Investissement et croissance

essay A

Normalement, plus e taux de marge est élevé et plus la part des salaires et faible, plus l’entreprise disposera alors de ressources pour financer ses investissements ultérieurs. Ce profit devient de plus essentiel dans une économie marquée par la désorientation bancaire et la hausse des taux d’intérêt réels. Cela renvoie à l’analyse libérale (économistes de l’offre) selon laquelle il faut favoriser l’offre, c’est-dire les producteurs, pour favoriser l’investissement et donc la croissance économique. Il s’agit alors de baisser la fiscalité qui frappe les entreprises pour accroître les profits et donc l’investissement. Orateur lofer). B. Ces investissements sont favorables à ’emploi L’investissement favorise la création d’emplois (à angon terme) pour plusieurs raisons. Il premier boy karting baffle AI, 2009 | 15 pages sont favorables à l’emploi L’investissement favorise la création d’emplois (à long terme) pour plusieurs raisons. Il faut d’une part créer ces nouveaux biens d’équipement, ce qui suppose la création d’emploi. Quand il s’agit d’investissement de capacité, c’est-à-dire destiné destinés à faire face à un accroissement de la demande, ces investissements se traduisent également par un surplus d’emplois.

Enfin, les investissements de redécouvrit, destinés à réaliser des gains de productivité, favorisent la baisse du coût unitaire, la compétitivité, les gains de parts de marchés, la croissance de la production et donc l’emploi. Deuxième Partie : Cependant, cette relation est à relativiser A. Les profits ne sont pas toujours réinvestis Tout dépend de la probabilité et de la rentabilité du projet d’investissement. ? Les entreprises vont comparer le revenu tiré d’un investissement productif et celui tiré d’un placement financier (elle calculent la probabilité).

Elles peuvent ainsi disposer de ressources suffisantes pour investir et préférer cependant placer ces fonds parce qu’elles jugent ce placement plus rentable. (Fin années 90) ? Elles recherchent également la rentabilité du projet d’investissement. Or, celui-ci peut s’avérer ne pas être rentable : le revenu attendu (rentabilité économique) n’est pas suffisant comparé aux dépenses engagées. On peut supposer à ce niveau que les débouchés anticipés ne sont pas suffisants. On peut ici faire référence à censés. Les profits d’aujourd’hui ne sont donc pas forcément les investissements de demain.

B. Les investissements ne gênèrent pas toujours des emplois Les investissements ont, à court terme, négatifs pour l’emploi. En effet, ils se traduisent souvent par la substitution du capital au travail. Ce sont surtout les investissements de productivité. Ces investissements sont aussi des investissements de modernisation qui nécessite une main-d’ouvre q modernisation qui nécessite une main-d’ouvre qualifiée pour les faire fonctionner. Or, les qualifications détenues par les travailleurs en place sont parfois obsolètes face celles requises par la modernisation.

L’investissement engendre alors du chômage pour une certaine catégorie de travailleurs, souvent exclus du marché du travail s’ils ne fuient pas une formation de reconversion. Sujet : Après avoir mis en évidence l’importance de la demande dans la décision d’investir, vous en montrerez les limites (2) Première Partie : L’importance de la demande dans la décision d’investir A. La thèse kinesthésie complétée par le mécanisme de l’accélérateur B. La vérification empirique : les périodes de reprise de la demande sont aussi des périodes de reprise de l’investissement et inversement (Ou A. Demande anticipée / B.

Principe de 1 Investissement et Croissance l’accélérateur) Deuxième Partie : Les limites d’une telle relation A. La relation dépend de la réalisation d’un certain nombre de conditions – Des capacités de production non – saturées – Une orientation de la demande vers des produits nationaux et non -étrangers B. La décision d’investir dépend de bien d’autres déterminants – La situation financière de l’entreprise et sa capacité à réaliser de nouveaux investissements – Le niveau des taux d’intérêt que conditionnent la rentabilité d’un investissement financé par emprunt ; il influence également le choix d’un placement financier. Probabilité) La reprise de la demande n’est donc pas une condition suffisante pour assurer la reprise de ‘investissement. N’est donc pas une condition suffisante pour assurer la reprise de l’investissement. Sujet : Après avoir montré que l’investissement peut-être favorable à l’emploi, vous présenterez les limites de cette relation (3) Première Partie : L’investissement peut être favorable l’emploi A. Il agit sur le niveau de la demande 1. La thèse kinesthésie du multiplicateur 2.

