L’acquisition du langage chez le nouveau né

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Même si l’apprenti age ci est-à-dire: Dés la naissance jusq 0 dé ppement de es âges de 1 à 3 ans. e bien avant cet âge, période chez le nouveau né se développe les transformations de la communication verbal remarquables dans : La compréhension Cest-à-dire qu’au début l’enfant comprend et connait certaines choses et plusieurs objets. La production ‘enfant arrive à un certain âge prononcer les mots qui avec ces derniers nomme les choses et les objets. Conclusion, pour bien produire les mots il faut les comprendre avant toute chose. N. B: L’acquisition du langage par l’enfant se déroule parfois en arallèle avec .

Le développement de nombreuses autres aptitudes cognitives (la dissocier. 2- Quelles sont les étapes de l’acquisition du langage ? A- La période pré-linguistique 1-La production La première année est importante pour le nouveau né,’ après les cris et les pleurs vient le début du contrôle articulatoire vers le cinquième et le sixième moi avec se qu’on appelle « le babillage car au sixième moi l’enfant a une gamme très étendue de phonèmes, à partir de cet âge les productions sonores commencent à se rapprocher des phonèmes de la langue maternelle.

Pendant cette période, l’enfant passe progressivement d’une forme globale de communication mettant en jeux le corps tout entier à une forme plus différenciée qui fait appel à « l’activité vocale » à un début de « compréhension verbale 2- La réception Dès l’âge de un mois l’enfant montre une habilité surprenante sur le plan de la réception linguistique, car il est capable de distinguer la voix humaine des autres sons, à l’âge de deux mois il répond différemment à la voix de sa mère qu’aux autres voix humaines.

Plus étonnant encore les bébés âgés de quelques jours peuvent épondre de manière différente à plusieurs choses par exemple : la syllabe «BA » et la syllabe « GA », vous vous dites mais qu’est ce qu’il est entrain de dire ? Eh bien c’est simple, les chercheurs et les spécialistes de la linguistique ce sont penchés sur la question à plusieurs reprises, à la fin fût l’expérience qui confirma que l’enfant est capable de distinguer deux sons différents.

Le principe de cette expérience consiste à habituer le bébé à ce qu’ils ont appel 0 principe de cette expérience consiste à habituer le bébé à ce qu’ils ont appelé « La stimulation auditive répétitive l’expérience tait la suivante On a installé un bébé avec une tétine à la bouche, relié à un dispositif électronique qui permet de compter le nombre de succion grâce à la vibration de la pression de pair dans le tuyau.

Ils ont commencés par la syllabe « BA Quand le bébé c’est habitué à ce son, le rythme de succion c’est stabilisé et brusquement les scientifiques changent le son et commence par prononcer le son « GA »; et là que ce passe t’il à votre avis ? Eh bien, le bébé réagit à ce nouveau son en suçant plus énergiquement sa tétine, cela signifie qu’il est capable de le différencié du « BA Y.

Conclusion, Penfant est capable de distinguer les sons de la parole sur la plus part des dimensions phonétiques. B- Les énoncés d’un seul mot (1 an) Entre le neuvième et le dix-huitième moi, l’enfant produit des mots isolés c’est-à-dire des énoncés ne comportant qu’un seul mot comme par exemple : papa- mama- a’voir- pati- dodo- pot. Pour certains, l’enfant nomme les objets concrets ce qui veut dire manipulables, ces derniers ont un rôle secondaire ou bien mineur dans une première phase.

Pour d’autres spécialistes, les enfants ne parleraient pas tous pour dire la même chose, chez certains les énoncés sont éférentielles, orientés vers les objets, chez d’autres les premiers énoncés sont expressifs orientés vers la communication comme la demande, le refus et l’appel….. Les linguistes ce sont penchés aussi sur l’usage des noms de personne, ca refus et l’appel…….

Les linguistes ce sont penchés aussi sur l’usage des noms de personne, car dans un premier temps, l’enfant les utilisent pour nommer quelqu’un qui entre en scène pour le saluer ou bien pour l’appeler, puis ils les utilisent pour désigner des objets appartenant à la personne nommée, donc on constate que es mots isolés et produits sont interprétés par son entourage familial comme des significations complexes synonymes de phrases.

