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Qu’est-ce qui fait une bonne représentation d’une pièce de théâtre ? Le théâtre est un genre littéraire particulier. En effet, il peut simplement être destiné à la lecture, mais il peut aussi être utilisé afin d’être joué, dans ce cas, on parle de représentation théâtrale. Dès l’Antiquité, les représentations théâtrales sont présentes, Dionysos en serait l’initiateur lors des fêtes qu’il organisait. Bien que les textes de théâtre peuvent être lus et étudiés comme des textes littéraires à part entière, ils restent tout de même liés à la eprésentation sur scène.

Nous allons donc nous demander qu’est-ce qui fait une bonne représentation d’une pièce de théâtre. Dans un pre l’auteur et son texte, que peut prendre le à la réussite d’une re qu’une bonne représ or7 ttz Sni* to View nextÇEge rons la fidélité ? que les libertés nt mener, elles aussl, us montrerons es spectateurs et de la bonne réception qu’ils ont de la repr sentation. l- Fidélité à l’auteur et à son texte L’une des solutions les plus évidentes, qui n’est pas la plus simple, afin de réussir sa représentation est de se rattacher, resque trait pour trait, au texte original que l’on souhaite mettre en scène.

En effet, si le metteur en Swipe to View next page scène veut se rapprocher le plus possible de la vision de l’auteur, il se doit de le faire en se référant un maximum au texte initial et à ses indications. En effet, un spectateur qui a ut la pièce qui va être présentée sous ses yeux s’attend probablement à ce qu’elle soit proche de ce qu’il imagine, et donc, du texte et des indices scénique laissés par l’auteur, tels que les didascalies.

Si le metteur en scène ne respecte pas l’une des didascalies, le moment qui se déroule, ou ême la scene entière n’aura plus le même sens, voire plus aucun sens, que voulait apporter le dramaturge. On peut prendre l’exemple de la pièce de théâtre de Racine, Phèdre datant de 1 667 ; lors de la scène 3 de l’acte l, le dramaturge ajoute aux paroles de Phèdre la didascalie suivante « elle s’assied cette indication pourrait paraître anodine à l’heure actuelle, cependant, une reine ne s’assied pas par faiblesse, or c’est le cas ici.

Si le metteur en scène ne retranscrit pas cette information, la faiblesse de Phèdre ne sera donc pas évoquée, et le sens symbolique de ce geste sera perdu. De plus, le metteur en scène se doit faire attention aux objets qui ne sont pas seulement de simples accessoires. En effet, un simple objet tel que le bronze dans Huis Clos de Jean-Paul Sartre, publié en 1 947, s’avère être en vérité le symbole du regard.

Dans cette pièce, Garcin, Inès et Estelle sont tout trois coi PAG » rif 7 être en vérité le symbole du regard. Dans cette pièce, Garcin, Inès et Estelle sont tout trois coincés dans un salon après leur mort, effectuant ainsi le procès de leur existence. Le bronze représente les « Autres » qui porte un jugement sur Garcin, ce dernier a ‘impression d’être assailli par ces regards cependant, ce n’est qu’un bronze et les seules personnes présentes dans la pièce sont les deux autres personnages.

Tout comme les didascalies, certains objets sont important voire nécessaire au symbolisme ou bien à la compréhension d’une pièce. Tout comme les accessoires, les décors ainsi que les costumes sont indispensables à la représentation théâtrale. Bien qu’ils ait évolués au fil des siècles, et selon les pièces, les décors et costumes restent les principaux point d’une mise en scène. Le aroque, mouvement artistique du XVIIIème siècle, se voyait offrir des décors majestueux et monumentales en accord avec les principes du mouvement.

Cependant, les décors et costumes changent aussi en fonction de l’époque où se déroule la pièce. Ainsi, dans Ruy Blas, de Victor Hugo, publié en 1838, les décors sont importants pour situer l’époque dans laquelle se déroule la pièce et les costumes quant à eux, démarque les différentes castes soclales des personnages. De cette façon, il est important pour le metteur en scène que Ruy Blas soit habillé tel un premier ministre d’époque et lors de PAGF3C,F7