La thèse de la répartition des gains de productivité (possibilité d’exploiter la thèse de sauva du déversement et celle de fourreras) B. Il agit sur l’offre 1. Il favorise l’accroissement des capacités de production (investissement de capacité) 2. Il favorise la compétitivité des entreprises (investissement de productivité) Deuxième Partie : Les limites de la relation A. Le lien n’est pas systématique : les conditions d’efficacité du multiplicateur cynisme. B. L’investissement (de productivité) à des effets négatifs sur l’emploi 1. À court terme, il y a substitution du capital au travail. . Les investissements modifient la nature des emplois et gênèrent le chômage d’exclusion Sujet : Une baisse des taux suffit – elle à une reprise de l’investissement ? (4) Première Partie : La baisse des taux favorise la reprise de l’investissement A. En agissant directement sur la rentabilité sur des projets d’investissement Elle accroît la rentabilité économique de l’investissement La thèse énucléations Confirmation par la réalité historique (Période des 30 Glorieuses et années 70) Faible taux d’autofinancement Fort taux d’investissement et variation positive de l’investissement B.

Elle a aussi des effets indirects sur l’investissement Elle distinctes au placement l’investissement B. Elle a aussi des effets indirects sur l’investissement Elle distinctes au placement financier en faveur l’investissement productif Effet de levier (Probabilité sottise) Elle favorise également dépréciation (baisse du taux de change, possibilité d’améliorer la compétitivité prix et donc effet sur la production et sur l’investissement) Deuxième Partie : Ce n’est cependant pas une condition suffisante A.

Elle dépend d’autres déterminants Le niveau de la demande anticipée et le taux d’utilisation des capacités de production Thèse de censés Les années 90 : Taux d’autofinancement supérieur à 100%, taux d’investissement au plus bas, faible croissance de la consommation des ménages, baisse du taux d’intérêt réel Le coût relatif des coûts de production 2 Investissement et B.

Changement des modalités de financement de l’investissement De la finance intermède à la finance directe dépendance technologique (transferts de technologies) Le taux d’intérêt ne joue plus autant qu’avant dans la décision d’investir Sujet : Dans quelle mesure la répartition de la valeur ajoutée influence t’-elle le niveau de l’investissement? (5) Première partie: La répartition de la valeur ajoutée influence le niveau de l’investissement A. Elle détermine la rentabilité de l’investissement et les conditions de financement de l’entreprise 1.

Elle détermine la rentabilité de l’entreprise La répartition de la valeur ajoutée resserrons au partage de la VA entre salaire et profit. Plus le taux de marge est élevé (BÉE-VA) et plus ‘investissement est rentable et donc plus l’entreprise est incitée à investir. L’investissement est rentable et donc plus l’entreprise est incitée à investir. Les périodes de hausse du taux de marge sont ainsi aussi des périodes de reprise de l’investissement (Moitié des années 80).

Au contraire, les périodes de baisse du taux de marge sont des périodes de ralentissement de l’investissement et donc de baisse du taux d’investissement. (Moitié des années 70 / Moitié des années 90) 2. Elle favorise l’autofinancement Un taux de rage élevé permet donc à l’entreprise de dégager des profits qui lui permettent d’assurer elle-même le financement de son investissement. Ceci est important dans les périodes de hausse du taux d’intérêt (depuis le début des années 80) On retrouve la thèse d’.

schisme: les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain B. La répartition de la valeur ajoutée détermine aussi les débouchés futurs de l’entreprise En effet, un partage de la VA, favorable aux travailleurs, permet une forte progression des revenus et donc de la demande. Or, les entreprises investissent aussi quand elles anticipent un accroissement important et durable de la demande. On retrouve la thèse kinesthésie selon laquelle c’est la demande qui incite à l’investissement. On peut compléter cette thèse par le mécanisme de l’accélérateur : tout accroissement de la demande se traduit par une hausse plus que proportionnelle de l’investissement). Le ralentissement de l’investissement au début 90 est à relier à une insuffisance de débouchés et non à un problème de condition de financement de l’investissement. Le partage de la valeur ajoutée qui est aujourd’hui toujours défavorable aux salariés pose défavorable aux salariés pose la même contrainte.