D’une façon générale, les mots que produit renfant ont une signification indéterminée ou ambigüe, c’est-à-dire qu’il Interprète le mot de plusieurs façons exemple sur le mot « papa » pour l’appelé ou bien pour signaler un objet l’appartenant. C- Les énoncés de deux mots (2 ans) Dès que plusieurs mots peuvent être combinés au sein d’un même énoncé, se pose alors le problème de syntaxe « organisation de ces mots selon leurs fonctions »

A partir de 2 ans, l’enfant produit des énoncés de deux mots organisés et appelés selon le linguiste (Braine) « la grammaire pivot »qui distingue deux classes de mot : Les mots pivot Ils sont peu car les enfants les utilisent dans une place fixée dans l’énoncé soit au début ou bien à la fin d’un énoncé. Les mots ouverts ils sont nombreux et pour l’enfant ils n’ont pas de place fixe ou précise dans l’énoncé.

A noter que cette grammaire et fonctionnelle jusqu’à l’âge de 2 ans et est considérée comme une sorte d’impasse linguistique chez l’enfant, qui va l’aider à métriser la grammaire adulte pour u’il puisse améliorer et ordonner les mot 4 0 va l’aider à métriser la grammaire adulte pour qu’il puisse améliorer et ordonner les mots.

Exemples sur les mots pivots : aussi – encore – a moi Exemples sur les mots ouverts : bonbon – camion – clé D- La phrase (3 ans) Elle est définie comme un énoncé de plus de deux mots contenant un syntagme nominal (SN) et un syntagme verbal (SV), l’évolution du premier est marqué par l’évolution de ses différents éléments : nom, pronom, article, adjectif et préposition et le second évolue par l’utilisation des différents temps et odes du verbe (passé-présent-futur), à savoir que ses formes sont produites entre 4 et six ans, bien qu’il existe des différences interindividuelles par un ordre général d’acquisition qui est le suivant . Avant 2 ans et demis la forme la plus utilisée le « est » ; Entre 2 ans et demis et 4 ans « les auxiliaires être et avoir, les formes de l’indicative, l’indicatif présent et le passé indéfini » ; Vers 4 ans « le futur périphrastique ex : (il va venir) en notant que plus tard le futur simple apparaitra ; Entre cinq et six ans l’imparfait et le conditionnel car se sont les emps les plus tardifs. 3- Ya-t-il une période critique pour apprendre à parler ?

Pour connaître la période critique dans la quelle on apprend parler, il faut savoir qu’elle a une relation avec ce qu’appellent les chercheurs et spécialistes de la linguistique « la maturation cérébrale mais que signifie « la maturation cérébrale ? » Maturation vient du mot « maturité » d’origine latin « Maturitas, maturus » qui veut dire mûr en français, et cette appellat « maturité » d’origine latin « Maturitas, maturus » qui veut dire mûr en français, et cette appellation concerne le cerveau c’est our cela qu’il ya l’adjective cérébral. Conclusion, « la maturation cérébrale » c’est l’état de l’intelligence ou bien d’une faculté qui a atteint son développement. Mais la question que vous vous posez, quelle est la relation entre la période critique et la maturation du cerveau ? Période critique et maturation cérébrale sont deux notions différentes.

L’hypothèse d’une période critique pour l’acquisition du langage est entre deux âges selon « Pinker h, car la thèse de l’innéité ajoute que ces âges sont définis par la maturation du cerveau, la thèse de la modularité et que cette maturation met disposition de l’enfant des ressources spécialisées pour le traitement du langage pour apprendre à parler donc je conclure que, d’après les recherches que j’ai faites la période critique pour apprendre à parler s’étend de deux ans à page de puberté et même plus. 4- Comment le nouveau né établie le contacte avec son entourage ? Il est très important de prendre en considération le rôle et réactions de «la fratrie(l)» et des grands-parents à la naissance du bébé, ces derniers, participent plus ou moins à la prise en charge directe de l’enfant par la place qu’ils occupent dans « la tête des arent » qui joue un rôle de sécurité et de compétence. Par ailleurs, les bébés de nos jours sont rapidement confrontés à une vie collective avec d’autres enfants.

