Conscience interne du libre arbitre

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e terme de la liberté populaire n’est pas défini de la même manière qu’il est discuté par les philosophes. En fait, ce concept populaire est défini comme étant la possibilité de choix sans contraintes immédiates. Bien sur, la définition du concept par les philosophes est plus poussée et recherchée ; c’est justement de cette manière que cette définition devient grandement discutée par ceux-ci puisqu’elle fait partie des grands discours de la métaphysique.

Il est clair pour Descartes et Schopenhauer que l’homme a une volonté et qu’il a la faculté de déterminer ses actes. Descartes croit que cette volonté aurait une influence beaucoup plus importante. Ce dernier fait plus référence au libre arbitre d’indifférence, ce qui est la faculté de choisir un motif parmi tant d’au de contingence ; un à la possibilité d’être libre par rapport à to notre volonté est libr Swape nextp g non dans un état Ire et qu’un choix ue l’homme est fferts puisque pend d’aucun autre motif sauf de la volonté.

Par opposition, Arthur Schopenhauer défend le déterminisme, un concept reposant sur le principe de causalité, où toute cause produit un effet qui deviendra à son our une cause pour celle-ci; donc l’individu agit par nécessité. La conscience interne, l’état dans lequel la conscience se retourne elle même vers Pindividu et où elle se retrouve la seule source de toute compréhension, ne s ShAipe to Wew next page serait donc pas le facteur prédominant influençant la volonté. Premièrement, René Descartes croit que la volonté est libre et que la conscience de soi peut le prouver.

Cette philosophie chrétienne dit que l’homme a le pouvoir d’agir et de pouvoir poser une action ou non. En fait, aucune force extérieure ne peut agir sur un individu. De plus, il croit qu’il n’est pas nécessaire de prouver que la volonté est libre puisqu’on serait en mesure de pouvoir le ressentir. Cette doctrine du libre arbitre serait liée ? la thèse métaphysique de l’exception humaine où l’homme se distingue de l’animal par le dualisme ; une distinction entre l’âme et le corps.

Selon cette doctrine philosophique, l’animal n’a pas d’âme et agit selon son instinct et qu’il n’a que son corps, qui agit simplement comme une machine. Ce dernier ne peut donc pas agir selon sa volonté. Contrairement, l’homme possède une âme, ce qui le différencie de l’animal, et possède la faculté de hoisir librement entre différents choix. Cette thèse de Fexception humaine implique que l’homme peut porter des jugements moraux.

Les motifs de l’homme ne peuvent pas être compris pa l’environnement dans lequel l’homme se retrouve puisque ses pensées sont abstraites et qu’il n’agît pas simplement par son instinct. railleurs, pour que la volonté de Phomme soit libre, il faudrait qu’elle soit dans un état de contingence, où toute volonté n’est influencée par aucune autre volonté et ainsi qu’une volonté aurait le pouvoir de se produire ou non. Enfin, Descartes croit que a volonté de rhomme est complètement libre et que I 2 OF s produire ou non.

Enfin, Descartes croit que la volonté de l’homme est complètement libre et que la liberté de la volonté ne se démontre que par la conscience interne de Phomme. Deuxièmement, selon Arthur Schopenhauer, la conscience du libre arbitre ne peut se démontrer que de manière négative ; la liberté serait un concept négatif puisque ce serait une absence d’obstacle et/ou de motifs empêchant l’individu. La conscience interne ne peut pas démontrer le principe de causalité, qui lui, fait référence au monde extérieur. Selon Schopenhauer, il n’est pas question de libre arbitre dans le concept de liberté.

Si l’on se fit à la thèse de Descartes, que l’on peut faire ce Fon veut, Schopenhauer affirme que fentendement est Inutile et paralysé puisqu’aucun motif ne pousse l’homme à choisir. Cette inaction vient du fait qu’on reste dans la conscience interne et qu’on ne sort pas de cette limite. Schopenhauer croit donc que la thèse de Descartes ne s’appuierait que sur le concept de liberté physique lorsqu’en fait, cela devrait aussi être une chose de la liberté morale et intellectuelle, des concepts nécessitant le pouvoir e l’entendement.

Ensuite, Schopenhauer, étant matérialiste, ne croit pas au dualisme de Descartes. Il n’y aurait donc pas de loi de l’exception humaine. Cette idée évoque le désir de la conservation de soi et de perpétuer son mouvement. C’est une des raisons pourquoi Schopenhauer croit ouvertement que les actions de rhomme sont déterrmnées par des motifs beaucoup plus forts que le libre arbitre de Descartes. Enfin, Schopenhauer croit que la liberté 3 OF s motifs beaucoup plus forts que le libre arbitre de Descartes.

Enfin, Schopenhauer croit que la liberté de la volonté n’est pas ne faculté de la conscience de soi, puisque ce n’est pas un rapport intérieur, mais bien un rapport qui ne peut être expliqué en grande partie par le rapport extérieur de la volonté et de l’action. Troisièmement, Arthur Schopenhauer pense que la liberté est un concept des choses du monde extérieur. La loi de causalité est la forme essentielle et nécessaire à l’entendement, puisque c’est justement ce dernier qui est responsable de la compréhension de ce qui est ressenti à l’extérieur et ce qui est ressenti sont les effets de ces causes.

Cette 101 de causalité dérive de ce qui st qualifié de nécessaire à cause de son caractère a priori ; un caractère s’appuyant sur les faits avant même l’action posé. De cette loi de causalité vient aussi sa théorie du déterminisme causal, où la nature serait composée de causes et d’effets, et qu’un si individu agît d’une certaine manière, c’est qu’il le fait par nécessité. Donc, la volonté est influencée par d’autres volontés ; les autres vouloirs de l’homme deviennent des motifs face aux choix qui lui sont présentés.

En fait, ce sont les causes déterminantes et l’essence de l’homme qui influencent ses actions. L’essence de l’homme, donc son caractère, est l’identité morale de celui-ci et c’est le caractère qui influence la volonté. Ses choix seront influencés, donc déterminés par son caractère, alors il va vouloir dépendamment de ce qu’il est. De plus, les effets des causes influenceront les choix d’un i 4 OF S dépendamment de ce qu’il est.

De plus, les effets des causes influenceront les choix d’un individu ; c’est la causalité par connaissance où l’homme se crée des représentations, par la conscience, des effets qui pourraient se produire. En fait, c’est l’entendement qui Juge les différents motifs et qui détermine les ctions. Il est à noter que l’homme à tout de même une certaine volonté, mais ce n’est pas celle-ci qui détermine les actions de l’individu. Enfin, selon Schopenhauer, le rapport entre la volonté et un objet provient d’un rapport causal des forces extérieures.

En conclusion, le concept de liberté, un thème présent dans les grands discours débattus en philosophie, met en opposition René Descartes et Arthur Schopenhauer. Ces deux philosophes ont des visions très différentes face a ce sujet puisque ce dernier est croit que le déterminisme, basé sur le principe de causalité, est n concept qui influence principalement la volonté de l’homme, contrairement à Descartes qui défend ouvertement que l’homme possède une conscience interne du libre arbitre.

Il est certain que le principe de causalité défendu par Schopenhauer n’approuve pas les propos de Descartes, puisque la volonté de l’homme n’est pas simplement basée sur la conscience interne, mais aussi, en grande partie, sur la conscience externe des autres choses, la faculté de connaissance de l’homme. C’est de cette manière que Schopenhauer et Descartes traitent le sujet de la conscience interne du libre arbitre. S OF s