adolescence dans son environnement
Faculté des Lettres et Sciences Humaines Département d’Histoire et Archéologie Licence 2 Semestre 3 PLAN INTRODUCTION l. L’adolescent dans I Le modèle occid Le modèle africai org Sni* to View 2. Il. Relation environnement•adolescent Le cadre familial Le milieu scolaire Le cadre social CONCLUSION Il n’y a pas si longtemps, l’adolescence n’était pas reconnue par la c’est-à-dire des notifications sur le plan de la vie affective, sur l’image de soi, sur le plan logique et sur la personnalité sociale. . L’adolescent dans le monde L’adolescence est un phénomène social, qui diffère selon les ultures et les disciplines, mais les représentations de cette période sont très diverses et changeante. 1. Le modèle occidental L’adolescent du monde occidental est aux prises avec de nombreux paradoxes face auxquels son corps et sa psyché se débattent à la marge de deux mondes : l’enfance qu’il quitte et la vie adulte vers laquelle il tend.
Premier paradoxe, l’adolescent est fragile du falt des nombreuses mutations dont il est sujet, mals se trouve également mu par des forces vives, au niveau corporel (transformation du corps) et psychique (réactivation des pulsions exuelles par exemple). Deuxième paradoxe, son environnement relationnel est capital pour lui, pourtant son discours ne rend compte bien souvent que de désirs d’autonomie et d’indépendance.
Au final, la problématique de l’adolescent se situe autour de deux axes majeurs : – la sépa ation vers laquelle il tend en vue de l’indlvidualisation et de la subjectivation, – la question de la perte, perte d’objet, perte de l’amour premier (la mère notamment). La séparation implique la perte uis ue, pour investir d’autres objets, il faut être capable tir d’autres. Comme le our placer ses investissements sur de nouveaux partenaires. A cet effet, le jeune homme réalise son indépendance économique et accepte de se passer de ses parents. Ainsi, ? l’âge d’adolescence le jeune peut se démarquer de manière diverses.
Cela peut se traduire par le changement du mode vestimentaire, les tatouages, les piercings. Les jeunes adolescents cherchent une inscription sociale et entrent dans un processus de construction de soi. On voit alors apparaître l’importance de la bande de copains et des premières relations amoureuses. Le groupe remplit généralement la fonction d’établir des nouvelles dentifications en cette période de crise identitaire. Cependant, depuis le début du XXIème siècle, de plus en plus d’adolescents se retrouvent désormais à la rue sans domicile fixe (SDF) et sans travail régulier. 2.
L’adolescent dans les sociétés dites « traditionnelles » Bien que l’adolescent n’existe dans la société primitives, dites «traditionnelles », les adolescents y existent. Le passage de l’enfance à l’âge adulte est assuré/repose sur un certain nombre de pratique rituelles. En effet, trois rites caractérisent cette transition que Fon pense correspondre à l’adolescence. Il s’agit ? cet effet des épreuves corporelle et morale douloureuses sous supervision des aîné ; la soumission des jeunes à la transmssion des règle de la vie commune et la reconnaissance entière du statut d’adulte à la fin de la cérémonie.
Ainsi, cet ensemble culturel traversé ; le jeune comptait parmi les adulte. On pense donc que c’est durant cette période d’initiation que l’on vit l’adolescence dans nos s adulte. On pense donc que c’est durant cette période d’initiation que fon vit l’adolescence dans nos sociétés dites « traditionnelles » Il. Relation environnement-adolescent cadre familial Comme, renfant l’adolescent se développe d’abord dans sa petite cellule familiale. Cette dernière offre par tradition, des modèles qui permettent de garder un certain équilibre.
Cependant, de nombreux trouble de caractère et du comportement de l’adolescent sont liés à des relations familiales perturbées et aux propres difficultés des parents. Ce n’est en effet pas seulement l’absence de la vie familiale tronquée qui peut provoquer dans la formation de la personnalité de l’adolescent les attltudes adoptées par les parents, dans la mesure où elles sont nsuffisante ou excessives ont aussi leurs répercussions. Parmi ces attitudes, les plus fréquentes sont : Les parents perfectionnistes : qui ont envers l’adolescent des exigences considérables.
