Cours sur le langage
Le langage animal est une expression directe d’une sensation ou d’un objet dans le à l’animal ? L’homme l’est pas il est prison exprime à travers so es hommes dévelop OF n langage similaire que l’animal ne E e-que l’homme p g recte au monde ? de langage ce sont les langues. Est ce que notre langage exprime pleinement votre représentation, votre vision du monde ? L’ineffable ne peut pas être exprimer par des mots. Comment fonctionne e langage animal ? Par des sons, des gestes.
La différence de langage entre l’animal et l’homme c’est que l’animal fonctionne par signe et le langage humain fonctionne par symbole. Le signe chez l’animal c’est une communication q ShAipe to Wew next page qui fonctionne comme une réaction, l’homme a t-il des signes ? Oui car rhomme pense, réfléchie entre sa perception et son action, il a une hésitation que l’animal n’a pas, l’homme est réflexion car l’homme est pensée. Notre pensée est faite de mot et d’image. On ne peut pensée, on ne peut voir le monde sans passer par un système de mot.
Et les symboles sont une association de deux choses: d’un signifiant (mot) et d’un signifié (objet) Le mot exprime la qualité de l’objet. Le se décuple en plusieurs sens, au niveau singulier et général. – Force et nécessite du langage 1) Nécessité du langage (Rousseau) « On doit juger le premiers mots dont les hommes firent usages eurent dans leur esprit une signification beaucoup plus étendu que n’ont ceux qu’on emploi dans les langues déjà formé, et qu’ignorant la division du discours en ces parties constitutives ils donnèrent à chaque mot le sens d’une proposition entière. Pourquoi les hommes se sont-ils ms à parler ? Selon rousseau les hommes on commençait par adopté un langage naturelle fait de cris et de geste. Ce langage servait au homme dans leur vie concrète et présente à satisfaire des besoins, et exprimer des entiments simples, ce langage naturelle est adopté par l’homme solitaire. L’homme naturel vie seul et n’a pas conscience des autres et adopte un langage. La parole naît du rassemblement des hommes, des premières formes de société. e langages naturelles est instinctifs, immédiat et réfléchie car selon Ro 20F 13 formes de société. le langages naturelles est instinctifs, immédiat et réfléchie car selon Rousseau l’homme naturel est bête. Les hommes en développant la société on développé un langage complexe. Pour cela ils se sont mis à observer le monde et à décrire les objets. D’abord par des signes en suite par des gestes puis par des sons. DLe premiers mots des hommes été plus riches de sens que maintenant puisque chaque mot valaient pour lui même.
L’homme n’avait pas la capacité de former des phrases ou des discours complexes il créer un mot pour chaque idée. Rousseau dit que le langage naturel est plus roche que le mot que nous utilisons nous. La perfectibilité est un néologisme (mot inventé) rousseau l’a inventé. Pour rousseau le langage a permis au homme de se former des idées générales, l’homme en se socialisant a progressivement cesser de considérer un objet la fois et qu’il l’a classé, généralisé, les objets, les idées et les sentiments.
L’homme utilise des mots pour penser, il doit classer les objets, il doit généraliser l’infinité des choses afin de pouvoir les connaître. Il doit réduire les choses en mot si il veux comprendre le monde, l’homme ne doit pas seulement utiliser un mot pour un objet il doit complexifier des mots, les assembler et en faire des propositions. L’homme perd de Pirnagination qui lui fournis un monde de sensation et construit un intellect qui lui offre des idées générales. Rousseau développe 3 arguments: > 10 argument: Chaque. 0F 13 ffre des Idées générales. Rousseau développe 3 arguments: > 10 argument: Chaque… à… avoir») Le passage du singulier au générale. Rousseau affirme que [‘homme commence par se présenter les objets isolément à calquer sur chaque objet un mot qui vaux pour lui même. Si bien que l’homme ne voit pas le lien entre les objets. L’homme ne compare pas le chaine A au chêne B c’est pour sa qu’il ne considère pas ces deux arbres sous le même genre de chêne. Lhomme ne compare pas les objets parce qu’il ne l’est étudie pas.
Il n’en ressort pas les propriétés et les différences, son esprit n’est pas assez formé. > 2 D argument: (« D’ailleurs… à… recevoir h) L’homme doit passer par des mots pour former des propositions (ligne 9 « D’ailleurs, les idées générales ne peuvent s’introduire dans l’esprit qu’à raide de mots, et l’entendement en les saisit que par des propositions h). Pour définir cela, Rousseau compare l’homme à l’animal, l’animal ne sait pas former une idée général d’un objet, l’animal fonctionne par sensation, par tout ces sens.
