Commerce international
Limites : I seul facteur de production (travail) sachant qu’il a d’autres facteurs de production. OS : C’est un modèle qui intègre un deuxième facteur de production (K). On est dans le cadre de CAP. L’objet de ce modèle est d’essayer d’expliquer la spécialisation des échanges internationaux à travers l’abondance des facteurs, la dotation factorielle. On doit examiner le facteur le plus abondant dans le pays. La nation va se spécialiser dans la production de biens nécessitant le facteur le plus abondant dans ce pays et EX.
L’AC dans ce modèle est les dotations factorielles et l’intensité des facteurs dans la production des biens. Apport : il a essayé d’expliquer d’avantage la spécialisation et la Cl en tenant compte d’un deuxième facteur de production. Premier boy samba 1 piocha 22, 2009 17 pages Théories qui expliquent le Cl ? Limites : 1 seul facteur de production (travail) sachant qu’il Limites : paradoxe de lointaine swaps toi vie nixe page lointaine: étude empirique qui porte sur les exportations des USA.
Les USA vont se spécialiser dans les X des biens intensifs en K sauf que les études montrent que la plupart des X sont intensives en facteur L, on remet en cause la portée de cette théorie. Théorie née factorielle : C’est une théorie qui tient à distinguer le L qualifié et le L non qualifié. Ce qui explique le paradoxe de lointaine. Les X des USA sont intensives en L qualifié. Cette théorie intègre un autre facteur de production : K humain. On a trois facteurs susceptibles d’expliquer la spécialisation : L, K physique, K humain.
Théorie née technologique ? C’est une théorie qui essaie d’expliquer les échanges travers la notion de progrès technique. Ce qui explique la spécialisation ou la nature des biens exportés par le Nord plutôt que le Sud c’est que le Nord est ans une avancée technologique par rapport au SUD. Cette approche constitue un changement dans le Cl en mettant l’accent sur les avantages des innovations dans une période de temps. On essaie d’expliquer la dynamique de la spécialisation, les échanges à travers le temps, on dépasse l’analyse statique des autres théories. Poster en 1961 a pris en compte le mécanisme initial.
Mécanisme simple : un pays doté de la ethnologie a la capacité d’innover et de lancer de nouveaux produits, ce qui lui permet d’exporter car il n’ a pas de concurrent par rapport à ce produit la et donc de jouir d’une situa ‘y a pas de concurrent par rapport à ce produit la et donc de jouir d’une situation de monopole temporaire. Cet écart technologique est manifesté par deux écarts : -Décalage lié à la D : D gai. Consommé en premier lieu par les consommateurs des pays innovateurs puis diffusé l’extirper, c’est les consommateurs des pays importateurs qui vont consommé.
écart de consommation à la D Décalage lié à l’imitation : Le pays innovateur pendant un certain moment est dans une situation de monopole (c’est lui qui détient la technologie) une fois le produit diffusé il y aura imitation de ce produit par les autres réducteurs. Pour expliquer les faits de l’écart technologique, poster a mis en place le cycle de vie des produits : on va essayer de caractériser, innovation, D et échanges internationaux. 4 étapes : -Lancement, c’est la ou se manifeste l’écart technologique. On introduit le produit ‘E la lance car elle investit dedans.
Grâce aux I de R et D. Ce produit est très cher car il est produit en série limité et le cherche à rentabiliser ces dépenses en termes de R et D. Production de série orienté vers le marché local. Les consommateurs de ce pays la vont avoir la capacité de moissonner ce bien la. -Croissance : le produit est diffusé sur le marché local. Les E nationales commencent à produire une Q de plus en plus grande, on commence à bénéficier des économies d’échelles. Le prix baisse. Les E commencent à exporter, ce produit commence à bénéficier des économies d’échelles.
Le prix baisse. Les E commencent à exporter, ce produit sera consommé l’extérieur. Décalage de D. -maturité : phase ou le coût de production seront plus faibles à l’extérieur car les E extérieurs ne font que imiter les produits, ils ne subissent pas les coûts de >R et D. Les E étrangères concurrencent les E nationaux, les X ne se font plus par les pas d’origine mais aussi par les pays imitateurs -dispersion des X. -Déclin : baisse de la D, les E américaines arrêtent de produire ce bien la, le marché sera approvisionner par EX de boisé extérieurs.
Intérêt de cette adhérant de cycle de vie : elle met en avant le rôle déterminant des firmes multinationales . La spécialisation et les échanges sont expliqués par le décalage technologiques (innovation) et par les stratégies de firmes multinationales. L’apport : expliquer la dynamique, on essaie pas ‘expliquer les échanges mais l’évolution des échange dans le temps (diffusion de la technologie) Limites : Ce modèle se base sur les écarts technologiques (innovation) il ne peut expliquer que les échanges internationaux qui portent sur les biens technologiques (et pas biens agricole) c’est un modèle sectoriel.
Il peut nous renseigner sur la nature des échanges entre pays du Nord et du Sud. Nord : spécialisent et X des biens fortement technologiques. Sud : intensifs en L non qualifié, incapable de produire des biens technologiques e biens technologiques et d’innover donc agricoles et attirés premières. Expliquer les échanges internationaux à travers le CI ? C’est tout ce qu’on vient de faire. Hippy de base : Cadre de CAP. Nouvelles théories de CI qui essaient d’expliquer le CI dans un autre cadre : cadre de concurrence monopolistique. On a constaté des lacunes sur les théories traditionnelles.
