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OST Emilie BTS 2 Notariat Note Observations 27 Mars 2015 Eco nomie première partie : tr 10) Expliquer les not or 10 Snipe to View nextÇEge mande extérieure, de demande intérieure et de demande effective. Pour la définition de ces trois notions, on remarque un mot récurrent : la demande. La demande correspond à la la quantité d’un certain produit demandée par les acheteurs pour un prix donné. Le prix d’un bien est considéré comme une quantité dépendant (entre autres) de l’offre et de la demande. Il est abordé dans l’annexe la notion de demande extérieure.

Après analyse du texte, nous remarquons que cette demande ésigne ce qui est couramment appelé « les exportations Ce terme désigne l’ensemble des biens et des services fournis par des résidents à des non-résidents (à titre onéreux ou gratuit), ? savoir le territoire national français aux pays en dehors des frontières de la France. Cette demande extérieure est d’ailleurs intérieure correspond donc à la consommation des ménages, l’investissement et dépense de l’Etat (selon le modèle keynésien) La demande effective est une notion développée par le théoricien Keynes.

Selon lui la demande effective est la production que les entrepreneurs pensent pouvoir vendre, ou ans d’autres termes la demande anticipée par les entreprises. Le futur n’étant pas connu avec certitude, l’appréciation de l’entrepreneur sur la demande effective pourra d’une part être erronee, et cette erreur aura des répercussions sur l’emploi. D’autre part, la demande effective dépend en partie du niveau de consommation des ménages. C’est à partir, entre autre, de ce niveau de consommation anticipé que les entreprlses fixent leur niveau de production.

La demande effective développée par Keynes est venu en réponse à la Loi des débouchés de Jean- Baptiste Say. Ici c’est l’offre qui crée le revenu. Exemple : si je produis un iPhone, il sera automatiquement vendu, « plus les producteurs sont nombreux et les productions multiples, plus les débouchés sont faciles, variés et vastes 20) Repérer la situation de la France. De prime abord, on constate que la demande adressée à la France est restée morne, d’une part au niveau des exportations qui était en baisse au premier trimestre 2013 à -0,2 % et cela depuis 2 trimestres consécutifs, à savoir le 3ème et 4ème trimestre 2012.

Cette faiblesse de la demande extérieure est liée à l’activité qualifiée de « décevante » des économies émergentes (une ?conomie émergente se caractérise ar un revenu intermédiaire qui est supéri 10 économies émergentes (une économie émergente se caractérise par un revenu intermédiaire qui est supérieur aux pays les moins avancés, inférieur aux revenus des économies de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) – source Melchior Elle est également liée à la faible demande adressée à la zone euro et que les importations allemandes étaient en forte baisse.

En conséquence, les entreprises ont diminué leurs investissements mais cependant ce recul s’atténue. Il en est de ême pour les ménages qui face à une dégradation du marché du travail (35000 pertes d’emplois marchands par trimestre en moyenne) ont vu leur pouvoir d’achat pénalisé.

On constate cependant une stagnation dans la consommation des ménages due à trois facteurs : faible dynamisme revenus salariaux ; baisse de l’inflation , hausse moins importante des prélèvements obligatoires (ensembles des impôts et cotisations sociales prélevés sur les revenus des acteurs économiques par les administrations publiques – source Melchior -) Au sujet de l’activité manufacturière, on a constaté une reprise e l’activité au 2ème trimestre à +0,2 cela a permis aux industries de reconstituer leurs stocks.

Le second semestre 2013 lui permet de dire qu’on était à % au troisième trimestre et +0, 1 % au quatrième trimestre. Nous pouvons noter qu’il y a eu une stabilisation de la production manufacturière en 2013 ? +0,3 % (comparé à 2012 qui était à -4,2%). Vis-à-vis de l’investissement des industries, nous avons dit ci- dessus qu’il y avait un recul moins prononcé de l’investissem des industries, nous avons dit ci-dessus qu’il y avait un recul moins prononcé de l’investissement, en effet, il y a eu edressement des mises en chantier des bâtiments.

La demande des ménages à ces industries étaient cependant en baisse. On pourrait attribuer cela au fait que l’épargne de précaution était en augmentation et qu’il n’y a eu aucune baisse du taux d’épargne en 2013 point en 2013, -0,5 point en 2012). Au deuxième trimestre 2013, un rebond s’opère dans les exportations adressées à la France grâce aux améliorations qui s’opèrent en Europe (+0,6 % sur 3 trimestres alors qu’au 1er trimestre on était à Participant à ce rebond également l’appréclation globale de l’euro depuis mi-2012.

Nous avons souligné plus haut que les ménages étaient pénalisés sur les pouvoir d’achat en raison du marché du travail, ? ce titre, malgré 35. 000 pertes d’emplois marchands par trimestre en moyenne, il y a eu une augmentation importante des emplois aidés dans le secteur non marchand. Ces deux conséquences cumulées ont permis une baisse de l’emploi très faible. Au niveau du chômage, le taux dépasserait 11 % fin 2013, soit une hausse de ponts en un an.

Cette hausse du chômage et la faiblesse relevée dans les unités de production française ont eu un impact sur l’inflation (perte du ouvoir d’achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix – Source Wikipedia Le pouvoir d’achat était estimé à +0,2 % en 2013 contre -0,9 % en 2012, soit une légère amélioration. 30) Quels sont les facteurs qui pourraient contrarie 0 30) Quels sont les facteurs qui pourraient contrarier ces prévisions ?

Il demeure un recul de l’investissement malgré une légère stabilisation dans le bâtiment (mises en chantier qui se redressent), les entreprises vis-à-vis de leurs investissements se replient mais avec atténuation. Bilan : recul moins prononcé de ‘investissement. De plus, l’activité en Europe se redresse progressivement (ainsi qu’au Japon, mais celle-ci est plus importante) du fait du tassement dans le climat des affaires des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et des Etats-Unis.

Cela sera de courte durée car le prix du pétrole va augmenter face à la demande mondiale. Les pays de l’OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole – Arabie saoudite, Iran, Irak, Koweit, Qatar, Émirats Arabes Unis… -) étant les principaux détenteurs des ressources en pétrole du monde. Cette hausse est due à une aisse les mos derniers, il y aura alors un impact sur les perspectives de demande qui seront légèrement plus dynamiques que l’offre prévisible.

Globalement, à titre de conclusion, un redressement s’opère en Europe et cela laisse à percevoir une croissance des débouchés ? l’exportation de la France. Deuxième partie : « déterminer les enjeux de la veille informationnelle et en déduire les conséquences pour l’activité notariale h. Le Notaire a n’en plus douter est un acteur clé dans les projets d’investissement de ses clients. Ila orte de précieux conseils principalement en matièr mais également dans la s 0