II n’accède pas l’objet, il est tout entier enfermé dans ses propres sensations. Lorsqu’il voit une noix c’est le goût, la sensation de la noix qu’il oit, c’est en cela qu’il va de noix en noix, donc de sensation en sensation. Le singe n’a pas l’idée de la noix. > 30 argument: Rousseau distingue deux choses, l’intellect et l’imagination. L’homme progresse par Pintellect mais régresse dans son imagination. La différence entre l’intell 4 3 Chomme progresse par l’intellect mais régresse dans son imagination. La différence entre l’intellect et l’imagination.
L’animal fonctionne par l’imagination, il n’a pas d’intellect. ‘homme était d’abord imagination puis il s’est formé petit à petit un intellect qu’il l’a affuté. Un intellect qui lui a fait rogressivement diminué l’imagination, c’est ce que Rousseau nomme la perfectibilité, l’animal n’est pas perfectible (ligne 15 « Toute idée générale est purement intellectuelle ; pour peu que l’imagination s’en même, l’idée devient aussitôt particulière ») on ne peut plus se représenter un arbre on peut que penser un arbre dans sa généralité.
L’animal se représente pleinement un arbre c’est l’arbre qu’il a en face de lui, celui qui provoque en lui des sensations. L’homme est sorti de cette représentation immédiate de l’arbre il en a une connaissance générale. Ce qu’il perdu en imagination il l’a gagné en intellect, l’homme peut se représenter des êtres abstraits (un triangle).
L’homme doit dépasser le cadre de l’imagination et se former des idées intellectuelles (ligne 23 « car sitôt que l’imagination s’arrête, l’esprit ne marche plus qu’a l’aide du discours 2) Le langage expression de la pensée (Friedrich Hegel 1770-1831, Allemagne) « Vouloir penser sans les mots, c’est une tentative insensée »0 Hegel est un philosophe qui a construit un véritable système philosophique, c’est une argumentation qui suit une logique implacable comme à travers son oeuvre « 3 mplacable comme à travers son oeuvre « Phénoménologie de l’esprit D.
Pour lui c’est odyssée de la conscience. Pour lui la conscience est imparfaite il faut l’a former, la conscience grandit elle gagne en expérience et en connaissance. Elle franchit des étapes jusqu’à atteindre le point final du trajet: l’état d’Esprit. L’Etat d’esprit chez Hegel c’est la connaissance absolu. Le langage est une expression pleine de la pensée pour Hegel l’associations entre les mots et les idées permettent au hommes de se représenter les choses et de se l’est nommer.
L’intelligence lorsqu’elle utilise des mots accède à la nature de la chose et la ensée se déploie pleinement le mot permet d’unir l’extériorité l’intériorité notre pesée intérieure entre en adéquation au monde qui l’entoure (thèse général d’Hegel dans le texte 2). Le langage offre à la pensée de la clarté, il lui offre aussi la connaissance d’elle même et les objets autour d’elle. Hegel scinde son propos en trois. 1 a argument (ligne 1 à 6): Le langage permet à notre pensée de s’extérioriser c’est à dire de n’être pas simplement pure intériorité.
La pensée devient par les mots extériorité mon langage touche à l’objet. Le langage offre à la pensée la dimension e l’extérieure qui est en même temps intérieure. n 20 arguent (ligne 6 à 1 1): La pensée lié au langage n’est pas réduite diminué ou amoindri. Hegel prend l’exemple de l’inexprimable ou l’ineffable. On a tendan 6 3 l’inexprimable ou l’ineffable. On a tendance à considérer que l’inexprimable est un caractère d’un default de langage.
L’opinion générale signifie que le langage a des limites au contraire pour Hegel l’inexprimable est un default de la pensée elle même. Cest la pensée qui est en fermentation (ligne 1 1), qui est rouble (ligne 10) et c’est le langage qui lui donne de la clarté (ligne 1 1). Û > 30 argument (ligne 11 à 16): Hegel exprime: « Le mot donne, par suite, aux pensées leur être-là le plus digne et le plus vrai La conscience est imparfaite elle doit s’améliorer afin de pleinement s’exprimer Ce n’est pas le langage qui a de limites c’est la pensée qui est immature.