Ils attachent un grand prix aux succès remportés, traduisant ainsi leurs propres inquiétudes. Cette attitude crée chez l’adolescent des tensions dû au fait qu’il ne peut satisfaire le père ou la mère. Les parents antagonistes : ils rejettent plus ou moins consciemment l’adolescent. Cette attitude de refus peut être recouverte par une trop grande solitude ; elle développe chez les eunes des sentiments d’insécurité, de peur et le maintien dans un état de dépendance vis-à-vis de ses parents.
Les parents dominateurs : ils ne laissent aucune liberté ? l’adolescent, les exces d’autorites manifestées souvent sur un fond de faiblesse ou au moins d’inqu l’adolescent, les excès d’autorités manifestées souvent sur un fond de faiblesse ou au moins d’inquiétude, conduisant généralement l’adolescent jusqu’au moment où il se révolte, et exprime tout ce qu’il n’arrive pas à dire. Face à ces attitudes contraignantes pour l’adolescent, ce dernier ente de trouver refuge auprès de ses semblables. . Le milieu scolaire À l’adolescence, le développement de la pensée et des capacités cognitives, initié durant l’enfance, se poursuit. Pour le psychologue Jean Piaget, l’adolescent entre 12 ans et 15 ans accède au stade de la pensée formelle et acquiert le raisonnement hypothético-déductif. Manipulant les concepts et les hypothèses, l’adolescent apprend à raisonner à partir des informations données (même verbalement) et à en déduire, de manière logique, les solutions recherchées.
C’est aussi le point de vu que soutien certains philosophes anciens el que Platon « l’adolescence s’accompagne de l’apparition des convictions et des capacités de compréhension, bases essentielles pour parvenir à l’intelligence et la raison propres aux adultes » On assiste chez l’adolescent à une restructuration importante de l’activité mentale. Ses intérêts s’élargissent et ses expériences relationnelles se multiplient et s’approfondissent.
La majorité des adolescents font usage de réflexions intellectuelles ou politiques, des tâches concrètes qu’ils revendiquent eux-mêmes pour accéder aux sens de la responsabilité. L’activité mentale de ‘adolescent lui permet de réaliser sa vie; cette dernière est au cœur de la pensée subjective. Il s’agit d’une forme d’int vie; cette dernière est au cœur de la pensée subjective. Il s’agit d’une forme d’intelligence garante d’une bonne scolarité grâce à la faculté de stockage, d’abstraction et de mémorisation des formes de connaissances. C’est une phase d’affirmation de soi.
Cette période de revendication, du « Je veux! « , se situe entre 13 et 16 ans chez la fille et entre 15 et 17 ans chez le garçon. Cest aussi l’époque du conflit des générations et la période de l’adolescence où on iscute beaucoup. En effet, chaque adolescent veut s’affirmer et se placer à la direction de rang magistral. Chaque élève voulant démontrer qu’il est le meilleur de tous se donne une certaine rigueur de travail. Désormais, on se fait des amis de même entité que sol : groupe de travail, d’amis de marche, de sport Adolescents à Oslo, Nowège.
De ses éducateurs de manière générale (parents, professeurs) ainsi que des adultes qu’il est amené à fréquenter souvent, il attend d’être reconnu à sa juste valeur : il a besoin de confiance, d’écoute et de responsabilité, autant que d’autorité (une autorité e compétence), car il veut lui-même construire sa propre démarche d’adulte, ainsi qu’apprendre à mieux se connaître et gérer son impulsivité, son émotivité et ses facultés nouvelles. La concurrence est toujours un des points majeurs des différents jeux auxquels se livrent quotidiennement les adolescents en milieu scolaire.
L’ouverture du collège à la diversité sociale conduit par conséquent à une intensification du travail scolaire et du maintien des normes scolaires à l’extérieur de l’école. En effet, les a travail scolaire et du maintien des normes scolaires à l’extérieur e l’école. En effet, les adolescents qui cherchent l’affirmation continue, se retrouvent souvent en après-midi pour échanger sur certains points du cours ou exercices qui demandent une réflexion approfondi.
