Analyse Ponge le Gymnaste et la jeune femme

essay A

Le gymnaste (p. 47) Analyse Hypothèse de lecture : Le gymnaste est rabaissé au niveau d’animal. Situation de passage : Situé entre « le morceau de viande » et « la jeune mere » Résumé du passage : Global : Ce texte est la représentation d’un gymnaste en 5ème paragraphe : La fin du spectacle spectacle. Au fil du texte : 1 er paragraphe : Des 2ème paragraphe gymnaste 3ème paragraphe : 4ème paragraphe : Analyse du mot : cri s (tête) du gymnaste ps (buste) du u gymnaste ctacle « Comme son G l’indique… (1-1) : Le texte commence par mettre en avant la première lettre du mot « gymnaste » ; la typographie du G représente le visage du gymnaste. Plus loin, on continue avec la description du mot,  » … comme son Y…  » (1. 5) : Cette fois-ci, on dintéresse à la deuxieme lettre du mot, le Y ; il rappel le sexe masculin et, de par sa typographie, le corps du gymnaste. Allitération en M : « Moulé dans un maillot » C] Troisième lettre du mot « … qui fait deux plis sur l’aine » quatrième lettre du mot, le N Fin du mot avec répétition du suffixe -aste : « le gymnaste », dévaste… (1. 6) : Son spectacle ressemble à une parade amoureuse animale « Plus rose que nature et moins adroit qu’un singe » (1. 8) : ocabulaire pejoratif ; il est « trop » rose, pas naturel et « moins adroit qu’un singe », pourtant son but est d’être aussi adroit qu’un singe pour la gymnastique.. Ch. lexical des « animaux » : « bouc », « singe », « ver », « chenille » Vocabulaire de la gestuelle animal : « bondit », « rebondit » Comparaisons avec les animaux : « moins adroit qu’un singe », « comme une chenille »  » .. le parangon adulé… : le verbe « aduler » à le même sens que « flatter » et s’emploie au départ pour qualifier les caresses que l’on donne aux animaux. (cf. note de bas de page dans le livre) « Puis du chef de son corps. (1. 9) : Il est dénué d’intellect (son orps décide, il ne réfléchi pas avec sa tête) Périphrase désignant le gymnaste ‘ … le parangon adulé de la bêtise humaine qui vous salue.  » (l. 14) : le gymnaste représente la bêtise humaine. La jeune mère (p. 48) Hypothèse de lecture : ‘écrivain fait le rapprochement entre un accouchement et l’écriture d’un texte.

Situation de passage : Situé entre « le gymnaste », seul autre personnage humain intégré au recueil, et ‘R. C. Seine no’ Global : Ce poème décrit les moments de la vie d’une femme juste après l’accouchement. 1 er paragraphe : La femme quelques jours après l’accouchement ème paragraphe : es changements physiques de la femme après l’accouchement 3ème paragrap PAG » OF d paragraphe : Les changements physiques de la femme après l’accouchement 3ème paragraphe : Les tâches que relèvent la maternité « Quelques jours après les couches » (l. ) : Signifie l’accouchement ; peut également signifier « coucher un texte « La beauté de la femme se transforme » (1. 1-2) : Avoir accouché donne à la femme une nouvelle beauté, son aspect physique a changé, il se transforme, n’est plus le même. On peut également faire le lien avec le ressenti après récriture d’un texte. Ch. lexical du « corps » : « visage », « poitrine « yeux », « bras », « jambes « ventre D, Chaque partie du corps est « mains sollicitée pour mettre au monde (un enfant et/ou un texte). « Le visage souvent penché s’allonge un peu » (1. -4) : Un visage qui s’allonge est souvent du à la vieillesse et donc à la maturité ; cette maternité donne une nouvelle maturité à la jeune mère, la fait grandir, comme un texte peut faire grandir mentalement lors de son écriture. Les yeux attentivement baissés sur un objet proche » (l. 4-5) : Dans le contexte de la maternité, les yeux sont baissés ur Penfant, lors de l’allaitement par exemple. Mais « un objet proche » peut également renvoyer à un objet d’écriture (ex : feuille de papier) et « les yeux attentivement baissés » comme la posture d’une personne en train d’écrire. ? paraissent un peu égarés » (1. 5-6) : Personnification des yeux. Parfois, la jeune mère (ou le jeune écrivain) peut se sentir un peu égarée fas des yeux. Parfois, la jeune mère (ou le jeune écrivain) peut se sentir un peu égarée fasse à cette nouveauté (maternité ou texte). « Les bras et les mains s’incurvent et se renforcent » (1. 7-8) : Dans e contexte de la maternité, les bras et les mains s’incurvent pour tenir le bébé et se renforcent à force de répéter rexercice.

Mais, de nouveau, cela fait penser à la position que l’on adopte pour ecrlre. « Les jambes sont volontiers assises, les genoux très remontés » (1. 8-9-10) : Position de la femme tenant son bébé ; position de l’écrivain assis au bureau en train d’écrire. Ch. lexical de la « fatigue physique » : « maigri h, « affaibli » « ballonné « livlde « encore sensible La fatlgue physique procurée par cet exercice. « Mais bientôt sur pied… » (1,13) : peut signifier bientôt debout parlant de la jeune mère) ou bientôt terminé (parlant d’un texte).

Introduction d’un nouveau personnage, le « il » : Le père ou l’écrivain. « Carrés blancs du linge… » (1. 15) : Blanc couleur des couches, du linge de bébé ; mais aussi couleurs des feuilles, du papier. « Il saisit, froisse selon les résultats de cet examen » : Le père tâte le linge pour savolr Sil est sec, si c’est le cas, il le plie, si ce n’est pas le cas, il le retend. On peut faire le rapprochement avec l’écrivain qui essaye un texte et qui, selon les résultats donnés, le modifie ou le termine ainsi.