Ecriture d’invention

essay A

L’ardoise Quelque part, au milieu de la forêt, était perdue une grande maison. Au premier coup d’œil, certains auraient tout de suite pensé à une maison hantée, d’autres encore à une église désertée ou à un monastère. En fait cette maison appartenait à une petite famille qui y passait toutes ses vacances, tous les ans. Les parents, Eric et Cindy était tout simplement parfaits, ils voulaient le meilleur pour leur fils Jack. Malheureusement, ceux- ci sont morts, attaqués par un animal en forêt, laissant pour seul survivant Jack.

La police a bien essayé de le faire parler, à l’aide de psy, de paroles do aire sortir un mot de retrouvait orphelin retrouvé et vivait ave maison. Swap next page t. Impossible de u’à 10 ans, Jack se rsonne n’a Jamals ns cette grande Aujourd’hui, Jack a 13 ans. Et depuis 3 ans, il n’a pas prononcé un seul mot. On lui a alors donné une ardoise avec une craie pour qu’il puisse communiquer. Mais dans cette grande maison, il ne croise presque jamais ses grands-parents, et le peu de fois où cela arrive, ils ne se disent rien du tout.

C’est vrai qu’à la mort de leur fille, recueillir leur petit-fils relevait de la corvée pour ces deux sexagénaire, c’est pour quoi ils fais ShAipe to Wew next page aisaient le minimum pour lui. Ils restaient toute la journée enfermés dans une pièce dans l’aile Est de la maison où Jack n’avait pas le droit d’entrer. Ainsi, chaque jour, pour s’occuper, Jack visitait les moindres recoins de la maison, cherchant à percer tous ses secrets… Ce jour si, c’était au tour de l’aile Ouest de la maison.

Jack, muni de sa petite ardoise sous le bras, ouvrit la porte et jeta un coup d’œil, pas de fantômes, pas de vampires en plein repos La voie était libre. L’imagination débordante de Jack le rendrait presque paranoïaque. Il pénétra dans la pièce pour découvrir une grande ibliothèque, avec pleins de livres qui semblaient très anciens et des tas d’objet qu’il n’avait jamais vu avant : un sextant, un rouet, un violon sans corde Que d’étrangetés. Mais c’est là qu’un objet attira son attention, un cadre tout en haut de l’étagère.

Jack était trop petit pour aller le chercher. Il prit alors une chaise pour grimper dessus et déposa son ardoise par terre pour avoirs les mains libres. Quand il eu le cadre en face de ses yeux, et après avoir enlevé toute la crasse qui s’y était déposée, il pu distinguer les visages de ses parents. Il prit le cadre dans ses mains et ‘observa plusieurs minutes. Quand il sorti de ses rêveries, il ouvrit le cadre, prit la photo, la plia et la glissa dans sa poche. Il descendit alors de la chaise et inspecta brièvemen 2 photo, la plia et la glissa dans sa poche.

Il descendit alors de la chaise et inspecta brièvement le reste de la pièce. Rien d’intéressant. Il se dirigea vers son ardoise et vit quelque chose de surprenant : il y avait une inscription dessus. On pouvait voir une flèche qui indiqué l’Est et à côté, un nombre : 457. Il regarda autour de lui mais ne vit personne. A l’aide de son coude, il effaça le tout et quitta la pièce. Il retourna alors dans sa chambre et ne fit plus rien. Quand la nuit commença à tomber, il se leva et marcha jusqu’à son ardoise qu’il avait laisser sur sa table de nuit.

Il y avait encore une inscription dessus et cette fois, seul le chiffre avait changer : 369. Il la prit dans ses mains mais n’effaça rien. Il alla voir son grands-père et sa grands-mère pour leur montrer le fait : il laissa l’ardoise dans un coin et attendit un peu. Mais quand ils revinrent tous les trois, il ne s’était rien passé. Alors les deux grands-parents repartirent de leur côté , laissant Jack seul avec son air perdu sur le visage. Il reposa son regard sur l’ardoise et vit que quelque chose était apparu, un grand « NON Message reçu, on ne dit rien à personne puis il alla se coucher.