Mais il arrive que des adolescents fassent un mauvais usage de la pensée formelle ou rencontre des problèmes d’inadaptations intellectuelles. Parmi ces dernières, on peut distinguer ceux qui présentent des troubles de comportements ou de caractères. Ils se présentent soit sous forme passive : paresse, dégoût de l’école, soit sous forme active : oppositions, révoltes, issipations. De plus, d’autres sont atteint par des troubles fonctionnels touchant le plus souvent soit le langage : vices de prononciations, bégaiement, soit la motricité : agitations, tics, gaucherie.
Du côté de l’environnement physique, l’adolescence ouvre l’accès à des notions que l’enfant ne peut saisir dans toute leur réalité en raison de leur trop grande complexité. Les notions d’accélération, de probabilité, de corrélation en sont des exemples. Dès Pinstant, l’adolescent dans son environnement scolaire entretient des rapports négatifs vis-à-vis de sa scolarité. En effet Il se sent donc adulte et non plus enfant; il se rend compte que les autres aussi le considèrent comme étant «plus grand ».
Ainsi, l’activité mentale connaît des transformations profondes et, de la même façon que le corps d’enfant devient un corps d’adulte, la pensée enfantine devient une pensée adulte et ces derniers se sentent capable de s’auto assumer. Cette conceptio Cette conception pousse certains adolescents à qu•tter le cadre scolaire pour embrasser [‘éducation rurale. Le jeune garçon se sent désormais homme responsable et la jeune fille femme dulte tous deux capable d’affronter la vie et ses différentes difficultés.
Ce fait est parfois dû à une considération mineure de soi pousse certains ou à un constat de perte de temps pour d’autres, du mécanisme d’identification (qui consiste à s’identifier à un personnage qui présente des caractères que l’on souhaite épouser) . Dans la plupart des cas, ces idées sont la résultante d’un délaissement parental, ou d’un manque de suivl considerable des parents envers leurs progénitures, paresses, dégoût de l’école, oppositions, révoltes, bégaiement. C’est ainsi la phase égative de l’affirmation de soi : le moi obscure qui marque l’indépendance et l’autonomie individuelle. . Le cadre social Influencé par l’évolution des mœurs, l’adolescent s’est dégagé d’une pratique autoritaire et contraignante pour mieux prendre en compte sa personnalité de jeunes, défendre sa liberté et ses désirs. Vis-à-vis des parents, un nouveau rapport doit émerger afin que le jeune puisse s’émanciper à son aise La société va jouer un rôle de structure d’accueil dans laquelle l’adolescent va se réfugier parmi ceux qui sont semblable à lui t qui rencontrent les mêmes difficultés et il s’en servira comme refuge, soutien.
Quoi qu’il en soit, la vie en groupe contribue à la constitution de la personnalité et à l’apprentissage de qu’il en soit, la vie en groupe contribue à la constitution de la personnalité et à l’apprentissage de la vie en société. Elle permet de prendre des distances par rapport au milieu familial, de s’orienter dans l’existence en fonctlon de nouveaux points de repères. Lors de la puberté on note aussi un rétrécissement des rapports sociaux dû en grande partie au narcissisme de l’adolescent ésultant de Pintérêt qu’il porte sur lui-même en raison des transformations qu’il subit.
Plusieurs cas subissent de fortes modifications psychiques qui aboutissent à plusieurs problèmes et qui sont très répandus de nos jours. On parle des différentes psychopathologies de l’adolescent causées par le changement physiologique et psychique (la toxlcomanie, l’anorexie, la boulimie, la fugue, la délinquance et le suicide… ). Conclusion En somme, il sied de dire que les trouble d’adolescence sont tributaire à l’environnement, au milieu où l’on traverse cette ?tape transitoire d’où la diversité des manifestations c’est donc l’environnement qui imprègne ses marque au futur adulte.
S’il existait une forte différence entre l’adolescent occidental et africain, cette différence tend à disparaître avec la modernisation et la mondialisation. Bibliographie Sites visités www. omaep. com www. copes. fr Cours de psychologie. 4ème semestre jbesse. info Alex. g. pages perso-orange. fr www. orslni. net www. ourbodiesourselves Ouvrage : Encyclopédie de la psycholo ie Fernand Nathan 1962- Paris (Pages 120-121) *AGF g c,Fq