Ecriture d’invention

essay A+

Les voisins qui habitaient à 5 unités à pied du lieu du crime ont décidé d’aller y jeter un ?il. A ha, le portail était fermé, la fourgonnette n’était plus là, mais la porte arrière de la maison n’étant pas fermée correctement, ils pénètrent dans la propriété ; une fois à l’intérieur et au premier étage, ils ont été tous pétrifiés devant l’horreur qui se présentait dans la chambre du meurtrier : elle était couverte de sang sur tous les murs et il en était de même pour les victimes.

Le meurtrier quant à lui est mort dans une cabine téléphonique, il aurait mis fin à ses jours en se coupant la gorge avec ses ongles. ‘ai reconnus la thèse du suicide comme étant a plus probable. Premier boy aspirais I empâta 23, 2011 15 pages J’étais arrivé à mon village spire toi vie nées page natal,’ c’était calme,’ ma mère et moi étions devant notre ancienne habitation. Toujours la même ma gré l’air de vieillesse qu’elle avait pris avec le temps. Deux ans sans personne pour en prendre soin !

J’étais déjà fatigué à l’idée que je devrais nettoyer moi-même quand soudain, deux bras qui m’étaient familiers m’agrippèrent par derrière; je reconnus de suite une amie d’enfance. Ah, Bonjour issues, tu m’as presque fait peur ! Bonjour hier, j’ai tenu ma promesse comme tu le vois ! De quelle promesse parles-tu ? Je n’aurais pas dû poser cette question. Juste après, brusquement, ‘expression de son visage avait changé. Pendant un instant, un sourire démoniaque l’avait bouleversé, c’était un sourire dans lequel je pouvais voir des ténèbres.

Elle retrouva son visage affable. Je viens de m’en souvenir finalement… Ah, tant mieux, je pensais que tu l’avais oublié. Alors… À demain ! On se voit au même endroit comme au bon vieux temps ? Oui, à demain. A ce moment-là, un frisson me parcourut tout le long de la lionne vertébrale. Quelle était cette promesse à laquelle elle tenait tant ? Je rentrait chez moi; c’était presque le soir; j’aida ma mère à préparer le dîner, comme j’avais l’habitude de l’aider au jupon : je lui étais d’une grande aide.

Après le dîner, comme le voyage avait été long, je me résolus à aller dormir tôt et je me rendes dans ma chambre, quand comme le voyage avait été long, je me résolus à aller dormir tôt et je me rendes dans ma chambre, quand j’ouvrir la porte, je crus apercevoir une personne en face de moi, derrière la fenêtre; je me frottait les yeux; il n’ avait plus résonne; je croyais d’abord que ce n’était que la fatigue qui me jouait des tours mas à chaque fois que je voulais jeter un ?il par curiosité malgré la peur, je revis cette personne.

Le lendemain, je me éleva au premier appel de ma mère; je pris mon petit déjeuner rapidement car issues devait sûrement m’attendre, telle que je la connaissais, elle serait là avant le rendez-vous que l’on s’était donné. Ma maison se trouvait hors du village mais je pris seulement quelques minutes grâce au raccourci qui se trouvait toujours là. J’arriva au point de rendez-vous quelques minutes plus tôt. La y avait toujours ce vieux moulin à eau qui ne voulait pas fonctionner ; elle était là. Nous parties en direction de l’école. Quand nous arrivages à l’école, je rencontrait une autre amie d’enfance. Ai faisait longtemps oui ! La sonnerie retentissait. Pas le temps pour les retrouvailles, dépêchons-nous ou on va se retrouver dans l’isoloir. L’isoloir ! Je vois qu’il y a toujours cette punition… Nous étions arrivés à la salle, le cours allait commencer. Comme nous sommes dans un petit village, il n’ a qu’une seule classe, tous niveaux confondus, le proféré sommes dans un petit village, il n’ a qu’une seule classe, us niveaux confondus, e professeur fait des cours pour les petits et les plus grands doivent soit étudier d’eux mêmes, soit aider les autres.

