Articles de communication
Paul ABADIE 23/04 12014 ACSE 1 Le présent dossier vise à montrer certains problèmes majeurs de grandes-villes françaises et européennes. Vous pourrez voir également une des solutions proposée par les habitants eux mêmes, et repris par Les 3 articles sont les Iva org sociations. onquera *Les activités illicites Maire la nuit ? Sni* to View J’expose donc les deux premiers problèmes, suivie d’une solution originale et attractive pour régler certains problèmes récurrents.
La Jonquera La Jonquera, ville catalane touristique, présente à côté de nombreuses boutiques le plus grand marché de prostituées ‘Europe. La Jonquera est une ville frontalière d’une superficie de moins de 60km2 où sont implantés une dizaine de maisons closes, et qui détient 3016 habitants dont 800 prostituées. La Jonquera est ainsi considérée comme le plus grand bordel d’Europe. Elle doit à sa situation transfrontalière, d’être au cœur des trafics les plus divers et sur le passage de nombreux clients.
Chaque week-end, près de 4000 hommes, essentiellement des français, déferlent à la Jonquera. Elle est connue pour son activité commerciale arrive en masse, 7 millions de visiteurs en 2012, pour profiter des roduits moins chers comme l’essence, le tabac, l’alcool, les contrefaçons. Autour de la route nationale et de ses rocades, se trouvent 14 supermarchés, 12 parfumeries, 15 stations-services. Ce trafic pèserait 1. 6 milliard d’euros par an En Espagne, le plus vieux métier du monde profite d’une législation souple.
En Catalogne, la prostitution est interdite dans la rue, mais pas dans les maisons closes. II y aurait selon une enquête du Midi Libre 350 000 prostituées en Espagne dont 30 000 en région catalane. La discrétion de ces maisons closes est mise en avant afin de ne pas déranger le vrai business de a Jonquera qu’est le tourisme. pourtant les faits sont là selon l’Indépendant, la plupart de ces filles venues du monde entier sont «tenues» par des réseaux mafieux originaires de l’Europe de l’est. ?ll y a quinze ans, les prostituées étaient quasiment toutes espagnoles. Il n’y en a quasiment plus aucune. Les filles sont surtout roumaines, bulgares, russes, ukrainiennes, brésiliennes, nigérianes, le plus souvent amenées par des groupes mafieux de traite des êtres humains», témoigne un policier de La Jonquera. Les proxénètes se sont solidement établis dans les dizaines de aisons closes que renferme la ville. Un marché aux esclaves qui n’a jamais été aussi prospère ni aussi étendu.
En Espagne, selon Midi Libre ce trafic pèserait milliard d’euros par an. «LJn petit bordel avec 10 à 15 filles rapporte plus qu’une boîte de nuit » a rapporté le sociologue Dominique Sistach. Les femmes de la Jonquera confondues avec les prostituées La police catalane est parfa Sistach. La police catalane est parfaitement au courant des clans mafieux opérant dans la zone frontalière. Il s’agit de gangs de trafiquants et de proxénètes qui contrôlent le flux des filles, pour la plupart ?trangères, qui échouent dans l’industrie prostitutionnelle.
Une hôtelière témoigne «Tu croises des gens bizarres, les dealers sont partout, les macs aussi, des magasins blanchissent de l’argent… C’est pourri, les jeunes veulent se barrer, les touristes vont finir par fuir». «ll y a aussi des conséquences pour les femmes qui vivent à la Jonquera qui sont confondues avec des prostituées. Elles sont accostées régulièrement, elles font attention à comment elles shabillent, se maquillent et où elles se promènent» raconte un habitant de la ville. Les habitants de La Jonquera ne savent plus quoi faire pour retrouver leur ranquillité.