Le langage donne un accès à la vérité « De même que la pensée vraie est la chose, de même le mot Pest aussi, lorsqu’il est employé par la pensée vraie ». nl_a pensée dans sa plénitude est vérité, le langage est le moyens d’accès pour la conscience à la vérité de l’esprit. 3) Parole et domination (Platon) Texte 4 Thèse Dans ce texte, Socrate dialogue avec Gorgias et s’interroge sur le pouvoir du langage. Peut-on vraiment exercer sur les autres une domination fondée exclusivement sur la parole?
La thèse est la suivante : « Ce qui procure aux hommes à la fois la liberté et le pouvoir de dominer les autres dans leurs cités respectives Pour Gorgias, la rhétorique, qui est l’art des beaux discours, confère sur les autres un pouvoir plus grand q Gorgias, la rhétorique, qui est l’art des beaux discours, confère sur les autres un pouvoir plus grand que celui de l’argent, puisque même les plus riches peuvent se soumettre aux beaux parleurs.
Premier argument Gorgias affirme devant Socrate que la rhétorique fonde son action et son pouvoir exclusivement sur le discours. Ce discours porte sur « les plus grandes et les meilleurs choses humaines ». Socrate prend l’exemple d’un scolie qui explique que les plus grands biens des hommes se résument à la santé, la beauté et la richesse. Le médecin, le pédotribe et le financier diraient tous les trois que c’est leur bien qui est premier.
En effet, le médecin affirme que le plus grand bien de l’homme, c’est la santé. Pour le pédotrlbe, le plus grand bien de l’homme est la force et la beauté physiques. our le financier, c’est la richesse. Second argument Socrate oppose au bien du financier, la richesse, le bien revendiqué par Gorgias, la rhétorique. Pour Gorgias, la rhétorique est un art qui rend l’homme libre et qui lui offre un pouvoir capable de dominer les autres citoyens. En effet, pour Gorgias, la rhétorique est un art de persuasion.
La différence entre convaincre et persuader, c’est que convaincre signifie prouver, amener quelqu’un à reconnaître la vérité d’un fait par des raisons, des preuves. L’art de persuader est différent, il s’agit plutôt de manipuler quelqu’un, de lui faire croire ce que l’on veut lui faire roire, il s’agit d’amener quelqu’un à croire B3 faire croire ce que l’on veut lui faire croire, il s’agit d’amener quelqu’un à croire ou a vouloir faire quelque chose.
En ce sens, Gorgias affirme que la rhétorique est l’art de persuader les juges, les conseillers et le peuple. Donc, la rhétorique est l’art de manipuler les autres par les beaux discours et, concernant les trois exemples présentés par Socrate, Gorgias affirme que le médecin et le pédotribe deviennent, par les beaux discours, les esclaves du rhéteur. Quant au financier, Gorgias considère que le financier peut ne pas s’enrichir, mais enrichir un autre.
En effet, le rhéteur (un homme qui tient un discours avec l’art de la réthorique), par ses beaux discours, peut manipuler le financier à tel point qu’il peut l’amener à l’enrichir lui plutôt qu’à s’enrichir soi-même : « c’est un autre qu’il enrichit et non lui-même, mais toi qui sais parler et persuader la foule Socrate résume ensuite la vision de la rhétorique propre à Gorgias : la caractéristique essentielle de la rhétorique est d’être un art de persuasion. ll- Critique du langage 1) Langage et surface du moi (Henry Bergson; exte 5) Bergson (1 859/1941 ; France) C’est un philosophe du épassement de la condition humaine.
C’est aussi un penseur dualiste, d’un cotés l’esprit puis de l’autre cotés la matière, l’esprit c’est la conscience qui est temporelle, la matière pour lui c’est l’opposée, l’espace qui et figée, présent et matérielle. L’objet ne réfléchie pas car il n’a pas de souvenir, i l’espace qui et figée, présent et matérielle. L’objet ne réfléchie pas car il n’a pas de souvenir, il vit dans le propre présent alors que la conscience ne vit jamais dans le présent. La conscience pour Bergson il y a le passé, le présent et le futur, on considère ue nous somme un mélange des trois.
Nous somme dans le présent et on se projette vers le futur. pour Bergson on est la limite entre le passé et le futur, j’agit grâce à mon passée comme par exemple la marche, mais j’agit toujours en vue de quelques chose dans le futur. Je dur parce que tout mon passé me constitue, fonde mon présent et me pousses à agir. Le passé presse contre le présent et créer le futur. Bergson oppose deux types de moi, la surface du moi et le moi profond. L’objet n’a pas de mémoire, n’a pas de souvenir il n’est pas temporelle, nous en tans que conscience nous sommes temporelles.