Le lendemain, encore une inscription sur l’ardoise. Alors il la saisi dans ses mains et se déplaça avec dans la maison sans rien effacer. C’est comme ça qu’il se rendit compte que la flèche 3 avec dans la maison sans rien effacer. Cest comme ça qu’il se rendit compte que la flèche et le numéro évoluaient avec lui : c’était une sorte de boussole. Alors il suivi la flèche qui indiquait l’Est et surveillait le nombre de pas qu’il lui restait à faire. Quand l arriva au numéro O, il était au beau milieu d’un long couloir.

Il ne comprit rien du tout, il s’attendait plus à atterrir devant une porte Alors il resta là, à rêvasser jusqu’à ce que, par étourderie, l’ardoise lui échappe des mains. Cela le sorti brusquement du fond de ses pensées. Quand il se pencha pour la ramasser, il remarqua subitement que lorsque l’ardoise était tombée, le parquet avait sonner creux. Il vérifia une nouvelle fois en « toquant » sur le sol, oui le parquet était bien creux en dessous. Il enleva le tapis et vit une trappe qu’il souleva. Elle était très petite et en-dessous, il y avait une petite boîte.

Jack hésita un peu, puis l’ouvrit. Dedans il y avait Une paire de lunette ?! Il les prit dans les mains pour les retourner dans tous les sens, mais rien des lunettes plus que banales. Il les posa sur son nez et là, il vit quelque chose Sur le sol, il pouvait distinguer des traces vertes fluorescentes, comme de la poudre. Il les suivis alors jusqu’ arriver devant la pièce où, comme par hasard, il lui était interdit de pénétrer. Il resta quelques secondes sans bouger devant la porte 4 hasard, il lui était interdit de pénétrer. Il resta quelques secondes sans bouger devant la porte. uis, il prit son courage à deux ains et saisi la poignée. De toutes façons, ses grands-parents n’étaient pas à la maison ( il partaient on ne sait où un jour et une nuit par mois ). Quand il ouvrit la porte, il ne vit rien tout de suite, la pièce était plongée dans l’obscurité. Il alluma la lumière et ce qu’il vit alors lui glaça le sang : deux cercueils, des tas d’articles de presses accrochés aux murs, des signes étranges peints partout, comme de la mage. Il s’approcha des cercueils et vit graver dessus les noms de ses parents.

Alors ils étaient l Les articles de presses parlés de l’accident, le soir où ses parents avaient été attaqués. Comme il avait toujours les lunettes sur le nez, il voyait encore plus de cette poudre fluorescente. Jack qui était resté là, bouche bée, ne comprenant plus rien, avait l’impression que son cerveau été en train d’exploser. Qu’est- ce que tout cela faisait là ? Pourquoi ses grands-parents les gardaient ? Alors lui Vint une idée. Il allait se cacher dans la pièce et attendre ses grands-parents, peut être qu’en jouant les espions, il comprendrait ce qu’il se passait.

Il alla donc se placer dans le coin de la pièce, derrière un fauteuil et attendit, attendit . Mais les secondes devenaient des minutes, les minutes des eures et le somme S attendit Mais les secondes devenaient des minutes, les minutes des heures et le sommeil eu raison du garçon : Jack s’endormit, puis il commença à rêver. Détail futile ? Non, c’était une vision très importante : il vit ses parents, ils lui parlaient. Ils étaient tous les trois dans une grande pièce blanche, totalement vide.

Son père souriait en le regardant et sa mère s’était approché, pour s’accroupir devant lui. Cest à ce moment qu’elle lui dit : « Mon chéri Tu as bien grandi ! Mais je dois faire vite, on n’a pas beaucoup de temps, tu doit te réveiller et ortir de cette pièce le plus vite possible, tes grands-parents savent déjà que tu as trouvé les lunettes et la pièce ! Quand tu te réveillera, tu sortiras et tu suivras la flèche de l’ardoise, elle te mènera à un moyen de te défendre et ensuite si tout va bien tu pourras la suivre pour partir, quitter la maison.

