Commentaire du film dr folarnour
douloureuse dur. Folâtrer crise de Cuba (la découverte de missiles soviétiques sur île primordial et notamment la prestation de l’acteur péter seller qui ne joue p swaps toi vie nées page pas moins de 3 rôles différents dans le film. Nous avons choisi de vous présenter dans une première partie le film, son auteur et son inscription dans le contexte de guerre froide et dans une deuxième partie les caractéristiques de la guerre froide telles qu’on les retrouve dans le film. I. Cabri et son film, dur. Folâtrer A. Le Film Docteur Folâtrer, sorti en salle en avril 1964 se déroule en pleine guerre froide.
Le général agaça riper atteint d’une folie paranoïaque est persuadé que son impuissance sexuelle a été provoquée par les soviétiques. Ceux-ci auraient introduit dans les fluides corporels des américains es substances. Je cite, « Je ne peux rester là et permettre l’infiltration communiste, à l’endoctrinement communiste, la subversion communiste et au complot international communiste, de saper et de souiller tout nos précieux fluides corporels ». Il décide alors de donner l’ordre à ses B-52 d’envoyer des bombes nucléaires en réussie.
Il prend soin de couper la base aérienne sur laquelle il se trouve du reste du monde, lui seul connaissant le code permettant de stopper les avions envoyés. Une réunion est alors organisée dans une salle d’opération souterraine du ouvertement américain « la chambre de guerre », en présence du président des états Unis, de l’ambassadeur russe aux états Unis et de généraux pour tenter d’arrêter les avions. La solution trouvée consiste à donner aux russes la position des avions pour qu’ils les détruisent. Finalement, le code est trouvé et tous sont arrêtés sauf un dont e système de qu’ils les détruisent.
Finalement, le code est trouvé et tous sont arrêtés sauf un dont le système de communication est endommagé. L’ambassadeur russe mentionne alors l’existence d’un système de défense secret, la machine infernale, qui serait en fait une bombe nucléaire capable de toucher la totalité de la surface terrestre. Celle-ci se déclencherait en cas d’attaque américaine en réussie, et personne n’aurait le pouvoir de l’arrêter. Le dernier avion lancera finalement une bombe, déclenchant ainsi l’holocauste nucléaire et la fin de l’humanité.
C’est alors qu’intervient le docteur Folâtrer qui propose comme solution de sélectionner un groupe d’individus selon des critères de robustesse et d’intelligence pour les hommes et de beauté pour les femmes qui irait se réfugier au fond des tissu américains pour survivre à l’explosion. B. L’« humour cauchemardesque » comme instrument de dénonciation Le film est une adaptation d’un roman de péter égorge « toi hors toi don » qui est un thriller à suspense très sérieux décrivant le dilemme thermonucléaire et la possibilité d’un holocauste nucléaire.
Cabri avait d’abord décidé de suivre le roman à la lettre, et de faire un film très sérieux sur la question nucléaire. Pourtant, lors de l’écriture du scénario, Cabri va peu à peu transformer le roman en une farce, ce qui pour lui, permet finalement de mieux cuiller le sens de l’ouvrage. Cabri explique, je cite : « Le seul moyen de raconter l’histoire c’était la comédie noire ou les éléments, les attitudes les plus comiques cc l’histoire c’était la comédie noire ou les éléments, les attitudes les plus comiques constituaient vraiment le c?Ur d’un paradoxe.
Lequel est susceptible de déclencher une guerre nucléaire [IL ‘angle provocateur choisit par Cabri est pour lui la meilleure façon d’exprimer la stupidité et l’illogisme de la question nucléaire mais aussi d’avoir de l’impact. Mais le film n’est pas seulement satirique. AI dépasse souvent les bornes (discussion téléphonique entre le président français et le président russe). Ces finalement le contraste entre le sujet terrifiant traité dans le film et le ton humoristique utilisé par le cinéaste qui font toute la particularité du film, son originalité mais aussi son génie.
cadrant tout le film, les situations grotesques sans aucuns sens se succèdent. Les personnages sont tous très caricaturaux, les noms qui leur sont donnée sont tous humoristique et ridicules (agaça riper = agaça l’éventrer) et leur comportements sont souvent aberrants. Ainsi, lorsqu’ des généraux américains commença se battre avec l’ambassadeur russe, e président américain crie : « Vous ne pouvez pas vous battre ici, c’est la chambre de guerre C. Réactions et impact au moment de sa sortie Dans dur.
