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Fernandes Alicia La seconde guerre mondlale Comment l’artiste voit-il la guerre et comment la représente-il ? Tuteur M. Nunes 2012/2013 Sommaire Page de présentation Page 1 Page 2 Thème et problématique page 3 Commentaires d’œuvres Page 4 et 5, 6 et 7,8et9 or 8 Sni* to View Steven Spielberg, « Il faut sauver le soldat Ryan la séquence que j’ai étudié se porte beaucoup sur l’horreur, la douleur physique et morale qu’on put subir les soldats. Joe Rosenthal, Raising the Flag on Iwo Jima, Prise le 23 février 1945, Photographie, Reprise par les timbres et de nombreux artistes. Exemple ci-contre de reprise de  » Raising the flag’ Raising the flag at Ground zero, de Thomas E. Franklin) Joe Rosenthal est né le 9 octobre 1911 et est mort le 20 août 2006. C’est un photographe de guerre Américain, il est très connu pour sa photographie « Raising the flag on Iwo Jima » pour laquelle il a reçu le prix Pulitzer. Une scuplture, à son effigie , a d’ailleurs était construite. Cette œuvre a été reprise par beaucoup d’artistes, ce qui montre son influence dans le monde de la photographie.

Cette photographie présente 5 marines et un IJS navy qui plantent le drapeau Américain, ce qui est un véritable symbole pour PAmérique : cette photographie fait ctuellement partie des photographies symboles de l’Amérique. En elle représente à la fois le sacrifice de soi mais aussi le courage et la force dont les soldats ont fait preuve. Les soldats américains sont les principaux élèments de cette photographie, avec le drapeau américain qui flotte au ven ymbole de l’Amérique : symbole de l’Amérique : pour moi dans cette photographie il y a du patriotisme.

Il y a également une mise en scène avec les soldats dans cette posture, et le drapeau qui est disposée de façon a ce qu’il soit mis en valeur. Les soldats, eux , même si ils font partie du premier plan et occupe ne grande place dans la photographie, pour moi c’est surtout le drapeau américain qui est mis en valeur, pour montrer la force de l’Amérique. Cette photographie a fait un grand succés car elle montre tout d’abord la force des Etats-Unis mais aussi car c’est une victoire contre les Japonais qui ont été détesté par les Américains à cause de Pearl Harbor.

Malgré cette terrible bataille, les Américains reviennnent victorieux et triomphants, ils ont servis leurs pays et accomplient leur mission. Dans cette photographie, on a la volonté de l’artiste de montrer le patriotisme de ces oldats américains et le symbolisme de cette photographie. Malgré ça, il ya eu une deuxième photographie donc il y a une mise en scène et ça casse un peu le côté symbolique même si on voit bien le patriotisme. « Je trahirai demain » Je trahirai demain, pas aujourd’hui. Aujourd’hui, arrachez-moi les ongles, Je ne trahirai pas.

Vous ne savez pas le bout de mon courage. Moi je sais. Vous êtes cinq mains dures avec des bagues. Vous avez aux pieds des chaussures Avec des clous. bagues. Je trahirai demain, pas aujourd’hul, Demain. Il me faut la nuit pour me résoudre, Il ne faut pas moins d’une nuit Pour renier, pour abjurer, pour trahir. Pour renier mes amis, Pour abjurer le pain et le vin, Pour trahir la vie, Pour mourir. Je trahirai demain, pas aujourd’hul. La lime est sous le carreau, La lime n’est pas pour le barreau, La lime n’est pas pour le bourreau, La lime est pour mon poignet.

Aujourd’hui je n’ai rien à dire, Je trahirai demain. Marianne Cohn, 1943, Poème Marianne Cohn est une résistante allemande née le 1 7 septembre 1922 à Mannheim, en Allemagne et morte, assassinée par la Gestapo, le 8 juillet 1944 en Haute-Savoie. Elle est née dans une famille juive et décide de s’occuper du transport d’enfants juifs, qui sont enacés de déportation. Elle a était beaucoup emprisonnée, et c’est en 1943, alors qu’elle est incarcérées à Nice, qu’elle écrit son poème. Ce poème montre avant t ination et l’eneaeement de PAGF s’occupe.

Le « vous » représente les bourreaux de Marianne Cohn, la Gestapo, le « vous » représente aussi la torture, alors que le « je » lui est plus porté sur la douleur morale de fartiste, son désespoir. L’auteur se sacrifie pour trahir la vie « la lime est pour mon poignet »), il y a évocation du suicide. Ily a une notion de courage, d’engagement. Les vers sont des phrases courtes, qui ne riment pas. On a une ensation d’empathie, on compatit à son malheur, sa douleur. C’est la Résistance à la torture, à la douleur. Les gens de la Gestapo ne sont pas directement nommés, ils sont surtout nommés grâce aux outils de torture.