Le contact est établi d’après les linguistes «des interactions(2)», et c’est la mère qui e 6 0 Le contact est établi d’après les linguistes «des interactions(2)», et c’est la mère qui et prise en considération avec son nourrisson, à noter bien sûr que ce dernier est en interaction avec d’autres partenaires, qui vont aussi influencer son développement affectif, les linguistes distinguent trois niveaux d’interactions : – les interactions comportementales Elles sont caractérisées par la manière dont le comportement de l’enfant et celui de sa mère « s’agencent» l’un par rapport à l’autre, et ces interactions vont s’exprimer par les canaux suivants : 1- Les interactions visuelles Pendant la tétée, dés le 15 quinzième moi, la mère et le bébé tendent à se regarder avec «un regard mutuel(4)» car le regard du bébé est important, considéré comme «gratifiant(5)» et valorisant c’est lui qui fait monter chez la mère les premiers sentiments d’amours et d’affections envers son bébé. 2- Les interactions vocales

Cris et pleurs du bébé, constituent un véritable cordon ombilical «acoustique», ils déclenchent des affects intenses avec un sentiment d’urgence qui pousse la mère à l’interaction et suscite la proximité de la mère. Les cris du bébé sont par la fréquence et la durée, qui varient d’un nourrisson à un autre ; et selon les cas et les mères il peut y avoir un sentiment de doute sur leurs compétences ; et des sentiments d’agressivité ou bien de désespoir. 3- Les interactions corporelles et cutanées C’est l’ensemble d’échanges médiatisés par la façon dont l’enfant st tenu, soutenu et maintenu par la mère et dont le nouveau né répond.

On peut observer une détente « corporel tenu, soutenu et maintenu par la mère et dont le nouveau né répond. On peut observer une détente « corporelle(7)» ou un «raidissement(8)» chez le bébé, qui par fois affecte l’un ou l’autre ou bien sûr les deux partenaires en même temps, car par exemple si le bébé est confortablement installé il participe activement en «se blottissant(9)» et en s’ajustant au corps de sa mère, mais si l’inconfort domine, le nourrisson montre sa maman son mécontentement. Donc les contacts peau peau sont également très importants avec les caresses, les chatouillements et les baisers car les réponses du bébé sont perçues comme une invitation ou un refus de poursuivre. – Le sourire Comportement extrêmement efficace et gratifiant du bébé à l’égard de sa mère ou d’un autre interlocuteur, l’explication du sourire est simple : lors ce que le bébé sourit à sa mère en la regardant mutuellement et en se blottissant bien dans ses bras, elle est gratifiée comblée et sent que son bébé lui accorde beaucoup d’intentions, par contre si une autre mère voit que on bébé évite de la regarder et «se love(10)» mal dans ses bras en poussant des cris et sourit rarement, comment elle peut être affective, calme, flegmatique et compréhensible envers lui car rare son les mères patientes de nos jours. b- Les interactions affectives Caractérisées par l’influence «réciproque» de la vie émotionnelle du bébé et de celle de sa mère, les interactions comportementales servent de support aux interactions affectives.

Par ailleurs, la mère parle à son bébé de ses émotions et de ses sentiments en le regardant grâce B0 ailleurs, la mère parle à son bébé de ses émotions et e ses sentiments en le regardant grâce à ses capacités «d’empathie(12)» elle perçoit ce qu’il ressent et lui propose une interprétation par des mots, des gestes… : « tu es content », « tu es fâché », « tu as envie « maman est contente de te voir content »… Le bébé à son tour, perçoit dans une certaine mesure, l’état affectif de sa mère, il peut reconnaitre si elle est « comme dhabitude ou pas ». Dans les premiers mois, « la prosodie(13)» et l’ajustement est un indice pour le bébé de l’état affectif de sa mère bien avant qu’il ne puisse comprendre le sens des paroles qu’elle lui adresse.

Dans les situations favorables on observe ce que « D. STERN » a décrit sous le terme d’accordage affectif : à un affect d’un certain type, exprimé par le bébé, la mère répond par un affect équivalent, donc le bébé et la mère sont accordés. c- Les interactions imaginaires et fantasmatiques La vie imaginaire et « fantasmatique(14)» des parents est très liée à leurs vies affectives, plus profondément à leurs propres histoires et relations avec leurs propres images parentales. La vie imaginaire et fantasmatique du bébé se construit progressivement à partir de celle de ses parents. Certains uteurs parlent d’interactions imaginaires et fantasmatiques.