Fol_amour, Cabri dénonce l’incapacité des politiciens à régler la crise qui touche alors la réussie et le monde occidental et surtout, démontre le ridicule de la course aux armements et son absurdité criminelle. La politique officielle de l’ÔTANT et des USA est en effet à ce moment la l’utilisation de la bombe nucléaire en cas officielle de l’ÔTANT et des USA est en effet à ce moment la l’utilisation de la bombe nucléaire en cas d’attaque soviétique ce qui entraînerait la destruction de millions de vie et de nombreux moyens de communication.
Cabri est alors persuadé qu’un accident est possible, qu’un fou pourrait déclencher une Emme guerre mondiale. On frôle en effet sans arrêt la catastrophe. Un malentendu, une mauvaise lecture d’informations, une erreur peut éliminer de la surface de la terre une partie de sa population grâce la bombe nucléaire. Je cite le président week-end « chaque homme, femme et enfant vivait sous une épée de démoules nucléaire, prête à s’abattre sur eux à tout instant, par accident, erreur ou folie ».
C]Les Américains vivent en effet dans la peur permanente d’une action soviétique contre l’occident qui les obligerait à riposter. Ainsi, dans un contexte comme celui-ci, il n’est pas étonnant qu’un film aussi radical et nouveau et surtout humoristique soit plutôt bien accueilli à sa sortie aux états Unis par le public mais mal par les hommes politiques. Docteur Folâtrer est en effet une exception au sein des films de l’époque car jusque la, les cinéastes n’avaient parlé de la guerre froide eu de manière métaphorique.
Ainsi, en plus d’aborder clairement le thème de la guerre froide, il présente de manière cynique la course aux armements menée par les deux puissances et tourne les politiques au ridicule. Il se moque du président des états Unis, présenté dans le film comme un homme peu autoritaire et surtout peu efficace quant Unis, présenté dans le film comme un homme peu autoritaire et surtout peu efficace quant au règlement de la crise.
Surtout, il met sur le même plan deux présidents qui s’affrontent de manière directe puisque le président américain communique durant le film avec le président russe par l’intermédiaire du téléphone rouge, remettant ainsi en cause le principe même de la guerre froide c’est dire l’affrontement indirect entre deux blocs d’états. AI- Le film ancré dans une réalité historique : la guerre froide A/ La menace soviétique La genèse du film est contemporaine de la crise des missiles soviétiques de Cuba (1963).
Cette crise avait été évitée de justesse et avait failli déboucher sur un nouveau conflit mondial : en effet, une note du gouvernement soviétique du 11 septembre 1962 énonce que toute attaque contre Cuba provoquerait un conflit mondial. En octobre 1962, à la suite de cette crise, une ligne téléphonique que l’on a appelé le « téléphone rouge » avait été installée entre assainiront et moussu pour éviter la répétition d’une telle crise. Cabri s’inspire de la réalité et de la peur que cette situation de crise fait naître dans l’esprit des gouvernants.
Cabri c’est attaché à donner une représentation cinématographique du climat de peur qui règne à cette époque. Est représentative de cela la scène où riper accuse l’ambassadeur russe (qui nie aussitôt) de rendre des photos du Pentagone : la mise en scène ne permet pas de dire si le diplomate est un espion où si riper a tenté de l’accuser à tort, si bien qua pas de dire si le diplomate est un espion où si riper a tenté de l’accuser à tort, si bien qu’un doute (et c’est l l’intérêt de la scène) s’installe dans l’esprit du spectateur au sujet de leur culpabilité.
