Analyse d’une entrevue

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Pour ce faire, il va de soi que nous devons considérer plusieurs sphères qui intentèrent l’intégration u loisir dans nos sociétés ainsi que les dimensions qui s’ rapportent. Dans l’ensemble, peu de gens se questionnent sur ce qu’est le loisir de façon fondamentale. AI ha une sorte de consensus, de légitimité donnée à ce dernier. Pour les acteurs sociaux, un loisir signifie une chose un lieu, un temps, des activités, etc..

Afin d’analyser ces concepts, nous devrons faire appel au concept des significations sociales; c’est-à-dire regarder ce processus général par lequel on donne une interprétation plus ou moins uniforme à tout phénomène social, dont le loisir. Pour mieux comprendre es dimensions, nous analyserons le contenu d’une premier boy zoo I empara 22, 2011 | 7 pages de changements au niveau social. À chaque génération, sur ce qu’est le loisir de façon fondamentale. AI y a une entrevue afin d’en sortir certains éléments sur le plan des significations sociales.

Nous nous pencherons tout d’ d’abord sur le loisir dans l’univers des valeurs, ensuite sur les valeurs sociales du loisir, sur les fondements normatifs et, en définitive, sur le système d’attentes reliées aux rôles sociaux. Soulignons d’abord que la personne interviewée est un home âgé de 43 ans, marié, père de trois enfants et technicien au numéraire dans une institution bancaire. Nous aborderons en premier lieu l’univers des valeurs avec le processus de légitimation de ces dernières.

En effet, chez certains acteurs sociaux, nous pouvons remarquer une sorte de légitimation générale entre autre par des notions de divertissement, de détente, de plaisance normalement observables lors de la pratique d’un loisir. Ainsi, pendant son entrevue, l’homme dit que, lors de la pratique de son loisir préféré, il est « tranquille ». Lorsqu’ va vers la nature, il relaxe plus ». AI dit aussi que participer à des activités de bénévolat lui « rapporte un plaisir, une satisfaction personnelle » et que « ça me fait aussi passer mon temps ».

Il faut aussi noter qu’il légitime le phénomène du loisir, malgré ce que ça demande en temps et énergie, en exprimant « ça n’en prend, dans une paroisse, même dans les loisirs » donnant l’exemple de son bénévolat et celui des gens impliqués dans le hockey mineur. Il considère donc qu’une certaine implication au niveau social serait implicite et indiquerait une manière de se comporter pour la régression de la société. Il est don implicite et indiquerait une manière de se comporter pour la progression de la société.

Il est donc facile de voir que pour cet homme, le loisir occupe une place importante dans l’ensemble de ses valeurs sociales. Lorsqu’ parle de faire du ski de fond les fins de semaines, il soutient que « j’ vais à toutes les fins de semaines. J’essaie de ne pas en passer.  » AI faut cependant noter qu’il tempère le temps accordé à ses loisirs parlant de son bénévolat; on n’en avait trop. On s’embarquait, puis un moment donné on a dit : op!

On va prendre un break qu’est-ce qu’on peut laisser parce qu’il faut que tu te dises aussi que t’as trois enfants Ce qui dégage une sorte de hiérarchie implicite, qu’il privilégie la famille aux loisirs. En ce qui à trait aux valeurs sociales du loisir, il semblerait, selon l’interviewé, que nous n’avons « peut être pas encore assez » de loisirs. Toujours selon lui, avec la vie que les gens mènent aujourd’hui, il semblerait que nous sommes « toujours au bout de notre souffle ». Il donne l’exemple de lui et de sa famille. Avec ses trois enfants, il est « toujours à la course ».

Pour lui, un loisir c’est quand il « prend le temps », qu’il « se repose ». Même chose lorsqu’ parle de vacances, « moi j’en ai jamais assez » dit-il. AI prend des vacances pour « relaxer » et « se remonter un peu le moral ». Au niveau des motivations sociales qui sont rattachées à la pratique d’activités, e rattachées à la pratique d’activités, en plus de celles déjà énumérées, nous pouvons aussi dégager une importance donnée à l’environnement et à l’ambiance, lors de la pratique du ski de fond par exemple; « je suis tranquille, surtout le lendemain d’une tempête de neige; le paysage est merveilleux ».

Ceci étant dit, ces dernières motivations peuvent laisser croire que les motivations portent quelquefois moins sur l’activité elle-même que sur les conditions externes. Regardons maintenant le loisir sous l’angle des fondements normatifs. En effet, les acteurs sociaux doivent constamment adapter leur système de valeurs selon certaines règles de pratiques d’actions. Ces règles ou normes, détiennent la clé de l’orientation de l’action sociale, des conduites, des comportements ainsi que des valeurs collectives.

En d’autres mots, ces normes servent e guide, de références à une conduite cohérente des acteurs dans leurs rôles sociaux. L’une de ces normes en est une d’action. C’est-à-dire que selon cette dernière, le loisir serait lié à une occupation, une conduite et non pas un état d’âme. Par exemple : l’homme en question considère que sont travail en est un de crayon. Il accorde donc un certain taux d’activisme lors de ses loisirs, « physiquement j’aime ça, je suis tout trempé, j’aime ça quand je transpire, je suis satisfait ». Notons aussi qu’il porte à notre attente trempé, j’aime ça quand je transpire, je suis satisfait ».

Notons aussi qu’il porte à notre attention qu’il n’est pas « un gars qui va s’asseoir devant la télévision vers six heures le soir jusqu’ temps que je me couche, je me tanné ». AI semble également respecter le fait que certaines personnes âgées ne « sont pas dans leur maison à rien faire, tout ça là, y sont actifs ». AI renchérit soulignant qu’ sa retraite, il « rêve d’aller faire du ski de fond tous les jours ». Il ha aussi les normes d’implication. On parle ici d’engagement minimal ou maximal dans la participation une activité ou à une action.

Dans le cas présent, le bénévolat demande par exemple « de la préparation, des réunions, des comptes rendus ». Par contre, comme souligné auparavant, avec une vie de famille, il y a possibilité d’un engagement maximal car il s’agit d’une responsabilité et non d’une nécessité. Ensuite, nous parlons des normes d’interactions. AI s’agit là du fait que les relations sociales sont souvent engendrées, département de l’univers dans lequel s’inscrit un loisir donné. AI peut y avoir, entre autre, une absence symbolique de hiérarchie ascendante ou descendante dans les apports aux autres, comme lors d’une fête.

L’interviewé note que des festivals sont « un lieu de rencontres, de monde que tu ne vois pas tout le temps ». Il poursuit avec un exemple du fait que les rapports sont de nature plus égalitaire, de similitude et aussi exemple du fait que les rapports sont de nature plus égalitaire, de similitude et aussi qu’il s’agit d’interactions plus franches; « des gens avec qui on a été a l’école, des gens avec qui on travaille, ou on fait du bénévolat dans la paroisse [… ] on prend plus de temps pour se parler ». En définitive, analysons le système d’attentes reliées aux rôles sociaux.

Nous allons regarder ces rôles en observant, de façon plus explicite, une différenciation voire une distanciation par rapport aux rôles sociaux de base. Cette différenciation sera introduite par le loisir, tel que le ski de fond pour notre individu. Comme souligné, cet « activité physique » n’ rien à voir avec son « travail de crayon ». Aussi, avoir des loisirs le change de ses activités reliées aux rôles familiaux; « bon le repas », « puis l’autre faut que tu ailles le mener », « avec nos trois enfants, des fois ‘est un, des fois c’est l’autre ».