Commentaire du texte de fulbert de chartres
D’abord un lien personnel, le lien vassalisée par son évolution, et notamment par la remise du fief, créée la confusion et semble être devenu un lien entièrement contractuel. Comment la remise du fief est elle devenue la partie entraînant les obligations ? Le lien vassalisée était à l’origine un lien reposant sur le dévouement personnel. Ce dévouement était exprimé et officialisé à travers une cérémonie très formalisée (l). La conséquence de la création de ce lien était la remise d’un fief au vassal.
Cette concession a pris de plus en plus d »importance et a finit par constituer la source principale des obligations (Il). La/ La vassalise: un lien personnel en désuétude Le lien vassalisée est un contrat par lequel un homme libre (le vassal) s’engage dans la dépendance d’un autre homme le seigneur). AI prend forme après une cérémonie (A), à la suite de laquelle naît des obligations réciproques (B). A/ La cérémonie, fondement du lien vassalisée La cérémonie comporte plusieurs étapes. La première est celle de l’hommage.
Ici on retrouve le accommodation norvégien, le principe est semblable; soumission d’un homme à un autre homme plus puissant. Le vassal doit se présenter tête nu semblable,’ soumission d’un homme à un autre homme plus puissant. Le vassal doit se présenter tête nue et désarmé devant le seigneur. Ensuite il s’agenouille et place ses mains dans celles du seigneur, il s’agit du dation manne. Ensuite le vassal prononce ces paroles au seigneur « je deviens ton homme », le seigneur quant à lui répond « je te reçois et te prends pour homme ».
Le vassal reçoit alors l’oscilla (baiser sur la bouche). Ainsi le rite de l’hommage est terminé. La deuxième étape est celle du serment. Celui ci s’inspire du éluderions cardiologie. Chargement l’utilisait pour s’assurer de la fidélité de ses grands fonctionnaires Ici, le vassal fait serment de fidélité sur la bible ou sur des reliques. La dimension religieuse est très importante car c’est le serment sur ces écritures saintes qui va permettre e faire pression sur le vassal dans le cas où il ne respecterait pas les obligations qui découlent de cette cérémonie.
En effet, il « serait coupable de perfidie et de parjure » qui sont des sanctions très sévères consistant excommunier le vassal coupable et à le condamner à une damnation éternelle. A l’issu de cette cérémonie naissent des obligations réciproques. Toutefois, même s’il s’agit d’un contrat sentimentalisme, les obligations du vassal sont plus importantes que celles du seigneur. Et ce sont donc celles- ci que l’auteur a tenté de définir dans cette consultation juridique once celles-ci que l’auteur a tenté de définir dans cette consultation juridique.
B/ Le contrat vassalisée, un engagement bilatérale mais inégale. De la cérémonie naissent donc des obligations de part et d’autres. Les principales obligations du seigneur sont de protéger et d’entretenir son vassal. AI doit également lui porter secours si nécessaire. Le vassal en échange doit remplir un certain nombre d’obligations. L ‘hommage et le serment font naître essentiellement des obligations négatives que l’évêque fulgurer de Chartres définit.
Il s’agit essentiellement de ne pas porter atteinte ‘intégrité physique du seigneur et à sa sécurité: « ne cause pas quelque dommage au corps de son seigneur », « ne nuise pas à son seigneur en livrant son secret ou ses châteaux forts », « ne fasse pas de tord aux possessions de son seigneur », etc.. Cette définition des obligations de ne pas faire découlant de la cérémonie, dénote la dégradation des liens vassalisées de l’époque, puisqu’ était nécessaire de rappeler dans une consultation juridique que le vassal l’obligation de ne pas porter atteinte à son seigneur.
La situation politique au axiome siècle est instable et les innés vassalisées se dégradent. La demande en elle même du duc d’Aquitaine révèle ses faiblesses, puisqu’ ne sait plus ce qu’il peut exiger de son vassal. De plus, la définition des obligations du vassal par la négative dénote égale exiger de son vassal. De plus, la définition des obligations du vassal par la négative dénote également la désuétude de ces liens personnels. La réalité des liens vassalisées de l’époque est que la remise du fief est désormais devenue la partie qui oblige.
AI/ Le fief, l’élément réel qui oblige La société féodale repose sur la terre. En l’an 1000, le fief ‘est des terres et la remise du fief lors d’une entrée en vassalise devient obligatoire. Ces désormais pour cette cause qu’on entre en vassalise et non plus pour obtenir une protection de son seigneur (A). Ainsi, c’est également cette remise du fief qui entraîne les obligations positives (B). A/ La remise du fief: la raison d’être du lien vassalisée Le remise du fief se fait dans le cadre d’une cérémonie formelle appelée l’investiture.
Le seigneur met en possession le vassal de son fief. Le lien vassalisée était à l’origine un lien personnel entraînant le dévouement du vassal envers son seigneur, le fie n’étant qu’une conséquence de ce lien. Mais lorsque la remise du fief est devenue obligatoire, c’est à dire à partir des année 1000, les réseaux féodale-vassalisées se sont alors multipliés, les vassaux recherchant à avoir plus de terres et les seigneurs plus de vassaux. L ‘hommage et le serment de fidélité sont devenus de simples formalités pour bénéficier du fief.
Le serment de fidélité est tombé en total désuétude, c’est désormais pour bénéficier du fief. Désormais la concession de la teneur noble qui est au centre du lien vassalisée. Le fief, dans le lien vassalisée, a pris une telle importance lui est devenu la source principale des obligations du vassal envers son seigneur. B/ La concession du fief: le contenant des principales obligations Le seigneur en remettant le fief à son vassal remplit l’une de ses obligations qui est l’entretien de son vassal.
Le vassal, ayant reçu son fief, se doit de remplir certaines obligations. Celles-ci s’ajoutent aux obligations négatives définis par l’auteur car « ce n’est pas ainsi qu’il mérite son fief, car il ne suffit pas de s’abstenir de faire le mal, mais il faut faire le bien ». Ainsi l’auteur définit les obligations positives écoulant de la remise du fief que sont « le conseil et l’aide » ou conciliée et silicium. L’aide, ou silicium, comporte deux volets.
D’une part il s’agit de l’aide militaire, le vassal doit l’stage à son seigneur (service de garde du château) et l’sot (chevauchée, service majeure rendue en période de guerre). Et d’autre part, il s’agit d’une aide financière rendue dans quatre cas: payer la rançon du seigneur s’il est fait prisonnier, payer les frais d’déboutement du fils aîné du seigneur, participer à la constitution de la dote de sa fille et l’aider s’il décide de partir en croisade.