Commentaire diderot-le voyage de bougainville

essay B

Présence du Champ Lexical de la violence « fureur, féroce, air, égorgé, sang » + la récurrence des allitérations en « R » met en exergue la barbarie des européens. La question de rhétorique « Qui es-tu donc pour faire des esclaves ? » souligne l’absurdité de l’esclavage. Le paradoxe : « Tu n’es pas esclave tu souffrirais la mort plutôt que de l’être et tu veux nous asservir » indique toutes les contradictions du discours de l’Européen.

Critique de la civilisation Le vieillard dénonce la de bougainvillée premier boy saussaie I parapha 16, 2009 3 pages éloge de l’épicurisme et de l’dominées violation européenne et critique par conséquent l’dénonciatrice. Ainsi, dédieront propose une analogie entre le monde primitif et le monde civilisé. L’adjectival « féroce » est un procédé d’manifestation l’homme primitif alors qu’il se comporte comme une bête Critique de la propriété privée révélée par l’expression « Je ne sais quel distinction du tien et du mien ».

L’expression « je ne sais quel » traduit le mépris de l’homme civilisé. C’est donc la civilisation qui serait à l’origine de la violence et de l’inégalité parmi les hommes. Désacralisation de l’Européen Récurrence d’sombres : « inutile lumière, vertu chimérique » produit une désacralisation des valeurs européennes L’antithèse « Tu n’es ni un D… , ni un Démon » renforce cette désacralisation de l’Européen.

Le vieillard imite la tonalité du sermon et reprend un vocabulaire biblique, évangélique pour montrer que tous les hommes sont égaux devant D…. AVEC : « Le titraient est ton frère », métaphore et ‘expression « Vous êtes deux enfants de la nature La question de rhétorique : « Quel droit as-tu sur lui qu’il ‘ait pas sur toi ? » montre que les hommes sont égaux en droit malgré leur inégalité en fait.

La métaphore « nous avons respecté notre image en toi » montre que ‘européen et le primitif sont des alter-égaux. L’éloge de l’état de nature dédieront propose un éloge de l’état de nature qu’il compare implicitement au jardin d’édenté.