enjeux economiques art
Master 2 Philosophie – Es hétique et Culture Visuelle Économiques et Stratégiques des Entreprises, de la Culture et de la Communication – M. Nathalie Moureau or 11 Sni* to View « L’art s’Expose » et Une analyse personnel sur l’ottre culturelle actuelle à partir du documentaire de Ben Lewis dit – une époque où le plus important c’est l’appropriation tout de suite d’un objet artistique et sa conséquente valorisation économique. L’art comme un investissement que ne touche pas l’artiste ou la valeur culturelle de l’œuvre.
En accordant avec la vision du documentaire, ce dossier veut tout implement ajouter quelques commentaires sur l’offre culturelle actuelle, vue par nous comme aliénée et de contenu vide. De la même façon, nous avons aussi essayé d’exprimer notre point de vue sur la question de la valorisation versus l’ spéculation artistique de nos jours. L’ART CONTEMPORAIN L’art contemporain n’est pas fait seulement du nouveau, de l’original (comme s’était passé avec le Modernisme et d’autres mouvements de avant garde).
Il se caractérise principalement pour la liberté d’actuation de l’artiste, que a non plus des compromis institutionnels qui lui limitent (il peut exercer son ravail indépendant d’empreinte un style – ou d’un contexte politique – déjà existent, ou quand même influencé par des styles diverses). C’est pas la nouveauté, mais l’ spirit2 que se pose autour de l’œuvre d’art qui peut la classifier comme contemporaine, une fois comparée avec la vaste ouvrage moderniste produite au XXème siècle.
Sur son origine, cette période de l’histoire de l’art est nait au milieu du 20ème siècle, et il vient jusqu’à l’actualité, en apportant des nouvelles habitudes, des différents concepts (influencé par l’industrialisation massifiée et des vertigineuses tenda PAG » 1 des différents concepts (influencé par l’industrialisation massifiée et des vertigineuses tendances sociales) de la peinture, de la littérature, du cinéma, d’entre autres.
Les artistes on commencés a questionner leur propre langage artistique, l’image elle même – et par une attitude métalinguistique, le créateur s’a tourné vers son ouvrage et leur matériel de conception et de production De cette façon, l’art contemporain se consolide par l’évolution de l’art en général, donc par la juxtaposition des divers mouvements – de l’Op Art, de la Pop Art, de l’Art Minimaliste, de l’Art Street développee dans les rues, influencée par le graffiti et le hip-hop), d’entre autres dans un contexte des intenses transformations sociales.
Ainsi, en concernant son style, on peut dire qu’il suit des divers écoles et techniques – il n’y a pas une simple contraposition entre l’art figuratif et l’art abstract, et les deux catégories peuvent être bien mélangées, en respectant la liberté créatrice de l’artiste. Bref, les possibilités et les chemins son divers, et les réfléchissions plus profondes – puis que c’est justement la possibilité de proposer des concepts et des attitudes qui aractérise l’art contemporain.
Réfléchir sur l’art c’est plus important que l’art elle même, que maintenant c’est pas l’objectif final, mais un outil pour la médltation des nouveaux contenus imprimés dans le quotidien par les transformations vécues dans le monde actuel. Cependant, comme bien nous montre le docum PAGF30F11 les transformations vécues dans le monde actuel.
Cependant, comme bien nous montre le documentaire réalisé par Lewis, il y quelque chose de contradictoire entre cette spirit transgresseur et démocrate de l’artiste – en proposant des nouveaux concepts et la courant spéculation de l’art ontemporain, concentré à le niche élitiste des grandes maisons de vente américaines. Dans ce sens la, nous évoquons le travail de Avelina Lésper, critique d’art contemporain d’origine mexicaine.
Elle nous parle d’un art contemporain complètement non inclusive, que s’a tourné contre ses propres principes dogmatiques ; « un art que, devant la possibilité de ne pas plaire l’ spectateur, l’accuse de Ignorant, d’ stupide, en lui convainquant que sa manque de compréhension c’est, vraiment, sa manque de perception »3 (tellement importante quand comprise dans son sens empirique – la perception dépasse son coté optique pour nous parler ussi de l’expérience émotionnelle, culturelle, sociale, etc. , de l’ spectateur).
La conséquence ? Céloignement du spectateur devant l’art que démontre intelligence (lors, richesse non seulement dans sa composition, mais aussi dans le message idéalisé par sa conceptualisation). Finalement, Lésper signale que part contemporain est endogamique, élltiste, de vocation ségrégationniste et réalisé par sa propre structure burocratique – un art que favorise que les institutions et les sponsors autour d’elle. 4 De son coté, le réalisateur Ben Lewis partage de cette opinion, en PAGFd0F11 et les sponsors autour d’elle.