En effet ils entretiennent un rapport ambigu avec cette industrie prostitutionnelle, car s’ils déplorent la prostitution en termes d’image, ils reconnaissent qu’elle représente pour eux une véritable activité économique. En effet un certain nombre de commerces et professions spécifiques, comme les salons de coiffure, les taxis, etc, bénéficient indirectement de l’activité prostitutionnelle. Bibliographie – La ville la nuit http://www. liberation. fr/monde/2013/03/05/catalogne-la-guerre -des-bardels 886460 Article du 03/05/2013 els 886460 http://www. rostitutionetsociete. fr/politiques-publiques legislations- nationales/la-junquera-extension-du-domaine Article du 29/06/2011 http://www. prostitutionetsociete. fr/l MG/pdf/20121205ddf eauditionavarguezharlejacquezppespacecatalanfrontalier . pdf 05/12 12012 http://www. prostitutionetsociete. fr/actualites/actualites-europe/la -jonquera-loi-et-ordre-des Article paru en 01/2013 http:uwww. ladepeche. fr,’articlenol 3/1 1127/1761979-a-la -junquera-on-raille-le-projet-de-loi. html Article publié le 27/11/201 3 http://www. lindependant. r/2013/06/04/bo rde ls-de-la-jonque ra-la -realite-des-faux-fantasmes, 1761048. php Article du 04/06/2013 http://www. idilibre. fr/2013/01 ‘Ol/le-paradise-n-a-cree-que-des -problemes,620468. php Article du 01/01/2013 encore, les convoyeurs de fonds réclament une réévaluation de leurs salaires et la suppression du travail de nuit suite aux attaques répétées de convois à l’arme de guerre, des conflits éclatent, des frontières s’érigent. La ville qui travaille, la ville qui dort et la ville qui s’amuse ne font pas toujours bon ménage.
Entre ces espaces aux fonctions différentes, aux utilisations contrastées, apparaissent des tensions et des conflits aux franges des agglomérations, au centre-ville, dans les quartiers ériphériques ou le long des axes routiers. La nuit est bien l’alliée des manifestations de violence . agressions, affrontements vlolents, 147 % des ménages interrogés ont dit avoir été victimes d’agressions. L’obscurité semble propice aux dégradations. Japrès les données fournies par la Police nationale, une grande partie du mobilier urbain dégradé, des cabines téléphoniques vandalisées ou des abris bus le sont le soir.
La plupart des taggers opèrent la nuit. Dans les quartiers, les interventions des correspondants de nuit pour des problèmes de squats dans les caves d’immeubles, de nuisances onores, d’incendie ou de dégradations ont lieu en soirée. Plus de 80 % des cambriolages d’établissements ont lieu la nuit. les difficultés à faire la fête dans la capitale. Mais est-il vraiment possible de réveiller Paris ? Avant même qu’une équipe de communicants ait eu besoin de plancher sur la question, le romancier américain Ernest Hemingway s’était attelé à la tâche.
En 1964, la parution à titre posthume de son œuvre « Paris est une fête », dans lequel il raconte avec nostalgie ses années 1920-1930 d’écrivain-bohème dans la cap•tale française, contribua fortement à façonner la éputation d’une ville engageante et extrêmement bienveillante avec ses couche-tard d’artistes, même les moins fortunés. Bien des années plus tard, la lumière que Paris renvoie au reste du monde semble aussi pâle que celle d’une étoile en voie d’extinction.
Depuis quelques années, la presse française et internationale aime à brosser le portrait d’une ville-musée s’endormant sur ses lauriers. En 2009, le quotidien Le Monde lançait les hostilités en désignant ‘Paris, capitale européenne de l’ennui ». Dans la foulée, le New York Times, dans un papier intitulé « Quand les fêtards oient les feux de la ville déteindre », décrivait ainsi la métropole hexagonale comme un belle endormie « guindée et bourgeoise », perdant chaque jour un peu plus de sa splendeur passée au profit de Londres, Berlin ou encore Barcelone. Paris n’est plus la Ville Lumière, déplorait alors un cafetier du XIe arrondissement. Désormais, elle se couche à 23 heures. ‘ De fait, les journaux se faisaient l’écho du cri d’alarme de patrons de bars, de musiciens et d’organisateurs de soirées qui, dans une pétition appelée ‘Quand la nuit meurt en silence », invitaient les pouvoirs publics à davantage agir en faveur de la fête, u a nuit meurt en silence », invitaient les pouvoirs publics ? davantage agir en faveur de la fête, un secteur d’activité souvent mal considéré.
