Analyse de la pratique ESI – SSR

essay A

Analyse de la pratique 2 — SS l- Description de la situation professionnelle J’effectue mon stage en service de Soins de Suite et de Rééducation à l’hôpital Suisse de Paris. Ce matin je m’occupe d’un patient de 82 ans, entré dans le service à J 10 d’une colectomie angulaire gauche par laparotomie dans le cadre d’un adénocarcinome du côlon. Hospitalisé auparavant en chirurgie à l’Hôpital Européen Georges Pompidou. Mr K est un patient d’origine turque, qui ne parle pas très bien français.

II y a donc une barrière de la langue entre lui et les saignants. Il a été mis sous Augmentin pour une exacerbation de BPCO quelques ours avant son transfert dans le service. Un midi je rentre dans Sni* to View Swp to page sa chambre afin de fait comprendre qu’il ve ors comprend pas pourq i i’ _ n or je vois bien qu’il n hausser le ton et à d ent. Or Mr K me tiques, qu’il ne te de lul expllquer, mmence donc ? e le calmer, en essayant de lui expliquer de nouveau et que je vais prévenir le médecin afin qu’il puisse le voir.

Mr K est très entouré par ses 2 enfants, qui parlent très bien français, j’ai donc décid décidé d’attendre que ses enfants viennent le voir, afin qu’ils puissent traduire ce que je souhaite lui dire. Je vais tout de même voir le médecin afin de le prévenir de la sltuation, que Mr K ne comprend pas certains éléments de son traitement. De plus, le fait qu’il ne comprenne pas ce qu’on lui dit, et que l’on ait du mal à comprendre ce qu’il nous dit, peut engendrer un risque d’agressivité.

Le lendemain après-midi son fils est passé voir Mr K, à ce moment je lui explique ce qu’il s’est passait la veille, et ainsi savoir si il peut faire le traducteur entre nous et son père. Nous allons donc voir Mr K avec son fils et le médecin. Ainsi nous avons pu lui expliquer l’intérêt de son traitement, et quand son raitement antibiotique allalt s’arrêter. Ainsi nous avons pu voir Mr K soulagé et apaisé par nos explications et a pu ainsi prendre son antibiothérapie jusqu’à la fin. l- Questionnement, difficulté / et axes d’amélioration Je me suis demandé si au départ de son hospitalisation, tout lui avait été expliqué avec précision, car il avait l’air perdu dans ses traitements. Je me suis également demandé si l’opération plus exactement l’anesthésie n’avait pas altéré son état cognitif ? Etait-il en globe urinaire ou constipé ? Car cela peut augmenter le risque d état cognitif ? Etait-il en globe urinaire ou constipé ? Car cela peut augmenter le risque d’agressivité.

Mr K était-il dans le déni de sa pathologie ? Avait-il été informé de tout concernant ses pathologies ? Ou alors les explications données à Mr K étaient-elles trop compliquées sachant qu’il comprend mal le français ? Dans cette situation, j’ai vraiment pu remarquer que la barrière de la langue est un frein important à la communication. Et ainsi modifier une prise en charge. Mr K ne comprenant pas ce qu’on lui disait avait tendance à s’énerver, ainsi trouver un traducteur était primordial afin de lui expliquer Vintérêt de son traitement.

Ce raitement était important dans le cas de sa pathologie. On peut donc remarquer que dans une prise en charge la communication est essentielle au bien être du patient, ainsi lui expliquer tous les traitements que l’on donne et les gestes que l’on réalise est primordial. Ainsi j’ai tenté de reformulé au patient ce qu’il comprenait afin de voir si j’avais bien compris, et si lui également avait bien compris ce qui avait été dit.

Je regardais également Mr K dans les yeux dés que je lui parlais, car si il ne comprend pas mais en plus de ça on ne le regarde pas, cela risque d’engendrer un sentiment de manque d’intérêt de notre part p e le regarde pas, cela risque d’engendrer un sentiment de manque d’intérêt de notre part pour le patient. Lorsque Mr K tentait de reformuler ce que je disais ou tenter de m’expliquer quelque chose, j’adoptais une écoute active, ainsi j’hochais la tête pour lui montrer que j’entendais bien ce qu’il souhaitait me dire. e lui posais principalement des questions fermées afin qu’il puisse me répondre le plus simplement par oui ou par non avec des questions les plus simplifiées possibles. Par exemple au lieu « Avez-vous besoin de quelque chose ? » je demandais plutôt « Voulez-vous de Veau ? » etc… Si je souhaitais clarifier quelque hose, je lui posais des questions ouvertes, en revanche si il ne comprenait pas, ou si je ne comprenais pas sa réponse, je passais le relal à ses enfants lors de leur arrivee qui du coup pourront lui demander ce que je souhaite et me [‘expliquer par la suite. ‘essayais au maximum de lui montrer par des gestes ou des objets ce que je souhaitais lui demander, par exemple, si pour lui demander de prendre ses médicaments, je lui montrais du doigt ses traitements, et lui remplissais son verre d’eau. Ce qui permettait à Mr K de mieux comprendre mes demandes. Ici il était difficile d’expliquer à Mr K la raison de son traitement ant que l’un de ses enfant PAGF tant que l’un de ses enfants n’était pas arrivé.

Dés l’arrivée de son fils, je lui ai expliqué la situation et lui demander si il était possible d’expliquer en Turque les explications par rapport à son traitement. Celui- ci a de suite accepté. Nous avons donc été dans sa chambre, et son fils expliquait donc tout ce qu’on lui disait ? son père. Ainsi pendant toute l’hospitalisation de Mr K, lorsque nous voulions expliquer quelque chose d’important, nous attendions son fils ou sa fille afin de lui pouvoir lui expliquer et ainsi être ur qu’il ait bien compris.

Les enfants de Mr K ont permis l’amélioration de son comportement, car après leurs explications, Mr K prenait sans problèmes ses traitements et avait très bien compris l’intérêt de ceux-ci. Dans beaucoup détablissement hospitalier, des listes existent avec le personnel parlant des langues étrangères, aurais-je du demander si il y en avait une ? Et ainsi m’y référer ? Ainsi je me suis demandée comment diagnostiquer correctement, expliquer un traitement ou un soin, respecter l’avis du patient quand patient et soignant ne se comprennent pas ?