Ce Texte Crit Par Henri Bergson Parle De La Conscience D

Ce texte écrit par Henri Bergson parle de la conscience d’un être vivant et plus précisément de la conscience d’un Homme. Bergson discute alors de cette conscience et va se demander s’il existe différentes sortes de consciences ou plutôt si la conscience connait différents stades en fonction des actions de tout un chacun. Parce qu’en effet, la conscience est ce qui nous permet de percevoir le monde, de nous percevoir nous-même etc… Cet outil qui est commun à tout être vivant, tout du mons pensant, s’exprime. Tout être humain a déjà eu « conscience » de quelques choses, de ressentir cette conscience en action.

Cependant, cette con org faits et gestes ? st-el ta certains moments do és ? ce texte. Bergson va philosophique sur la présente dans nos u ut-elle être passive ? rgson répond dans e et son point de vue onscience peut subir des « variations d’intensité » et que cette conscience peut parfois être présente et d’autres fois absente ou tout du moins effacee. Ce texte peut alors être découpé en trois parties. Premièrement Bergson explique, du début du texte jusque la ligne 10 « la conscience que nous en avons diminue et disparait.

Y, qu’au fil du temps et avec la répétition des actions quotidienne, la conscience tendance à s’effacer. Ensui Swlpe to vlew next page Ensuite, il énonce, de la ligne 10 à la ligne 13 « notre avenir sera ce que nous l’aurons fait ? », le fait Inverse ; c’est-à-dire que la conscience peut aussi être active et vive dans des moments de choix par exemple. Enfin, Bergson parlera jusqu’à la fin du texte des variations d’intensité que la conscience subit. Au début du texte, Bergson énonce une phrase générale sur la conscience et en une phrase résume la thèse qu’il va développer dans ce texte.

Cette phrase sert alors d’amorce pour introduire sa thèse. Initialement, Bergson parle de la conscience comme ttribut de tout être vivant : « originellement immanente à tout ce qui vit Selon lui, la conscience possède deux états. Le premier état, c’est-à-dire la conscience endormie lorsque les mouvements sont de l’ordre de l’automatisme. Le deuxième état qui est l’exaltation de la conscience lorsque l’être vivant est libre de ces mouvements et peut donc émettre des choix. Bergson met alors en opposition deux états de la conscience sans pour autant développer ses idées.

Très vite, l’auteur va recentrer la question sur Hêtre humain notamment par la phrase suivante : « Chacun de nous a d’ailleurs pu vérifier cette loi sur lui-même. De ce fait et par le biais de cette phrase et de la question suivante, Bergson va permettre au lecteur de prendre part à la démonstration, de se positionner et de la « vérifier » car selon Bergson, tout être humain a déjà eu expériences des propos qu’il énonc « vérifier » car selon Bergson, tout être humain a déjà eu expériences des propos qu’il énonce.

La question suivante permet au lecteur de s’interroger sur ce que dit Bergson et lui permet de réfléchir sur la réalité de ses propos. La réponse à la question suit très rapidement et sera ensuite démontrer à l’aide un exemple. Cette fois-ci, Bergson met en place une graduation entre les deux états de la conscience. En effet, le verbe « cesser » montre que l’action d’abord « spontanée » devient petit à petit « automatique ».

Cela veut dire qu’il existe un lien entre le moment où l’action spontanée, c’est-à-dire l’action libre qui est voulu par notre corps et notre conscience devient une action automatique, c’est-à-dire une action que le corps et la conscience ne contrôle pas, une action qui se fait par elle-même. En clair, Bergson émet une opposition entre la liberté et la volonté de os actions et ce qui relève du réflexe voir presque de la vie, de la nécessité dans nos actions.

L’un est conscient, l’autre est inconscient. Bergson va démontrer le lien entre ces deux états en utilisant un exemple, l’exemple de l’apprentissage d’un exercice. Cet exemple peut se découper en deux parties résultant des deux états de la conscience, les deux parties étant coupées par un point-virgule. La première partie montre l’action spontanée, libre et montre donc la conscience en éveil. En effet, Bergson dit que lorsque l’on apprend à faire un type d’exercice, il est n