Cependant, on voit là aussi le paradoxe lié à cette répartition de la VA puis qu’elle doit à la fois déterminer les conditions de rentabilité à travers un profit élevé et la vente de la production à travers un niveau de rémunération des salariés qui ne leur soit pas trop défavorable. Deuxième Partie : cependant le partage de la VA n’est pas le seul déterminant de l’investissement A. La réalisation d’un profit élevé n’est pas toujours suffisante pour favoriser l’investissement.

Ce n’est pas parce que les entreprises dégagent des profits élevés (partage de la VA qui leur est ouvrable) qu’elles décident de réaliser des investissements nouveaux. On peut en effet constater qu’au cours des années 90, le taux de marge était élevé et que le taux d’autofinancement de l’investissement était supérieur 100%. Cela signifie que les entreprises ont investi moins que le montant des ressources dont elles disposaient. Les profits ne deviennent pas toujours des investissements. Le niveau de l’investissement dépend donc d’autres déterminants qu’une simple valeur ajoutée favorable l’entreprise.

B. Les autres déterminants de l’investissement I . Son niveau d’endettement La situation financière de ‘entreprise est déterminante dans la décision d’investir. En effet, si elle est trop endettée, elle risque ‘insolvabilité. Par conséquent, un taux de marge élevé, une répartition favorable de la VA aux entreprises, permettra plutôt l’entreprise de se désendettement plutôt que d’investir. (Exemple: Moitié des années 80) 2. La rentabilité future et la se désendettement plutôt que d’investir. (Exemple: Moitié des années 80) 2.

La rentabilité future et la probabilité La décision d’investir repose aussi sur la rentabilité liée aux conditions de financement de cet 3 Investissement et investissement : la rentabilité future est donc aussi liée l’évolution du niveau du taux d’intérêt nominal mais surtout réel. Les périodes de hausse du niveau du taux d’intérêt sont ainsi en général défavorables l’investissement alors que les périodes de baisse du taux d’intérêt sont en général des périodes favorables l’investissement (illustration chiffrées) Sujet : Comment l’investissement favorise (agit sur) la croissance ? 6) Première Partie : L’investissement agit sur l’offre de produits et stimule la croissance à long terme A. Investissement de capacité et Production A long terme, on instant une corrélation positive entre la croissance de la FABLE et la croissance Tout d’abord, l’entreprise achète des équipements supplémentaires pour augmenter ses capacités de production houillères anticipe une forte croissance de la demande. Ceci suppose que les capacités de production soient pleinement utilisées et que l’entreprise ne dispose pas de stocks pour satisfaire la hausse de la demande.

Dans ce cas, l’investissement provoquera un phénomène d’accélération de la croissance Ensuite, l’entreprise qui crée un nouveau produit doit mettre en place les équipements nécessaires. Les éléphants portables ont, dans les années récentes, été en ce sens facteur de croissance. L’augmentation rapide des taux d’équipement continue de rendre nécessaire de L’augmentation rapide des taux d’équipement continue de rendre nécessaire de nouvelles capacités de production tant que la demande n’est pas saturée Enfin, un investissement de capacité ne se fait pas toujours technologie identique.

Les entreprises peuvent investir pour réduire les délais de fabrication grâce à des machines plus performantes ou par une organisation du travail plus performante B. Investissement de productivité et Production On doit noter une corrélation statistique entre l’importance des dépenses d’investissement en ANTI dans l’investissement total et la croissance Tout d’abord, l’investissement permet d’intégrer le progrès technique, qui explique, pour escampette, les phases de croissance.