Courage paul eluard
Présence d’al d’allitération en P, M et V dès le début qui créer une impression d’insistance. Les marrons sont les petits plaisirs de l’époque. Les vêtements de vieille ne font pas forcément allusion aux extractions matérielles, mais également au deuil de la liberté qu’ils portent : une détresse morale. Cette détresse morale se rajoute au climat d’oppression : Paris est dans une situation désespéré, il fait allusion aux exactions dont Paris est victime. L’allusion à l’oppression est faite par le métro, lieu où les gens se réfugient.
On évoque Paris qui tremble comme une étoile. Cette dernière peut évoquer celle que portent les juifs et l’oppression qu’ils subissent. AI évoque les morts et les victimes à travers ceux qui se sont opposés. Le présent renvoi à l’actualité et rend plus concret ce poème : allure parle comme s’il était témoin et rend ce poème saisissant, réel et concret. Le poème ne se contente pas d’un simple constat : il n’est pas neutre. allure s’implique fortement dans son poème et le fait d’être attentif aux souffrances des parisiens (v. , 9, 10) s’explique par son attachement pour la ville et ses habitants. Derrière ces malheurs, Paris existe toujours et il ne suffit que d’un petit quelque chose pour qu’il revive. Axe Il : L’amour et l’admiration du poète pour Paris. Son attachement est montré par le mot Paris qui est scandé et placé en position d’anophèle, mais également par l’utilisation de Paris qui est scandé et placé en position d’anophèle, mais également par l’utilisation de la 1 ère et 2 me personne avec le tutoiement montre une certaine familiarité.
On sent à travers ce poème une très forte implication de celui qui parle et aussi un certain lyrisme avec l’utilisation de la première personne et la volonté de faire passer des sentiments : la tendresse de l’auteur pour la ville, pour les démunis et les habitants en général ; mais également une admiration pour une ville qui malgré l’accablement, l’humiliation, la boue, le deuil de la liberté, n’ rien perdu de sa fascination : une ville qui ne demande qu’ revivre (v. 12 avec une allitération en V avec deux mots de même famille). . 15 : « tout ce qui est humain » est à prendre dans le sens de l’humanisme : Paris est une ville qui reste fidèle au respect de la dignité de l’homme et attaché à ses idéaux. C’est une ville qui continue à vivre, même sous une chape de plomb (v. 16). Va. 17 « fine » symbolise la fragilité, mais aussi la beauté, ‘élégance. Elle est forte comme une épée : une ville rebelle qui à conservé son pouvoir de résistance : de tout temps Paris a fait trembler les pouvoirs comme la révolution de 1789 qui part de Paris.
Présence également de référence à la ville lumière. Son engagement n’empêche pas le lyrisme. * Axe il : La nécessité d’un sursaut et d’un renouveau. Nécessité d’un sursaut et d’un renouveau. Il n’est pas question de se résigner ou de subir : il faut un sursaut qui va entraîner une renaissance de Paris : la situation évoquée n’est que provisoire. Il utilise l’impératif pour fuser la passivité et montrer la nécessité d’une réaction. AI appel ainsi à la fraternité et à la solidarité (v. 5 « frères ayons ») avec l’utilisation de la 1 personne du pluriel et ce malgré les difficultés. Il fait référence à la résistance avec « l’armée de l’ombre » et aux martyrs de ceux qui sont déjà tombés pour a France (v. 30). Mais, le poème reste optimiste : le sang versé n’est pas inutile (v. 31 ). A travers des images psychologiques (sang, veines, c?Ur) qui sont empruntés au corps, il émet l’idée que le sang versé par les morts allait aux personnes qui leurs succèdent : c’est une haine ininterrompu où des personnes prennent la suite des morts en permanence.