Dissertation Don Juan
FULCRAND Enzo 1 ES2 Dissertation Molière écrit et fait représenter Don Juan en 1665, un an après la censure de Tartuffe , il c’est inspiré de l’œuvre de l’auteur espagnol Tirso de Molina , El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (Le Trompeur de Séville et le convive de Pierre) Dom Juan est une pièce baroque( parue à l’époque classique). Elle relate la vie d’un personnage infidèle, séducteur, libertin, blasphémateur. Don Juan, jeune noble accompagné de son fidèle valet Sganarelle, qui accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès.
Seule la Swipe Lo nexL page séduction l’intéresse déshonorées après q cette pièce sera cens Saint-Sacrement. Da avec Gusman l’écuye OVE Sni* to View nt bafouées et é son grand succès, la compagnie du ganarelle discute portrait de son maître, il le dépeint comme un picurien sans limite qui peut tirer du plaisir à faire souffrir les autres, « un épouseur à toutes mains » et un impie irrécupérable et voué à la damnation et qui ne peut être raisonné. Cest à travers cet exercice que nous tenterons de démontrer que les propos de Sganarelle se confirment tout tout au long de l’œuvre. ur commencer dès la deuxième scène que Don Juan a déj? remplacé Elvire dans ses pensées, il l’avoue à Sganarelle Ma foi ! Tu ne te trompes pas, et je dois t’avouer qu’un autre objet a chassé Elvire de ma pensée » Sganarelle va alors lui faire le reproche de son mode de vie libertin ce à quoi Don Juan répondra à travers une une tirade que « la constance n’est bonne que pour les ridicules » ce qui confirme les dires de Sganarelle au sujet de la fidélité de son maître.
Infidélité qui sera de nouveau montrée dans l’acte Il où Don Juan tente de séduire 2 paysannes uasiment en même temps et ce aux dépends de Pierrot un paysan qui venait d’avouer son amour pour Charlotte à celle-ci, le paysan surprendra Don Juan en train de séduire son aimée et demandera au noble de la laisser mais Don Juan résiste et va jusqu’à gifler Pierrot ce qui nous fait remarquer la méchanceté voire la cruauté du personnage.
Dans la pièce Don Juan fera pas d’autre conquêtes féminines mais continuera à tenter de trouver cette jouissance en manipulant les autres, comme avec le pauvre qui est un homme pieu que Don Juan veut faire jurer pour un louis d’or dans l’acte Ill, cène 2 « Je m’en vais te donner un louis d’or tout à l’heure pourvu que tu veuilles jurer. ? et le soumet au péché de tentation ce qui nous éclaire encore s pourvu que tu veuilles jurer. » et le soumet au péché de tentation ce qui nous éclaire encore sur la cruauté de Don Juan. Plus tard Don Juan tirera encore du plaisir à berner Monsieur Dimanche son créancier qui était venu chez Don Juan pour récupérer son argent.
Comme le dit Sganarelle son maître est « un vrai Sardanapale » est ce fait est éclairé tout au long de la pièce, mais ce qui rebute encore plus Sganarelle c’est la stratégie du noble our arriver à ses fins Sganarelle dit à Gusman « c’est un épouseur de toutes mains pour montrer à Gusman que ce n’est pas parce que Don Juan a promis à Done Elvire de l’épouser et ni parce qu’il l’a épousée, qu’il va demeurer avec elle pour autant, il continue en affirmant que si il disait le nom de toutes celles que Don Juan à épousé, « ce serait un chapitre à durer jusques au soir ce qui surprend Gusman.
