a une passanate
Biographie Charles Baudelaire est né en 1821. Un an après avoir eu son baccalauréat, il veut devenir poète alors que ses parents veulent le voir ambassadeur. En 1842, il rencontre Jeanne Duval, qui lui inspirera de nombreux poèmes. Entre 1845 et 1846, il écrit des critiques dans un journal. En 1 847, Baudelaire publie les premières traductions d’Edgard Poe. Il va s’unir à cet auteur américain. Ils ont la même conception identique de l’art et une grande fascination pour le mal. Charles Baudelaire va traduire et préfacer presque toute l’oeuvre de son ami.
En juin 1857, il publie es fleurs du mal, mais il sera condamnés ainsi que sont éditeur et ils devront enlever si or 3 Sni* to View A une passante : 67 à pans. A une passante a ét publiee en 1855 dans la revue l’Artiste. Elle sera receuilli l’année suivante dans la deuxième édition des fleurs du Mal. Cest un sonnet qui appartient au tableau parisien. Les tableaux parisiens sont dix poèmes de la vie de Paris pris sur le vif, ces poèmes sont très détaillés. Le sonnet est construit sur le thème de la rencontre.
On trouve l’attirance de la femme, la recherche d’une nouvelle espérance pleinement heureuse et ‘échec d’une relation qui laisse le poète désemparé Sens: I Une passante qui incarne l’déal de beauté pour Baudelaire. A Un cadre bruyant « assourdissante » et « hurlait » V. I . Cela fait comprendre dès le premier vers que la rencontre ne se fera que par regard car la communication verbale est impossible. Dès le vers 1, on sait que ce poème appartient aux tableaux parisiens, c’est un paris bruyant. Alors que le cadre est hostile, l’apparition de la jeune femme va effacer ce bruit.
B L’apparition de la passante La description de la femme suit le regard de Baudelaire, au épart ce n’est qu’une silouhette « longue,mince » v. 2 puis on peut voir sa » main fastueuse » v. 3 et le détail de sa toilette « le feston et l’ourlet » . Cette femme est gracieuse et ample, on le vérifie avec le rythme ample des vers 2 à 4. Le portrait de la femme continue sur le deuxième quatrain avec un enjambement avec toujours cette idée dharmonie et d’expension. L’allitération du son « s » et l’assonnance du son « an » font entendre le bruissement de ses tissus : » soulevant, balançant l’ourlet et le feston » v. . Lorqu’il parle de » sa jambe de statue » v. , c’est qu’elle est digne d’être représentée. Il un poète subjugué A La fascination du poète Baudelaire est fasciné par l’apparition de la passante qui est son idéal de beauté. Son trouble se sent à travers le rythme haché du vers 6 et 7 : » Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan. » L’adjectif qualificatif crispé » v. 6 montre que Baudelaire est stupéfait, pétrifié. Le verbe buvais montre l’avidlté. ‘ B L’idéal de l’amour baudelairien Baudelaire retrouve les composantes de l’amour l’idéa