Classicisme
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Pour la peinture les a l’horreur, pour invite victimes représentée y avec la chair des pers pour aspirer un idéal Classicisme Premium By candirevay 05. 2015 pages Dossier : Qu’est ce que le Classicisme ? Le classicisme se développe sous le règne de Louis XIV, pendant le XVII’ siècle, principalement des années 1660-1680. Ce mouvement se SOUCI de la perfection et du beau du monde, pour montrer sa grande classe il respecte certaines règles.
La langue classique est marquée par un souci constant de pureté et d’harmonie. Pour les pièces de théâtres, il se base sur une règle es trois unités qui sont le temps, le lieu et l’action : La pièce ne doit pas dépasser 24h, l’action doit se dérouler dans un seul lieu et il est important de n’avoir qu’une seule histoire principale. to page Ripe View next page toute vulgarité de r de la pitié pour les ersonnages antiques umières sont vives ont définie, ce qui permet de mettre en valeur les formes.
Le classicisme a pour principaux thèmes : -L’utilisation de la mythologie grecque -L’utilisation de la bible -La glorification du roi Louis XIV lors de certaines scènes -Présentation de la nature comme une force immuable, et au ontraire les hommes dont le destin est éphémère. Le classicisme s’oppose a au baroque, mouvement antérieur. Celui-ci voyait le monde comme non-achevé, encore en phase d’élaboration, de transformation tandis que le classicisme le voyait totalement achevé, ce qui faisait ce mouvement connu pour sa perception de la simplicité de sa beauté.
Le mouvement baroque nait d’une impression de grande instabilité du monde suite à de nombreux bouleversements politique et de guerres de religions au début du XVIIO siècle. Pourtant, à partir de 1661, le règne de Louis XIV arque le début d’une nouvelle ère politique qui coïncide avec un changement profond des valeurs. Le classicisme voit le monde comme figé avec un destin déterminé à l’avance. Louis XVII règne durant le classicisme, c’est au début de son règne que va s’instaurer ce nouveau mouvement : C’est une nouvelle ère politique.
La Querelle des Anciens et des Modernes au XVIIO siècle opposait deux partis : Les uns, tournés vers le passé, croient qu’il convient d’imiter les prédécesseurs, parce qu’ils ont atteint la perfection dans leur art : ce sont les Anciens. Les autres, fixés sur le présent, pensent qu’il faut Innover, trouver des solutions qui correspondent à l’esprit de l’époque : ce sont les Modernes. Entre ces deux partis, il y a les conciliateurs.
Ils pensent qu’il faut tenir compte des apports précédents, il faut aussi les adapter aux situations nouvelles, les utiliser comme un tremplin qui permet de 2 il faut aussi les adapter aux situations nouvelles, les utiliser comme un tremplin qui permet de progresser. L’honnête homme sert à désigner un idéal, elle renvoie à un comportement social. C’est tout d’abord quelqu’un qui sait briller en société, il veut plaire et séduire. Il est passé maître dans l’art d’être agréable.
Ses manières sont raffinées, ses vêtements élégants, il possède le talent de la conversation, ne se met pas en avant mais laisse les autres s’exprimer. Il est ouvert d’esprit. Il est souriant, a le sens de « humour, mais fait des plaisenterie plutôt fine. Il sait s’adapter à la personne qu’il a en face de lui et se comporte différement. Il incarne le respect des autres et la tolérance. Molière (1622-1673) fut un grand auteur du classicisme, il ?crivit des pièces de théatres très connues qui ont traversés les époques jusqu’à nos jours.
Ses pièces principalement comiques, ont dénoncé le travail des médecins. Jean de La Bruyère (1645-1696) était un écrivain qui était connu pour n’avoir écrit qu’un seul livre « Les caractères », mais en huit éditions. Fidèle à la lignée de tous les moralistes classiques, il s’attache à découvrir la permanence dans la nature humaine, ? dégager, par-delà les traits particuliers, les caractères éternels. Mme de La fayette (1634-1693) 3