Plus tard dans l’œuvre, à L’acte Il Don Juan promettra le mariage à Charlotte « je n’est point d’autre dessein que de vous épouser » et à Mathurnine « c’est moi, et non pas vous qu’il a romis d’épouser les deux paysannes tombèrent sous le charme du noble une fois cette promesse avancée et c’est comme ceci que Don Juan les séduit pour après les bafouer en les abandonnant toutes deux, comme il l’a fait avec toutes les femmes qu’il a séduite , se souciant peut de les emplir d comme il l’a fait avec toutes les femmes qu’il a séduite , se souciant peut de les emplir de tristesse et de détruire leur relations amoureuses en cours comme il l’a fait pour Charlotte et Pierrot ou comme il comptait le faire pour les deux jeunes mariés qu’il avait croisé, en abandonnant Done Elvire pour cette jeune emme qu’il n’avait qu’aperçu. De part cette méthode regrettable Don Juan nous montre que pour lui le mariage n’est qu’un outil de séduction et qu’il n’a aucune valeur pour lui, ce qui nous offre un portrait impie de Don Juan , pour qui la religion n’a aucune valeur.
Pour conclure sont portrait de Don Juan Sganarelle explique ? Gusman que « Suffit qu’il faut que le courroux du Ciel l’accable quelque jour ; qu’il me vaudrait bien mieux d’être au diable que d’être à lui » ce qui indique à quel point Don Juan est impie pour Sganarelle. Dans l’œuvre Don Juan nous est premièrement résenté comme un athée qui ne crois qu’en la logique , comme il répond à Sganarelle « Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre son huit » quand celui-ci lui demande en quoi croit-il, dans l’acte III, scène 1 . Même devant le fait accompli Don Juan nie toujours l’existence du Ciel et pense que la religion n’est que superstition, quand la statue du commandeur s’anime devant ses yeux, il accuse une hallucinat PAGF superstition, quand la statue du commandeur s’anime devant ses yeux. l accuse une hallucination, « c’est une bagatelle, et nous pouvons avoir été trompés par un faux jour, ou surpris de uelque vapeur qui nous ai troublé la vue Mais cette vision va semer le doute en Don Juan qui va s’interroger et va demander au Ciel une preuve de son existence, et on peut se demander si le comportement impie, voire hérétique de Don Juan n’est pas volontaire pour attiser la colère du Ciel et ainsi le pousser à ce manifester, on peut ainsi expliqué la dégradation du comportement de Don Juan vers la fin de la pièce, Don Juan souhaite la mort de son propre père « Eh ! Mourez le plus tôt que vous pourrez, c’est le mieux que vous puissiez falre » dans l’acte IV scène 5, puis il devient hypocrite vec son propre père et ne s’en voudra même pas comme il le dit à Sganarelle à la scène 2 de l’acte V « Il n’y a plus de honte maintenant à cela : l’hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. ? et enfin dans la scène 3 de l’acte V Don Juan prend pour argument le ciel pour expliquer pourquoi il a abandonné Elvire « mais le Ciel si oppose directement : il a inspiré à mon âme le dessein de changer de vie il ment ici et ce en ce servant du Ciel ce que , comme le dit Sganarelle dans la scène suivante « Ceci est b et ce en ce servant du Ciel ce que , comme le dit Sganarelle dans a scène suivante « Ceci est bien pis que le reste » ce à quoi son maître rétorquera en envoyant encore un message au Ciel dans la scène 5 de l’acte V alors qu’un spectre apparait « Si le Ciel me donne un avis, il faut qu’il parle un peu plus clairement, s’il veut que je l’entende » Sur cette vision Sganarelle implore son mettre de se repentir « jetez-vous vite dans le repentir et dans la scène qui suit, la dernière Don Juan est assuré de l’existence de Dieu, mais il continue sa révolte contre celui ci « Non, non, il ne sera pas dit, quoi qu’il arrive, que je sois capable de me repentir » , à ces aroles, qui montrent que Don Juan renie le Ciel en toute lucidité, la colere Divine s’abat sur Don Juan qul été voué à la damnation. Dans cette œuvre nous avons découvert un Don Juan épicurien sadique, qui ne recule devant rien, coureur qui se soucie peu des femmes qu’il abandonne et enfin un hérétique qui ne cesse de défier le Ciel, tout comme Sganarelle nous l’a décrit au début de l’œuvre, le valet avait aussi prévu la damnation de son maitre, ce qui montre qu’il possède une grande sagesse malgré son inculture et sa fidélité aveugle et forcée envers son maître. nl