Choix D Investissement Et De Financement 1
Introduction lundi 16 janvier 2012 10:35 I – Investissement et stratégie de l’entreprise. Objectifs de rentabilité, de croissance, de pérennité de l’entreprise, d’indépendance. De ces objectifs vont découler une stratégie des déclslons d’investissement et de financement. Exemple : investissement pour améliorer la prod. et ainsi atteindre l’objectif de vente. Différentes concepti Pour le comptable, qu’elle soit productiv Pour l’économiste, l’i d Sni* to esti mobilisation, mo. productive. Pour le financier, l’invest. st une immo. de K qui produit des revenus à long terme et qui doit à ce titre être fin. par des apitaux permanents ( K propres ou emprunt à long terme). Voir définitions du support. Il – La typologie des investissements. améliorer les conditions de travail, réduire la pollution, investissements de prestige… L’investissement engage l’entreprise à long terme. Evaluer ma renta. d’un invest. = comparer le capital investi et les gains futurs réalisés Cela suppose que l’investissement dégage des gains (1) mesurables (2). conditions donc. Quels sont les moyens de financer l’investissement ? voir page 2 – investissement direct investissement indirect Le processus de décision d’un investissement : voir page 3. Non prise en compte du financement, étude de la faisabilité. Choix du mode de fin. Montage financier : plan de financement La décision finale tient à la fois compte de ces 2 étapes et des objectifs de l’entreprise, ainsi que des risques encourus. 0 détermination du capital investi et de la durée de l’investissement.
Immobilisations + frals d’acquisition (transport, installation… ) + besoin de fin. engendré par l’invest. (càd la BFRE) Exemple no 1 . 100 000 + 1 000 000 + 280 000 + 120 000 + (18 000 – 12 000 000)/12 -2 000 000 € 1 . Les dépenses liées à la réalisation de l’investissement. Prix d’achat HT + TVA non récupérable Coût d’opportunité : Correspond à la valeur de ce à quoi il faut renoncer pour réaliser Dépenses de faisabilité : non comprises dans le capital investi, car non récupérables quel qu’en soit le résultat.
Dépenses induites par la mise en place de l’investissement : font partie du capital investi. 2. Les recettes liées à la réalisation de l’investissement. Cessions d’anciennes immo. : diminuent le capital investi. Tenir compte des effets fiscaux : plus ou de cession. 3. a variation du BFR. Modification des conditions d’exploitation : niveau des stocks, créances clients et dettes frs. Donc besoin (ou ressourc nt à anticiper PAGF 3 0 incertains) . Autre possibilité : la durée d’amortissement du bien.
La durée que l’on doit retenir doit être signlficative, quitte ? prendre une durée plus courte, potentiellement avec valeur résiduelle. 5. La valeur résiduelle. Valeur que l’on attribue au bien à la fin de la durée d’explo tation, et que peut attendre d’une cession à cette date. b. Les flux dégagés par le projet. On peut concevoir que l’investissement augmente ou maintienne le CA, mais il peut aussi diminuer les charges sans affecter le CA. Au final, il a toujours un impact sur les flux de trésorerie (entrants et/ou sortants). . Caractéristiques de ces flux.
Flux de trésorerie = encaissements et décaissements liés ? Flux d’investissement : achat du matériel, frais de mise en service, Flux d’exploitation : on retire des avantages éco. de Flux de fin de période : à la fin de la durée de vie, on suppose que l’on arrête l’exploitation d’où une valeur finale : Valeur résiduelle : valeur probable de revente Récupération du BFR Montant de la « remise en état du site » Ces différents flux doivent être calculés indépendamment des modalités de financement 0 (entre O et 1 par exemple).
On cherche à démonter que la somme des encaissements > omme des décaissements, le projet est alors rentable. 2. L’évaluation des flux de trésorerie. L’évaluation des CAF d’explo•tation. Calcul classique de la CAF : 2 formules. Contexte prévisionnel donc simplfié : on ne prend en compte que les éléments d’exploitation. Donc produits encaissables CA HT DONC CAF d’exploitation du projet = résultat net + dotations voir doc. 1 page 2.
Exemple no 3 : Années CA du projet 210 240 Charges 144 -164 EBE 66 76 DA PAGF s 0 produit de la vente net d’impôt. A la fin de l’utilisation de l’investissement, on récupère la variation du BFRE. Exemple 5 : 2 4 660 750 1 500 (150) (300) 810 900 650 1800 6 0 L’actualisation. La notion d’actualisation : c’est le coût de la renonciation à la liquidité immédiate. L’actualisation permet de convertir des valeurs futures en valeurs actuelles. Obligation de déterminer un taux, nécessaire pour effectuer les calculs.
L’entreprise doit retenir des investissements dont la rentabilité est au moins égale au coût des financements engagés dans l’opération. Taux d’actualisation utilisé = coût du capital dans l’entreprise. Valeur acquise : Cn = CO (1 +i)An Valeur actuelle : CO Cn b. Le coût en capital. 1. Définition. On utilise un calcul comptable : quels sont les moyens de fin. e l’entreprise : capitaux propres, emprunts, subventions.. Coût du capital : Moyenne arithmétique pondérée des coûts des différents financements. voir page 3 support. 0 Taux vraiment supporté : *(2/3) 3% 500 515 000 Emprunt obligataire de 1 000k€ contracté à 12%, remboursable in fine au bout de 4 ans Hypothèse 1 : pas de frais d’émission, pas de prime de remboursement Hypothèse 2 : frais d’émission 24k€ ; amortissable linéairement sur 4ans Hypothèse 1 100048% = 1080K€ Hypothèse 2 • Encaissement réel . • 1000-24 = 976K€ Intérêt Economie d’IS sur intérêts Eco IS sur frais Décaissement réel 20 40 78 3822,45 Règle de décision VAN>O : enrichissement de l’entreprise VAN < O : appauvrissement de l'entreprise Exemple 7 .
VAN projet I : = 973,70 VAN projet 2 : 989,48 On privilégie le projet B Avantages : indicateur de performance intégrant la valeur temporelle de l’argent. Inconvénients : Choix du taux d’actualisation ; La VAN ne permet pas de comparer des projet de taille différente ou de durée de vie différente. Exemple 9 : VAN projet A : 25000(1 +25000(1 1 p-4+25000(1 , , 1 VAN projet B . 40000(1 , I , 1 VAN projet B allongé : = 1838773 Allonger la durée n’est pas pertinent car on fait un calcul révisionnel a partir d’une base déjà prévisionnel.
Exemple 10 : PAGF 0 de rentabilité interne Exemple • soit 1 le taux xl VANI – VAN -O x2 25 % VAN2 Io 10 000 FNTI 2 000 FNT2 3 000 FNT3 4 000 FNT4 5 000 FNT5 Interpolation linéaire : donc TRI = 22. 09 % Avec calculatrice fin. : TIR = 21. 86 % Le projet est accepté si le TIR est sup. ou égal au taux de renta. min. exigé par l’entreprlse. Si plusieurs projets : on prend celui qui a le TIR le plus élevé. On ne doit pas confondre la VAN qui est donné et qui représente le coût en capital et le TIR ue li on calcule et qui représente la rentabilité de l’investisse paGF