, t une égalité des a-t-elle vraiment ion de la Tout d’abord, l’antiquité. Bien sûr que l’antiquité abonde de sociétés et de coutumes, mais la vision de la Grèce ancienne suffit pour montrer la situation de la femme à cette période-là. La femme n’avait point de droits, elle n’était pas ‘citoyenne’ mais plutôt un être inférieur à l’homme -c’est ce que Aristote affirme dans ses ‘Dialogues’- qui n’avait pour but que la production et ‘élevage des enfants.

Aristote va jusqu’au point de dire que la femme n’est qu’un homme raté. Elle est un objet, emprunté par le père au mari. Au sein du mariage elle doit être taciturne et fidèle, même si l’homme Swige to vie' » next page l’homme n’est pas contraint d’être fidèle à sa femme. Les fillettes participaient à des rituels dans le temple de la déesse Artémis, où on les voyait comme ‘des petits oursons’, des animaux sauvages en train d’être apprivoisés pas le mariage. Donc, on voit bien que le statut de la femme dans la Grèce ancienne était celui d’être nférieur, une sorte d’esclave ou un objet.

Pour ce qui est de sa représentation, l’art et la mythologie la traitaient un peu mieux, mais pas tout à fait en tant qu’égale de l’homme. La femme était présente dans presque toutes les pièces, mais les personnages féminins étaient souvent joués par des hommes. On méprisait la femme même dans l’art. On pourrait donner comme exemple toujours Aristote, qui, en s’imaginant la cité idéale, exclut la poésie comme forme d’art, car elle était représentative pour les femmes. Cela ne veut pas dire ue toutes les femmes étaient représentées comme incapables dans les ouvres Grecques.

II y a des femmes guerrières – mais on le voit d’un œil critique- et même des femmes, comme Alceste, capables de faire le sacrifice suprême : mourir pour leur mari. Mais c’est toujours l’homme qui reste au centre de leur intérêt, la plus noble action de la femme n’étant qu’un moyen de projeter le héros mâle. Dans la mythologie grecque on a beaucoup de déesses intelligentes (Athéna-la déesse de la sagesse), fortes (Artémis- la déesse de la chasse) et indépendantes (Eris- la éesse de la discorde).

Héra est la femme toujours trompé par son mari, mais elle se venge et même Zeus sait la c 2 est la femme toujours trompé par son mari, mais elle se venge et même Zeus sait la craindre quand elle est trop fâchée. Néanmoins, il ne cesse jamais de la tromper. Donc, les représentations de la femme dans la Grèce ancienne lui sont beaucoup plus favorables que la réalité de son statut , mais restent encore discriminatoires, en montrant leur vrai opinion d’elles. Puis, dans le Moyen Âge, le statut de la femme a commencé – très peu- à changer.

Même si on voyait les femmes d’une manière encore discriminatoire, on a commencé à leur donner la possibilité de faire quelque chose d’autre à part d’être épouse. Il est vrai que cela était rare – peu de femmes avait des affaires et le plus souvent avec leurs maris- mais c’était un début bénéfique vers le changement des mentalités. Elles travaillaient la terre tout comme les hommes mais elles étaient payées moins. D’habitude celui-ci était le seul moyen de travailler pour les femmes à la campagne et le tissage pour les femmes dans des villes.

Les guildes n’acceptaient pas les femmes parmis eux, donc les métiers accessibles aux femmes étaient peu , et souvent choisies par les hommes. Mais la plupart des femmes menaient encore une vie dans l’ombre de leur mari. Les filles se mariaient selon le désir de leur père, le plus souvent comme alliance politique ou pour le bien de la famille, sans qu’elles aient un mot à dire sur cela. Puis, pour les riches, le besoin d’un héritier mâle était impétueux, alors, la majorité des femmes passaient toute leur vie mariée enceintes —chose souvent mortelle 3