Après les cours, oui et issues m’interpellèrent. Ne pars pas si vite voyons ! Il reste les activités du club ! Du Club ? Mais je ne fais partie d’aucun club à ce que je sache… Et la promesse ? Tu nous as fait une promesse comme quoi tu serais toujours dans le club où nous serons. oui commença à avoir des larmes aux yeux. Attends, attends, je n’ai jamais dit que je n’allais pas le rejoindre ! Alors, Bienvenue au Club… « des Ogres ». Je vis des sourires malsains. Elles avaient un sourire sardonique comme si elles avaient déjà préparé un plan.

Et quelles sont les activités du club ? . On fait des jeux de société ! On fit une partie de mah-jong à quatre avec un autre membre du club. Je perdes toutes les parties, bien que leurs tricheries ne soient pas très discrètes. Le perdant, soit celui ayant le plus de défaites, devait subir un gage que déciderait le gagnant. Voyons voir, les idées bouillonnent dans ma tête. Tu nous laisseras issues et moi, nous introduire une fois chez toi pour te préparer une « surprise Ne t’inquiète pas, on ne déplacera pas les meubles. Après avoir joué, nous rentrantes. J’étais avec issues.

eue, issues, pour demain meubles. eue, issues, pour demain, pas besoin de m’attendre, je dois nettoyer la maison, tu pourras prévenir le professeur ? Merci. J’allais rentrer chez moi ; soudain une main m’attrapa le bras : c’était issues. Elle serra tellement fort que j’en tremblais. Son visage reprit un air satanique, elle souriait tel un démon et ses yeux étaient grands ouverts. Demain, tu viendras haine ? Mais… Puisque je te dis que… Tu viendras alors ? Je retirait mon bras brusquement, elle tomba, je l’aida à se remettre debout, elle me chuchota à l’oreille :

Je vais te tuer. Ces mots prononcés avec une grande froideur me donnèrent la chair de poule. Mais juste après elle retrouva son apparence « normale ». Ce n’est pas grave, je préviendrai le professeur, salut ! En rentrant chez moi, tout était éteint, je pensais donc que ma mère devait encore être au travail. J’allumais la lumière, je préparerai des nouilles instantanées. Après avoir mangé, je montait dans ma chambre et m’allongeais dans mon lit ; au moment de fermer les yeux, j’étais dans l’obscurité, c’est alors que je repensais aux paroles de oui.

J’étais terrorisé, je ne savais pas si elle cherchait à me faire peur pour l’avoir ait tomber ou si c’était vraiment vrai. Je jetait donc un ?il la partie de la pièce la moins sombre : la fenêtre, mais ce que je vis m’effraya donc un ?il à la partie de la pièce la moins sombre : la fenêtre, mais ce que je vis m’effraya encore plus : une sorte de forme humaine… C’était comme si elle me surveillait, mais je ne savais pas si c’était vraiment une personne ou si ce n’était que plusieurs branches formant une ombre. Je me cachait sous ma couverture sans fermer les yeux durant toute la nuit.

Comme je n’avais pas dormi, j’étais très fatigué, mais je me résolus quand même à faire le nettoyage de la maison. Je ébattait à neuf heures, et je finis ce nettoyage aux alentours de seize heures, ?e regarda la date sur mon ordinateur, on était le 11 Juin 1987. Je sortis faire une petite promenade; après tout, j’avais étouffé dans ma maison en nettoyant le dessous des meubles plein de poussières, je me disais que respirer l’air frais de la campagne plutôt que celle de la maison me détendrait, voire me ferait oublier mes récents problèmes.