Et peu importe ici de savoir si riper a raison ou non d’accuser l’ambassadeur (l’incident est d’ailleurs classé sans suite). L’enjeu est de mettre en évidence l’immense suspicion qui tend les rapportes entre Américains et Soviétiques. Ainsi la mise en scène souligne cette crainte paranoïaque pour la légitimer plus tard au cours de la scène où l’ambassadeur prend discrètement des clichés avec une montre-appareil photo.
Par ailleurs cette crainte de la menace soviétique est mise en scène de manière comique et exagérée par Cabri : ainsi un des généraux américains dénonce une « conspiration d’après-guerre menée par les cocons » : selon lui les russes ont introduit dans notre fluide corporel des substances qui doivent nous tuer (fluor dans les glaces, l’eau, les soupes etc.. ), ce qui « conduit à la perte de notre essence ».
Cela nous parait évidemment absurde aujourd’hui, mais même si c’est de manière exagérée, ça témoigne bien du climat de peur antiseptique qui régnait dans les premières années de la guerre froide, et qui avait été mis en évidence par chercheur dès le 5 mars 1 946 au cours d’un discours prononcé à foulons (missions) où il dit que « les partis communistes cherchent partout exercer un contrôle totalitaire ».
Face à cette menace communiste s’oppose la soi-disant volonté de paix des américains : ainsi on ». Face à cette menace communiste s’oppose la soi-disant lente de paix des américains : ainsi on peut lire sur une pancarte américaine que « La paix est notre profession ». Les soviétiques sont ainsi omniprésents tout au long du film : on parle des « Rouges » pour désigner l’armée rouge, des « cocons » ou des « réussies » pour désigner les russes. Du côté des personnages, c’est évidemment agaça D.
riper qui incarne le mieux cette crainte et cette défiance à l’égard des soviétiques : lorsque, frappé de folie paranoïaque, il décide d’envoyer des B-52 bombarder l’OURS, il explique au général bock qu’il fait cela parce que : « Je ne peux rester l t permettre à l’infiltration communiste, à l’endoctrinement communiste, la subversion communiste et le complot international communiste, de saper et de souiller tout nos précieux fluides corporels ».
B/ La peur nucléaire et la menace d’une guerre atomique Les premières années de la guerre froide sont caractérisées par celle que l’on a définit la « peur nucléaire » ainsi que par la menace d’une guerre atomique. Américains et soviétiques sont tenus responsables du grand cauchemar atomique qui menace la planète et qui prend une ampleur croissante lorsque l’OURS reprend ses sais nucléaires en septembre 1961.
Si la guerre n’est restée qu’une guerre « froide », c’est justement parce que bien que les deux blocs s’affrontent dans une compétition à la fois politique, idéologique, militaire, économique et scientifique, seule la peur d’une guerre atomique empêchera un affrontement guerre atomique empêchera un affrontement direct.
On a ainsi parlé d’un « équilibre de la terreur », caractérisé par une prise de conscience des conséquences possibles d’une guerre nucléaire entre les Deux Grands, à une époque où chacun d’eux à les moyens de détruire plusieurs fois l’autre amphi et d’anéantir en même temps une bonne partie de l’humanité. Ainsi le président américain affirme dans le film que : « On ne lancera une guerre nucléaire que s’il le faut vraiment Mais le général riper décide d’intervenir, persuadé que le danger soviétique est imminent.
AI dit ainsi dans le film que : « clémence disait de a guerre que « la guerre est trop importante pour être laissées aux généraux ». Quand il a cft ça il ha 50 ans il avait peut être raison. Maintenant elle est trop importante pour être laissée au politiciens Il faut noter qu’après a GONG, l’arme atomique n’est pas auvent représentée dans le cinéma américain car elle sous-entend tellement de destructions et d’horreurs qu’elle n’est guère envisageable dans des films destinés au grand public.