analyse bruge la morte
Analyse « Bruges-la-morte » Le roman « Bruges-la-morte » a été écrit par Georges Rodenbach. Je décrirai ci-dessous certaines caractéristiques qui permettent de classer ce roman dans le genre des romans symbolistes. La première caractéristique est la décadence. L’histoire d’amour entre Hugues Vianne et Jane Scott a pour origine un drame. Hugues était marié à une femme dont il était éperdument amoureux. À la mort de celle-ci, il est incroyablement triste.
Il rencontre par hasard, dans la rue une fille qui est le sosie de son épouse regrettée. Il est attiré par elle et veut faire revivre son couple. La fille est consentante et a des sentiments pour lui. une relation s’engage do peut vraiment retrou r ce complique et fini par al to View marié et à ‘époque o siècle, et encore de de liaison est mal perçu. rs Jane, Hugues ne eu à peu tout se ple n’est pas encore rs la fin du 19éme eux pays, ce genre La seconde idée qui se dégage du livre est le sentiment religieux, Bruges est une ville très catholique.
Les couvents, églises, et autres édifices religieux, que l’on peut encore admirer aujourd’hui orsqu’on visite la ville, sont abondement décrits à travers toute l’œuvre. Les habitants de Bruges sont très croyants et donc les liaisons hors manage sont fortement réprimées. Bien qu’au début la liaison a Swipe to View next page apporte un peu de bonheur aux héros, très vite le remord envahi le cœur d’Hugues qui est influencé par la religion. Dans les romans symboliques la femme est représentée soit comme un symbole de pureté, ou alors comme dans « Bruges-la- morte » comme une tentatrice.
Ces deux tendances apparaissent ?galement dans les peintures du même mouvement. Hugues voudrait atteindre le bonheur absolu, il n’y arrive pas. L’auteur veut donner l’image d’un monde idéal, mais la réalité est tout autre et les personnages perdent leurs illusions. Le personnage idéalise sa maitresse en la substituant à son ancienne femme. Ensuite la relation s’envenime. Le héros avait gardé une mèche de cheveu appartenant à son épouse morte. C’était pour lul le symbole de son amour. Chaque jour, il vénérait la tresse et ne supportait pas que quelqu’un la touche.
Or un jour, Jane peut- ?tre jalouse de la défunte, profane la « relique Hugues devenu fou furieux étrangle sa campagne avec les cheveux de la morte. L’auteur suggère par ce symbole qu’un amour ne peut renaître comme par magie des cendres d’un autre amour. En conclusion, « Bruges-la-morte » fait bien partie de la tendance des œuvres symbolistes parce que le thème décadent est bien présent tout comme le sentiment religieux. La femme est symbolisée comme une tentatrice. Contrairement aux œuvres réalistes, ici tout est suggéré par le symbole comme si il existait une autre réalité.