Pendant la nuit, la douleur morale fait place et laisse choisir Marianne Cohn quand elle trahira. Mais elle ne trahit pas (le refrain revient), elle préfère mourir : c’est une sorte de suicide. Le « demain » n’évoque pas la délivrance de la torture car elle recommence, est ce « demain » accélère les choses. Malgré la torture et l’atmosphère de souffrance qui y règne, ce poème reste avant tout un poème ‘engagement, de courage et très tragique (Marianne Cohn fut torturée et battue à mort pour ne pas avoir trahie les siens).

Dans ce poeme, Marianne Cohn nous montre sa volonté de ne rien dire, de ne pas trahir les siens et de rester fidèles à ses idéaux. Elle a sacrifiée sa vie alors qu’elle était jeune dans ne cause noble. Cette fois-ci, l’ar Elle a sacrifiée sa vie alors qu’elle était jeune dans ne cause noble. Cette fois-ci, l’artiste nous montre son engagement et sa volonté. Steven Spielberg, Il faut sauver le soldat Ryan, 1998 , Film de guerre américain Il faut sauver le soldat Ryan est un film de guerre américain, de

Steven Spielberg qui est sortie en 1998. Steven Spielberg est un réalisateur, producteur et scénariste américain né le 18 décembre 1946. Il est notamment connu pour des films comme Les dents de la mer, Indiana Jones ou encore E. T. L’extrait que j’étudie se situe au début du film et dure 13’42 mln. Dans cet extrait le personnage le plus présent, montré est le capitaine John H. Miller, l’un des personnages prlncpales de ce film. Sa mission est, en effet, de sauver un soldat du nom de Ryan, qui a perdu ses quatre frères au combat.

Cet extrait est très violent, il y a beaucoup de morts et lorsque les soldats Américains débarquent, ls ont peur, sont inquiets (certains vomissent, d’autres prient). Ceci a pour but de montrer la violence physique mais aussi psychologique de cet épisode de la seconde guerre mondiale. Ce débarquement n’est le seul qui a eu lieu (Sicile, … ), mais ce fut l’un des plus violents comme nous le montre cet extrait. Il y a des passages où l’on a l’impression de suivre le capitaine John H. Miller. Cest très violent : II V a beaucou d’explosions (à un John H.

Miller. C’est très violent : II y a beaucoup de blessés, d’explosions (à un moment, un soldat cherche même, désespérément, son bras. Il y a aussi un effet de bruit ourd comme si l’on était sur le terrain en train de combattre. Les soldats ont du avoir beaucoup de courage pour se lancer dans une opération pareille, ils foncent alors qu’il y a un mur où des tireurs allemands sont présents. En plus de la violence physique, la violence psychologique est très présente (des soldats se cachent et pleurent). Cet extrait souligne donc surtout cette violence.

On sent que la mort est présente avec les cadavres, les explosions et un effet est provoqué avec les bruits sourds lorsque il y a un effet de contre-plongée dans l’eau. Dans ce film, on nous plonge dans l’horreur du front, en l’occurrence le ébarquement allié. Contrairement à la photographie de Joe Rosenthal, on ne nous montre pas une Amérique victorieuse mals des Américains qui ont du mal à combattre l’occupant Allemand, qui ont peur (certains pleurent et d’autres prient) et qui voient beaucoup de leurs compagnons mourir.

La vision qu’a l’artiste et qu’il nous donne est beaucoup moins symbolique que la photographie « Iwo Jima P, et nous parle plus de sacrifice, d’une mission. Grâce à fétude de ces trols œuvres j’ai pu apprendre que l’artiste ne montre toujours pas directement une vision affreuse, horrible de la gue apprendre que l’artiste ne montre toujours as directement une Vision affreuse, horrible de la guerre comme le montre la photographie de Rosenthal, qul lui nous montre sa vision patriotique, symbolique du courage des soldats américains.

Pourtant, il a dû voir beaucoup l’horreur de la guerre, donc on est plus sur une vision positive de la guerre, contrairement à Spielberg, dans son film, qui nous montre l’horreur physique mais aussi symbolique de la guerre. Donc, selon certaines œuvres d’artistes, on ne montre pas toute cette horreur, malgré sa présence très importante dans la guerre. Non, on montre plutôt une représentation patriotique, on nous montre le courage dont les oldats font preuve pour supporter l’horreur et la volonté dont ils font preuve pour gagner.

Par contre, dans certaines œuvres comme « Je trahirai demain on nous montre plus l’engagement de ces personnes, non soldats, qui pourtant, sacrifient leur vie pour une noble cause, même si dans le poème Marianne Cohn parle aussi de la souffrance physique et psychique. Mais malgré tout l’engagement et le patriotisme dont les personnes font preuves, ce sont quand même des êtres humains qui souffrent et qui ont peurs. Ce côté humain nous est montré dans le film, avec les soldats que Fon voit pleurer, ou encore prier.