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Séance 5 : Émile Zola, L’Aurore, «J’accuse. (P584-585) Introduction ! » extrait de 1898 ! » écrit par Émile Zola. Cette lettre Voici un extrait de « J’accuse… ouverte fut publiée dans le journal L’Aurore le 13 janvier 1898 et est adressée à Félix Faure, Président de la République de cette époque. Zola est un auteur français appartenant au 19e siècle.

Il a écrit de nombreux romans connu comme Germinal, Au Bonheur des Dames ou encore Thérèse Raquin. Il appartient également au mouvement littéraire « J’accuse… ! » a été et l’acquittement d’u rançais d’état-major tord d’avoir livré des or 5 ation d’un innocent 1894, l’officier yfus a été accusé a e et finit condamné et expédié sur lîle du Diable en Guyane française. véritable traître, le commandent Walsin Esterhàzy est trouvé en 1897 mais il est acquitté à l’unanimité par le conseil de guerre. C’est suite ? cela qu’Émile Zala publiera alors sa fameuse lettre qui l’amènera ? un procès pour diffamation et un exil a Londres. Nous commencerons par exposer qu’il s’agit d’un réquisitoire en faveur de Dreyfus, puis, nous montrerons qu’au delà de cela, on eut parler d’un engagement au « nom de valeurs supérieurs l.

LJn réquisitoire Texte séparé en 2 parties Thèse : Dreyfus comdamné par un procès truqué + que la vérité repérable : Figure de style : Anaphore « j’accuse » 3 regroupements de cibles différentes : les experts graphologues truqué les rapports les bureaux de la guerre ou ministère campagne de propagande mensongère par voix de presse la justice militaire (les 2 conseils de guerre) dissimulation de pièce a conviction par le premier conseil + acquittement du 2e conseil de façon délibérée et concertée.

Champ lexical du mensonge, de la dissimulation et de l’illégalité Accumulation de verbe d’action partie 2 l’engagement personnel Dans « J’accuse… ! » Emile Zala expose la thèse suivant : L’officier français d’état-major Alfred Dreyfus a été condamné par un procès truqué. Zola, par le biais d’accusations fondées contre plusieurs personnes appartenant au corps militaire, souhaite falre apparaître la vérité au grand jour. Cette extrait pourrai être séparé en deux parties. La première est sur les accusations que porte Émile Zola envers différentes ersonnes.

Elles sont facilement re érables puisqu’elles commencent toutes par la aphorique « i’accuse » et (lignes 3 à 6); puis, quatre généraux pour avoir eu des preuves prouvant l’innocence de Dreyfus et avoir étaient complices (lignes 7 à 15); un général et un commandant pour avoir fait une «enquête scélérate» (lignes 16 à 19); également, les experts / graphologues pour avoir fait «des rapports mensongers et frauduleux» (lignes 20 et 22) ; ensuite les bureaux ou ministère de la guerre pour avoir fait une campagne de propagande anti

Dreyfusienne dans les journaux (lignes 23 à 25) et enfin la justice militaire ou les deux conseils de guerre que Zola accuse tour a tour: le premier pour dissimulation de pièce à conviction et le second pour un acquittement de façon délibérée et concerté (lignes 26 à 29).

Nous trouvons également dans cette extrait le champ lexical du mensonge : « mensongers et frauduleux » (ligne 21), « égarer l’opinion » (lignes 24 et 25) et « acquitter sciemment un coupable » (ligne 29) ; celui de la dissimulation « une pièce restée secrète » (ligne 27) et de l’illégalité « violer le droit » (ligne 26), ? illégalité » (ligne 28) et « crime juridique Nous retrouvons également plusieurs fois les mots « coupable » (lignes 6 , 10 et 29), « complice » (lignes 7 et 13) et « crimes » (lignes 11 et 14) Grâce a tout cecl, Zola nous montre bien qu’il fait un réquisitoire en faveur de Dreyfus.

Nous venons donc de parler de la première partie de cet extrait de « J’accuse » dans laquelle nous avons démontré qu’il s’agit d’un réquisitoire en faveur de Dreyfus, maintenant, passons à seconde partie dans laquelle nous montrerons qu’au delà de cela, on p