Traditionnelles : incapable d’expliquer l’intégralité du Cl cause de ces hippy la. Il y a une immobilité des facteurs de productions, K et L fixes. On écarte le rôle des firmes multinationales. On ne s’intéresse pas au C intempérance puisque CAP les biens sont homogènes. On suppose que les rendements sont constants. Les nouvelles théories vont supposer les gâcheurs mobiles, donc firmes multinationales, C intempérance, tous les biens ne sont pas homogènes : différenciation des produits, les redits d’échelles ne sont pas constants.
pot de départ : elle prolonge le raisonnement des théorie traditionnelle dans un cadre de concurrence imparfaite en tenant compte des arda d’échelle croissants et de la différenciation des produits. Nivelé théorie de CI : même si les pays ont les mêmes dotations factorielles (K,L, technologie) ils ont intérêt à se pactiser et échanger leurs produits. Est-ce quérir dans le cadre de concurrence imparfaite le LE est toujours bénéfique ? Concurrence monopolistique : chambranle de concurrence imparfaite le LE est toujours bénéfique ?
Concurrence monopolistique : chambranle 1 933 : c’est une situation ou le producteur réalise une sorte de monopole artificiel grâce à la différenciation des produits. Monopole car il a une D adressée uniquement à notre produit (D résiduelle). Ca se base sur 3 conditions essentielles : Libre entrée et sortie des firmes dans le marché, pas de barrières d’entrée et de sortie Existence de la D résiduelle (adressée seulement à le) chaque E considère que les prix de concurrence sont donnés. Ce n’est pas le qui détermine les prix.
Elle détermine le prix par rapport à celui de son concurrent. Relation entre économie d’échelle et échange : Il faut distinguer entre deux types d’écho d’échelle : -Interne liée à le : Quand une E réalise des écho d’échelle elle est dans une situation de monopole. Elle a avantage à se spécialiser dans ce bien pour augmenter la production et donc une baisse du CM de production, elle va baisser les prix. S’il y a concurrence des âtres E, ils n’ont pas la capacité de faire concurrence à ce monopole, car le monopole a baisser les prix (elle peut pas offrir le bien avec ce prix la).
Cette ava se trouver seul sur le marché étuve donc se spécialiser dans la production de ce bien la : spécialisation de la nation de la production dans les secteurs qui réalisent des économies d’échelles. -externes : lorsqu’ réalise les écho dans les secteurs qui réalisent des économies d’échelles. -externes : lorsqu’ réalise les économies dans un secteur. Le pays se trouve dans une situation de monopole dans ce secteur. Pour préserver cette situation, ce pays est incité à se spécialiser dansa prof de ces biens.
Les économies d’échelles croissants impliquent une situation de monopole sape dans les échanges. On va expliquer la relation entre la défi de saupoudrait et échanges : Emme explication du CI à travers la défi défi des produits : particularité fondamentale : hippy d’hétérogénéité des biens. Dans cette situation on fait appel aux critères de défi qui suppose que les biens ainsi que les préférences ne sont pas identiques. 2 types de défi : -défi horizontale : c’est une situation ou les biens sont de Emme qualité mais perçus par les consommateurs différemment. Verticale : les deux biens n’ont pas la même qualité. défi horizon : -Il y a la défi selon chamaillerie : facteur fondamental ? degré de substantielle entre les différentes variantes de sbires, ce qui détermine l’utilité du consommateur. Le consommateur selon chamaillerie aura à choisir entre différentes variétés (variantes). Les firmes doivent se sprinterions sur le marché en assistante de proposée de nouilles variétés afin de maximiser l’utilité du consommateur.
Cette situation est de monopole producteur dans une situa) car il essaie de présenter une variété différente pour satisfaire les besoins variété différente pour satisfaire les besoins du consommateur. Concurrence monopolistique dans le modèle de chambranle : à travers la défi des produits. Le consommateur cherche à maximiser son utilité avec un panier avec un maximum de variétés. -défi chez cérumen : Il se base sur la taille du pays. Le gain de I »change vient de l’amélioration du bien être du consommateur. UN petit pays va offrir une gamme illimités.
Les consommateurs quand le pays va s’ouvrir ont la possibilité e consommer plus de variété=> hausse du bien être. Le gain de l’échange sont expliqués par : -amélioration du bien être chez les consommateurs -Les E ont la possibilité d’opérer sur un marché plus étendu. Avec le LE ils ont accès à d’autres marché, ils opèrent sur des marchés plus étendus. cérumen a essayer d’expliquer le comme entra branche. Ce qui l’explique c’est les préférences du consommateur par rapport à une variété et non par rapport à un produit. Chez hôtellerie : défi : Elle se base sur la localisation dans l’espace. On suppose que es acheteurs supportent des coûts de ramonons. La localisation est l’indice de leur défi. Hippy fondamentale concernant le comportement des acheteurs pour des services différenciés à travers la localisation : minimisation cède coûts de transports. Selon H, les producteurs devraient être le plus prêts possibles les uns des autres afin de maxima producteurs devraient être le plus prêts possibles les uns des autres afin de maximiser, capter le max de clientèle (concentration).
Si l’un deuxième de s’écarter du centre, il va perdre de la clientèle. IL ne peut pas compenser cette perte ca rôles prix sont fixes. Limite : cette défi ne colle pas avec la requière car ce n’est pas l’acheteur sui va chercher le vendeur mais c’est le vendeur qui se déplace vers l’acheteur. -AI faut savoir établir des comparaisons entre K, C et H, apports majeurs -Développer les explications à travers les redits d’échelle croissant -à travers défi des produits. Avancée par rapport au modèle traditionnel. On sort du cadre de CAP => imparfaite.