Au cours de ma promenade, je rencontrait issues. Alors, t’as fini le nettoyage, hier ? C’était dur et poussiéreux, mais j’ai vaincu quand même. Au fait, tu sais, pour la promesse que tu m’avais faite. Excuse-moi, mais je ne m’en souvenais plus, maintenant je m’en rappelle très bien ! Comment tu peux t’en souvenir ? C’est moi qui l’ai inventé pour te forcer à venir jouer avec nous. Je me sentais comme un Idiot tombé dans un piège qu’on voyait à vue d’ciel. Elle me demanda a Je me sentais comme un idiot tombé dans un piège qu’on voyait à vue d’ciel.

Elle me demanda après s’être excusée de cette mauvaise blague de l’accompagner chercher à la décachetteriez sa statue en bois représentant l’un de ses personnages favoris : le capitaine humer. Arrivés à la décachetteriez, nous nous séparées afin de chercher plus été cette statue, mais un vieux papier attira soudainement mon attention. C’était un bout de journal, dont le titre m’avait sauté aux yeux . Incident Meurtrier au Village yaks. Le 11 Juin 1987 au village yaks, un meurtre atroce a été commis. Un jeune adolescent, assauts rit, qui devait être transféré dans une autre école, a été découpé en 64 morceaux.

Deux de ses amies, oui attache et issues suzerain ont été soupçonnées, mais l’affaire a été finalement classée, faute de preuves. C’était ce qu’il y avait sur ce papier. J’étais encore plus terrifié et tout me revenait à la tête. Une voix me surprit : ‘était celle de issues, je jetait le papier rapidement dans les déchets et la rejoignes. Je ne ‘ai pas trouvée et toi ? Non plus, revenons demain d’accord ? D’accord. Mais dis-moi… Tu n’aurais pas vu un journal traîner par ici ? Je l’avais perdu il y a quelques jours. Je me disais que si elle m’avait vu lire ce vieux papier, il allait m’arriver quelque chose.

Non, je n’ai rien vu de tel, juste de vieilles ordures. Ah bon, à demain allô quelque chose. Ah bon, à demain alors. Je fuyais donc vite en direction de chez moi, mais pendant ma course, je rencontrait quelqu’un. Il était dans sa voiture. Bonsoir, tu es bien hier associais ? Oui, c’est bien moi, que me voulez-vous ? Je suis l’inspecteur récrie canine, je dois te parler, rentre dans la voiture. J’obéis. Bon, tout d’abord, je venais d’apprendre que tu as emménagé ici ; peux-tu me dire ce que tu sais pour le moment ? À propos de quoi ? D’une « malédiction » ? Je n’en ai pas entendu parler.

Je vais t’en dire plus, c’est la Malédiction d’hissa, le Dieu qui protège ce village des bandits et qui donne de bonnes récoltes aux paysans. Tous ceux qui cherchent à mettre en danger le village d’une quelconque façon se font mystérieusement assassiner le 12 Juin. Il y a trois ans, il y avait un projet de construction d’un barrage sur une rivière proche du village ; si le barrage avait été construit, le village serait englouti sous l’eau, mais les habitants ont protesté et le 12 Juin, on a découvert le chef du chantier assassiné, il n’avait plus de tête.

C’était la même chose il y a deux ans avec l’un des partisans du barrage puis l’année dernière, c’était le ministre chien qui a subi la colère du dieu hissa. Ces impossible ! Comment une chose qui n’existe pas peut être à l’or colère du dieu hissa. C’est impossible ! Comment une chose qui n’existe pas peut être à l’origine de ces meurtres ! Ces pour ça que je me suis dit : « Et si quelqu’un faisait passer ces crimes pour la malédiction d’hissa ? » Je ne crois pas vous avoir compris…

Je disais qu’il pourrait y avoir une personne derrière ces meurtres et non un « Dieu». Une autre information me perturbe, pourquoi e 12 Juin ? Tu n’es pas encore au courant ? Le 12 Juin, c’est le festival d’hissa, une fête visant à remercier notre Dieu en déchiquetant du coton. Mais je ne connais pas le rapport entre cette date et ces meurtres. Je voulais lui demander plus d’informations sur l’incident du 11 Juin 1987, mais on frappa à la fenêtre de la voiture.