Travail Gratuit

essay A

Travail gratuit : le nouveau rêve de tout libéral (ou capitaliste) déconnecter le travail de la rémunération et du capital. Précarité en hausse, stages qui s’enchainent dans l’espoir de trouver un travail rémunéré au prix « normal ». A se demander si on ne voit pas naitre une nouvelle classe sociale le précariat, à coté du salariat .

Et si cette situation ne profite pas involontairement ou volontairement à certains salariés qui exploitent ainsi leur semblables pour éviter de tomber sous des sanctions ou de ne plus progresser dans leur carrière On trouve des stages non payant avant 2 mois, bizarrement c’est a limite pour beaucoup de stagiaires… Forcément, le stage ne devient payant qu’au bout de 2 mois… Là encore on trouve ça to nextÇEge Sw p to n ext page dans des secteurs d’ Eet aussi des blogeur ul ors presse qui lui bénéfic de… • Tout ce qu’on sait c’ à 1,2 millions en mode. ent pour un site de t pour ses salariés. ai passé de 800 000 en 4 ans (2010), + . On peut donc saluer l’effort de HUMP et du MEDEF . Tout ça c’est du travail gratuit ou presque, une façon ignoble de réduire le coût du travail. USA, le pire du meilleur de l’horreur: Avec des stagiaires qui payent pour avoir un stage gratuit : ça ‘est vu aux USA. Bien sûr dans le luxe, ou entreprises « très réputées ». Ainsi, Disney aux LJSA : 7000 stagiaires qui viennent de partout, travailler payé au lance-pierre et sans protection sociale.

Disney a même conclu des accords avec des lycées et universités Il existe même un marché où ron peut acheter des stages aux enchères. Une place chez Versace a ainsi récemment atteint 5 000 dollars ; des droits de blogging temporaires au Huffington Post ont été adjugés pour 13 000 dollars ; et quelqu’un a même été prêt à débourser 42 500 dollars pour travailler quelques jours à Vogue. Dream Careers, une boîte californienne, vend chaque année 2 000 stages dans le monde entier.

On peut acheter huit semaines l’été pour 8 000 dollars (pour Londres, ce sera 9 500 dollars). La valeur pédagogique de ces stages reste pourtant dollars (pour Londres, ce sera 9 500 dollars). La valeur pédagogique de ces stages reste pourtant à démontrer, qu’ils soient organisés par Dream Careers ou par une université. Selon le guardian qui a enquêté , une enquête réalisée par Yougov pour internocracy nous apprend que près de un dirigeant sur cinq reconnait prendre des stagiaires pour réduire ses couts de main-d’oeuvre.

Là bas des stagiaires font condamner les employeurs à se faire payer le salaire minimal et des congés payés dans le monde salarié, la formation sur le tas, ça existe depuis des années. les périodes d’essai aussi, ainsi que la formation continue des salariés. Mais là encore ce que veulent ces entrepreneurs, c’est profiter gratuitement de personnel formés par des études supérieures et qui acceptent de travailler sans être payés. Au Mexique, parmi les 3, 470 millions d’enfants qui travaillent, 70% ne reçoivent aucun salaire et seulement un cinquième de ceux qui les emploient leur donnent une rémunération quotidienne.