Fiche de bac

essay A+

Mon rêve Familier, Paul Verlaine Objet d’étude : Écriture poétique et quête du sens, du moyen Age à nos jours. Problématique : Par quels procédés Verlaine compose t-il un chant d’amour mélancolique ? INTRODUCTION Verlaine : Poète français du XIXème siècle 1866 parution du recueil de poésies Poèmes Saturniens poésie placé sous le mélancolique. Mon rêve familier : s Poésie musicale : Ver tout Swip next page mbre et a femme idéale. e la musique avant par quel procédés Verlaine compose-t-il un chant d’amour élancolique ?

Le plan I-lJn hymne à la femme idéale 1/ La femme idéale, muse du poète La femme l’inspire, occupe son rêve, est son rêve. Fruit d’un fantasme (v. 3-4), donc insaisissable « inconnue » v. 2 Inaccessibilité exprimé dans les 2 tercets : ils évoquent indirectement la mort elle n’est plus de ce monde. La femme peut comprendre le poète son cœur « transparent » v. 5, il n’est plus « un problème » v. 6. Elle apaise « les moiteurs de ses souffrances « elle seule » x3 elle seule peut le comprendre : il s’en lamente v. e cœur du poète est « un problème » v. 6 ambiance onirique Solitude flagrante : son apaisement vient d’une chimère. Elle n’a rien de séduisant (statut), elle est froide V. 1 1 Exutoire à la souffrance du poète. Il-Un poème mélodieux teinté de mélancolie 1/ Un lyrisme porté par la musique « Je » lyrique : ton élégiaque v. 6, v. 8 assonance (2 premiers quatrains) -ant et -ème + allitération v7 Anaphore v. 6-7 Ponctuation importante : – conjonction « et » x6 dans la première strophe + nombreuses virgules rythme lent. terjection v. 6 + phrases interrogatives lyrisme nostalgie : femme qui n’est plus succession du nom, du regard et de la voix 2/ Un chant mélancolique Tristesse et mélancolie v. IO + v. 6 comparaison/ euphémisme de la univers onirique sombre v. 1 femme v. ll + comparaisons de certaines parties v. 12 + v. 14 rappellent la mort. Poète endeuillé : pleure un passé rêvé et non vécu (chimère) CONCLUSION Thème récurent de la poésie : l’amour idéal Thème qui prend souvent la forme d’une passante : Baudelaire « A une passante »