Reste toujours sur tes gardes, dépêches toi ! Papa et moi on t’aime très fort VITE REVEIL TOI Jack se réveilla tout de suite après, il faisait toujours nuit et ses grands-parents n’étaient pas encore rentrés. Il sauta par dessus le fauteuil et couru pour sortir de la pièce. Il egarda son ardoise : la flèche était là. Il prit ses jambes à son cou pour la suivre, au bout d’une minute de course, il finit devant une armoire. Il l’ouvrit pour voir un pistolet avec un post-it dessus : « balles d’argent » finit devant une armoire.

Il l’ouvrit pour voir un pistolet avec un post-it dessus : « balles d’argent Il le prit et se retourna Mais c’était trop tard, la première chose qu’il vit, était deux grands loups, dressés sur leur pattes arrières, presque comme des humains. Ils grognaient, toutes dans dehors, ils s’apprêtaient se jeter sur Jack mais celui-ci fut plus rapide. Il se mit à courir une vitesse hallucinante à laquelle il n’aurais jamais pu courir en temps normal. Les deux loups le suivaient de près. On a tous devinait que les loups n’étaient autres que les grands-parents de Jack et surtout que c’est eux qui avaient tué ses parents .

Et oui . Des loups garous ! Jack courait, courait, quand il arriva enfin distancer les loups, il se cacha derrière une armoire qui se trouver là. Il s’efforça d’être le plus silencieux possible, de retenir sa respiration alors qu’il était essoufflé Alors qu’ils s’approchaient, Jack réfléchissait, comment avait-il pu ne pas s’apercevoir que es grands-parents étaient, eux aussi, des loups-garous ? C’était pourtant si évident, ils partaient un jours et une nuit par moi, lors de la pleine lune en plus ! Ils étaient tout près, essayant de flairer Jack.

Puis les loups s’éloignèrent. Il en profita pour sortir discrètement et se remit à courir vers la porte de sorti. Quand il arriva dehors, il y avait du brouillard et la lune éclaire vers la porte de sorti. Quand il arriva dehors, il y avait du brouillard et la lune éclairer l’endroit. Cest là que Jack entendit LE fameux hurlement de loup qui lui glaça le sang. Il regarda alors son ardoise et la flèche était dessus. Il la suivit pendant plus de cinq minutes, frôlant les arbres et sautant pour éviter les obstacles. Mais son pied se prit dans une racine et il tomba.

Quand il se releva, un peu étourdit, les deux loups étaient là, juste devant lui. Alors, il prit le pistolet et visa La légende était donc vrai, l’argent aidait à tuer les loups garous. Le coup de feu qui tua l’un rendit l’autre fou de rage ! Ses grands yeux rouge sang se plantèrent dans ceux de Jack, puis, en une fraction de secondes, le loup se jeta sur lui ! Alors que Jack faisait tout pour le repousser, il sentit ses crocs se planter dans son bras ce qu e désarma. Le pistolet vola trois mètres plus loin. Impossible de l’attraper sans se déplacer.

Jack roula sur le ventre et commença à ramper vers le pistolet. Chose assez difficile lorsqu’un loup vous attrape par les Jambes et vous tires dans le sens inverse Il se retourna brusquement pour mettre un coup de poing dans la gueule du loup. Étant un peu assommé, il lâcha Jack qui alla attraper le pistolet. Quand il l’eut enfin dans les mains, il visa nouveau et tua le dernier loup garou. Cétait fini. Jack, essoufflé, épuisé, tomba 8 il visa à nouveau et tua le dernier loup garou. C’était fini. Jack, essoufflé, épuisé, tomba à genoux à coté des corps des loups.

D’un coup, il faisait froid, on pouvait voir la buée sortir de sa bouche. Quand il eut enfin reprit son souffle, il prit l’ardoise qu’il avait attaché dans son dos et revit la flèche. Il se Ieva, puis marcha tranquillement en la suivant. Au bout de vingts minutes, il arriva devant une petite maison en bois, une cabane en réalité. C’est ça que la flèche indiquait. Alors, tout doucement, il ouvrit la porte, et ce qu’il vit à l’intérieur l’emplit d’une immense joie :