De son coté, le réalisateur Ben Lewis partage de cette opinion, en pointant dans son filme les gagnes des agents de ce marché, les responsables pour la désacralisation d’art contemporain et sa transformation de conducteur de la pensée évolutive humaine en produit super valorisé (fruit d’une spéculation pas justifiée). LES AGENTS DIJ MARCHÉ D’ART « L’AC est une utopie qui dure parce qu’il est à la fois utile et adossé à un pouvoir, une organisation qui l’utilise, le légitime et le fonde ». 5 L’ACE a trouvé à la fin des années 70 sa maturité théorlque et l’organisation de son marché à New York.
Les grandes maisons e vente, comme Christie’s et Sotheby’s, aux enchères prennent un certain nombre de dispositions visant a contrôler ce marché où elles ont pu faire d’énormes profits à condition d’avoir le monopole sur la marchandise – elles sont devenues le contrôleurs de la valeur, en lançant des artistes, en engageant des historiens pour écrire l’histoire de Part du XXème siècle, en achetant des galléries, e intervenants dans de foires d’arts des diverses façons, d’entre autres activités qui quittent le domaine d’art, elle même, pour aborder la création monétaire.
Quelques activités des maisons de ventes et dune petite iche des collectionneurs à elles lieux sont enregistrées dans le documentaire de Lewis, et elles m’ont fait penser sur la différence entre la valorisation et I’ spéculation (et aussi sur la correspondance entre valeur artistiq s 1 différence entre la valorisation et l’ spéculation (et aussi sur la correspondance entre valeur artistique et valeur économique).
Le réalisateur, ainsi que essayant d’être objectif dans sa recherche, a laissé claire dans sa crltique que le contrôle du marché de l’art occasionne la despersonification de l’artiste, son institutionnalisation par la catalogation de son ouvrage, et que es prix établissent sont complètement dissonants de la valeur stipulée pour les ouvres objets de ventes. De la même façon, on ne peut pas laisser de noter son opinion incisive sur la corruption des rôles du marché de l’art, comme mieux expliqué en suite.
Selon lui, les artistes contemporains ne sont plus que des fournisseurs de marchandises; les collectionneurs millionnaires jouent un jeu de « cache-cache en monopolisant les achats sans un réel intéresse sur la vrais valorisation de l’œuvre/l’artiste et en refusant une transparence dans leurs transactions ; et finalement, omme garantie du domaine du marché, le derniers ont la collaboration corruptive des maisons de ventes7 par l’ spéculation des prix, que simulent des achats « anonymes » au téléphone, seulement en visant augmenter le prix d’une œuvre (beaucoup de fois, d’un artiste inconnu et de « valeur artistique » à douter).
L’achat d’un tableau monochrome pour 21 millions de dollars américains, ou d’un triptyque de Francls Bacon pour 77 millions, sont des exemples de la folie que contamine les transactions des collectionneurs. Ainsi 6 1 exemples de la folie que contamine les transactions des collectionneurs.
Ainsi, guident par la proposition dinvestissement que permets un significatif statu social, et sans avoir d’autres moyens de dépenser leur argent, les cartels de l’art suivent toujours les dernières tendances imposées par les maisons de ventes – le réalisateur a bien marqué la « vedettisation » de l’artiste contemporain, qui sont devenus des « rock stars », selon leur investissement première (l’incitation qu’ils recevaient par la maison de vente ou le collectionneur) et la monopolisation de ses œuvres par P spéculation des prix.
Finalement, tous ensemble, maisons de ventes et collectionneurs nt créé un marché multimillionnaire, que « roule » son argent plus vite que Wall Street et avec beaucoup moins de risque – une fois que le pris est dicté par la petite niche que contrôle ce marché. VALORISATION X SPÉCULATION « Des très nombreux sociologues, comme France Raymond Moulin, Pierre Bourdieu, Natalie Heinich, et économistes, comme Natalie Moureau, Dominique Sagot-Duvauroux, ont essayé de cerner la nature de l’AC, cette marchandise d’un type nouveau • ni matière première ni savoir-faire, ni art ni bien précieux et rare.