Le collectif y dénonçait, notamment, des horaires d’ouverture contraignants, un manque de transports adaptés aux usages des noctambules mais aussi, et surtout, la hausse du nombre de fermetures administratives consécutives aux plaintes de voisinage. « Une voix et un visage au monde de la nuit » . Mardi 12 novembre, au terme d’un scrutin mobilisant le samedi précédent près de 2 200 votants dans une quarantaine de bars dans la ville, un « maire de la nuit » a été informellement ?lu. ? l’origine de cette consultation, non-institutionnelle mais néanmoins sérieuse, peu ou prou le même groupe à foriglne de la pétition de 2009 Il est vrai que se lancer dans l’aventure des nuits parisiennes relève bien souvent de la gageure. Co-gérant du Face Bar, petit établissement du Marais, dans le Ille arrondissement, Thomas Dubber a très vite été confronté aux foudres des résidents râleurs. La première année, nous avons reçu 130 plaintes de voisinage, et avons donc dû engager des travaux d’insonorisation qui nous ont coûté 25 000 euros, affirme l’exploitant qui a vendu on appartement il y a deux ans pour pouvoir acquérir le fonds de commerce avec son frère. Nous sommes constamment le cul entre deux chaises : pour être rentable, nous devons faire vivre le lieu mais éviter le retour de bâton des associations de riverains. Demain, si on écope d’une fermeture administrative, on en aurait pour 20 000 euros.
Le calcul est donc vite fait : mieux vaut avoir un peu moins de clients et donc moins de plaintes. » Reste que dan donc vite fait : mieux vaut avoir un peu moins de clients et donc moins de plaintes. » Reste que dans les établissements qui, du fait de leur plus grande apacité d’accueil, charrient un grand nombre de consommateurs, la meilleure insonorisation du monde serait encore insuffisante pour calmer les résidents en quête de calme. « Les nuisances sonores ne sont pas vraiment dues à la musique mais aux personnes qui fument dehors », observe Billy Hadley, co-exploitant du Sans-souci, à Pigalle (IXe arrondissement).
Aussi, depuis l’entrée en vigueur en 2007 de la loi interdisant la cigarette dans les débits de boissons, nombre de patrons de bar ont dû s’adjoindre les services d’agents de sécurité chargés de calmer les ardeurs des fumeurs contraints de griller leurs clopes ? ‘extérieur. « Leur présence est devenue indispensable, assure Billy Hadley. Ils gèrent les clients, les empêchent de coloniser la route ou de sortir avec leurs verres sur la voie publique. Il n’y a pas un bar de ce quartier qui n’a pas un portier. Au risque, parfois, de brider l’ambiance. « Cela agace un peu les clients de ne pas pouvoir boire leur verre dehors ou de se faire rappeler tout le temps à l’ordre. C’est pesant pour eux, mais ils finissent par comprendre que nous sommes sur le qui-vive et constamment sous pression. » Le pouvoir des riverains est tel, selon Eric Labbé, que les fermetures administratives prononcées ? l’encontre d’établissements jugés trop bruyants ont augmenté de 5 à 10 % ces deux dernières années.
Des « Pierrots de la nuit » chargé de sensibiliser les noctambules parisiens aux nuisances sonores. « Il y a aujourdhui une grosse demande de la part d noctambules parisiens aux nuisances sonores. « Il y a aujourdhui une grosse demande de la part des 18-25 ans qui ont très, très envie de sortir, notamment en dehors des clubs, analyse ErlC Labbé. L’organisation de fêtes en banlieue, c’était quelque chose qu’on espérait mais qui relevait de la science-fiction, car la nuit parisienne s’est toujours exclusivement oncentrée dans les 20 arrondissements de la capitale.
On ne peut plus réfléchir la nuit à l’échelle de Paris intra-muros, qui a la taille d’un timbre-poste. Pour pouvoir se comparer à des villes comme Londres et Berlin, il faut se mettre à la même échelle. La solution, c’est le Grand Paris. » Encore faudrait-il que ce projet de grande métropole francllienne bénéficie d’un réseau de transports étendu et adapté. Pénurie de taxi le week-end, métro fermé au plus tard à 2 heures du matin, bus de nuit mal organisés et peu sécurisés… Paris n’est pas la capitale du monde la plus mobile une fois la nuit tombée.
Un sérieux handicap pour une ville qui aimerait de nouveau se frotter à ses attrayantes concurrentes, que les compagnies aériennes low-cost ont rendu plus accessibles. « Les Parisiens partent encore faire la fête dans d’autres capitales européennes, ce qui n’est pas le cas des Européens chez nous, regrette « monsieur le maire » Clément Léon R. , qui entend inverser la tendance. En fait, les étrangers viennent plutôt à paris en mode romantique avec son copain ou sa copine. » Paris, ville des amoureux, voilà un label que les autres capitales ne sont pas près de lui contester. paul ABADIE