Ils arrivent par des moyens différents à la même conclusion : ‘étalon du beau ayant disparu, c’est le marchand qui dicte la valeur. La formation de la valeur est résultat du jeu de quelques individus à l’intersection des institutions, des collectionneurs et des marchands, faisant ensem PAGF70F11 quelques individus à l’intersection des institutions, des collectionneurs et des marchands, faisant ensemble le travail de reconnaissance d’acceptation et de qualification de l’objet »8.
Selon l’extralt susmentionné, le mot « valeur » fait référence à la valeur économique de l’art contemporain, et c’est le marchand (dans le sens général) qui la fabrique et l’impose. Embasé par cette utopie de la pureté de valeur de l’art contemporain, représentée par un artiste ou une œuvre par lui « découverts », le marchand fonde une valeur sur quelque chose d’immatériel.
En argumentant toujours la nouveauté et la richesse apportée pour l’œuvre, il fait confiance à l’organisation que lui garantie ça (comme les cas des collectionneurs par rapport a les maisons de ventes) et lui donnent stabilité et durée. De cette façon, en spéculant, le marchand gagne l’avantage d’appartenir à un groupe social enviable et adhères à des stratégies communes9 pour ugmenter les prix (occasionnant l’hausse des valeurs – un cercle vicieux qui contamine toute son réseau).
Après eux compris et expliqué un peut de la « valorisation économique D, de Hart contemporaine, cependant, de plus en plus nous sommes d’accord avec Lewis que il s’agit pas d’une question de valoriser l’œuvre de façon économique, mais de faire de la pure spéculation – l’argent ne sort pas de l’ sphère d’un même group, et l’augmentation du prix au point de toucher des sommes inimaginables a comme but la seule monopolisation de l’acer de l’art B1 toucher des sommes inimaginables a comme but la seule onopolisation de l’acer de l’artiste et le contrôle du marché.
De cette façon, ça que les agent du marché appellent « valorisation » en concernant le prix de l’ouvre jamais touche partiste manufacteur, dans le même proportion que cette somme touche des agents en nous rappelant, peut-être, que le vrais « art » contemporain c’est fait par les dernières. En concernant la valeur artistique théoriquement prise en compte pour tous les agents pour motiver leurs actions, nous sommes de l’opinion qu’elle n’existe pas, pour divers raisons. Premièrement, comment nous pouvons mercantiliser une idée ? Comment nous pouvons matérialiser le procès créatif ?
Nous essayerons de ne pas rentrer dans la discusslon de la valeur de vente de l’art – un domaine où la notion d’un métier est asse important pour l’artiste que son développement culturel. Notre opposition c’est justement à la disproportion entre la valeur artistique de l’œuvre (jugée par l’artiste, des agents de culture spécialisés, des historiens, d’entre autres entités qualifiées pour ça) et le prix établie pour son acquisition le problème, donc, c’est le système que les agents de ce marché ont établie, c’est-à-dire des achats ‘une œuvre a un prix exorbitant pour déterminer la valeur de toute la série de l’artiste.
Le filme nous choque par le cynisme des acteurs du cartel américain quand ils sont, par exemple, questionnés sur les prix et sur la transparence des transactions: quand ils sont, par exemple, questionnés sur les prix et sur la transparence des transactions: « ils sont payé c’est la réponse donnée au réalisateur. « Ils sont des prix réalistes parce que il y a de gens dispo à payer » – une phrase que nous a choqué vue l’aliénation qu’elle dénote (à des questions sociales, nvironnementales, politiques, humanitaires, culturellesl O, etc. , mais aussi que représente tellement bien les valeurs d’une société consumériste et matérialiste. CONCLUSION – LA « DES-ÉLITISATION DE L’ART CONTEMPORAIN Il est important de dire que l’elitisation de l’art contemporain est aussl un phénomène que les agents du marché essayent de déguiser avec des arguments « pro valeur artistique » (en légitimant des prix absurdes). puis que personne veut reconnaît le fait qu’il ou qu’elle peuvent pas acheter l’art (consommer l’art, en l’introduisant dans leurs vies) ?!
De cette façon, on se trouve en face d’un l’art contemporain que entre dans un engrenage de massification où le marketing et la consommation culturelle dictes des règles aussi. Des exemples courants sont les politiques de développement des grands musées occidentaux, tournées vers la rentabilité (attirer les nouvelles strates de public à travers le choix d’expositions essentiellement fédératrices ou d’événements ponctuels participatifs); les collaborations de l’industrie du luxe ou de la made avec certains artistes, etc. ; la référence à l’art dans la publicité de produits de la grande distribution , 11