La pauvreté est elle un obstacle à la cohésion sociale?
Sujet : La pauvreté est elle un obstacle à la cohésion sociale? « Les inégalités sont en hausses.. « , La pauvreté à progressé chez les jeunes… » c’est ce que l’on entend aujourd’hui dans les médias. Effectivement la pauvreté c’est une affaire qu’il faut prendre au sérieux car elle touche de plus en plus de français. Selon l’INSEE, le taux de pauvreté correspond à la proportion d’individus (ou de ménages) dont le niveau de vie est inférieur pour une annee donnée à un seuil, d euros).
Le seuil de p distribution des nive privilégie en Europe Mais se place-t-elle e org e devi ln em té (exprimé en ar rapport à la de la population. On u de vie médian. sociale, c’est à dire, la capacité d’une société à assurer le bien-être de tous ses membres. pour répondre à cette problématique, nous établierons un plan en deux parties, tout d’abord, la pauvreté croissante puis nous verrons les outils pour ne pas que la pauvreté mène ? l’exclusion. I .
La pauvreté croissante Premièrement, nous allons voir que la pauvreté est une affaire préoccupante pour ensuite se posé la question du travail, affaiblit il ou renforce t il la cohésion sociale? A. Une affaire qui est préoccupante La pauvreté nia fait qu’augmenté depuis les années 1970, selon l’INSEE. C’est sur la période 1970-1990 que le taux de pauvreté a connu sa plus forte hausse avec 60% de croissance, selon l’INSEE (en utilisant le seuil de du niveau de vie médian).
Sur la période 2000-2010, le taux à augmenté de 11 %, toujours selon la même source. Mais cette hausse n’est pas de même ampleur selon les âges. Les jeunes sont aux premières loges de la crise. Les moins de trente ans sont les plus touchés par la pauvreté • en 2010, 10,8 % des 18-29 ans, 11 % des moins de 18 ans, sont oncernés contre 7,8 % de l’ensemble de la population, si l’on utilise le seuil de 50 % du niveau de vie médian. L’ensemble des moins de trente ans représente près de la moitié des personnes pauvres, soit 2,43 millions d’individus.
De plus, le document nous montre clairement que ce sujet préoccupe les français; « Logiquement, raccès des enfants à ces éléments de base est largement perçu comme une nécessité : 90 % des personnes interrogées jugent inacceptable de » ne pas pouvoir payer à ses enfants des vêtements et des chaussures à leur taille 89 % de ne pas pouvoir payer des appareils dentaires à ses enfants ‘ et 86 % de » ne pas avoir assez de rechange pour envoyer ses enfants à l’école avec des vêtements toujours propres d’après un sondage réalisé par l’observatoire des inégalités en 2010.
Le document ajoute que « Pour l’ensemble de la population, » se prlver régulièrement d’un repas plusieurs fois par semaine ‘ être obligé de vivre dans un logement sans eau chaude » ne pas pouvoir se payer de prothèses auditives » sont les items jugés les plus inac eau chaude « , ‘ ne pas pouvoir se payer de prothèses auditives sont les items jugés les plus inacceptables. » Cependant, dans notre société et notre culture, tout est tourné vers l’argent et l’argent ça ce gagne par le bials d’un travail. On va donc se demander si l’argent augmente ou réduit le lien sociale. 3.
Le travail affaiblit ou augmente le lien sociale Le travail affaiblit ou augment le lien social ? Le document 3 est un sondage du CREDOC (centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie) il nous apprend qu’en 2009 29% des individus gagnant moins de 900€ par mois estiment que chaque indlvidu a aujourd’hui la possibilité de trouver vraiment la lace qu’il mérite dans notre société, contre pour les individus gagnant plus de 3100€ par mois. On voit tout d’abord que il y a un écart de 11 point de pourcentage entre les individus au salaire les plus bas et ceux au salaires les plus élevés.
On peut comprendre qu’il y a un certain désaccord entre ces différents groupes, cependant cela parait légitime puisqu’un individu qui gagne 900€ par mois et qui a du mal a vivre, ne peut peut-être par forcément être compris par celui qui gagne plus de 3100€ par mois. Mais l’élément le plus important est sans doute le fate que eut importante le revenus perçus, en moyenne 65% des personnes pensent que chaque individu nia pas aujourd’hui la possibilité de trouver vraiment la place qu’il mérite dans notre société. Cela prouve un profond malaise et une réalité sur la pauvreté.
Rober qu’il mérite dans notre société. Cela prouve un profond malaise et une réalité sur la pauvreté. Robert Castel, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales suite à une interview à donné son point de vue sur la pauvreté et le fat que le travail se ré-individualise aujourd’hui; » Les autres sont omplètement perdus, comme le chômeur de longue durée ou le jeune qui galère, c’est-à-dire qui n’arrivent pas à s’inscrire de manière un peu stable et durable dans ces systèmes de protections et qui restent dans cet état de flottaison ou de précarité permanente.
S’ils perdent ces protections, ou ne parviennent pas à en trouver, ils sont cassés. » Pour Robert Castel, le problème vient de l’individualisme au travail et « C’est le collectif qui protège : c’est par son inscription dans des collectlfs (organisations, conventions collectives, droits et protections ollectives) que l’individu prolétaire du début de l’industrialisation, complètement livré à son malheur est devenu un salarié à part entière. » Durkheim pense que c’est la division du travail fondée sur la spécialisation des individus qui impose aux hommes d’entrer en rapport les uns avec les autres.
L’interdépendance se développe et avec elle, un ensemble de droits et de devoirs qui viennent organiser les relations sociales. La division du travail, pour Durkheim, n’aurait pas pour but premier l’augmentation de la productivité, mais celle de créer un le lien social permettant de ouder la société à travers la complémentarité des f créer un le lien social permettant de souder la société à travers la complémentarité des fonctions sociales.
Mais c’est Justement cette complémentarité à travers la spécialisation de chacun dans ce qu’il sait mieux faire qui permettra la hausse de la productivité : les hommes en recherchant l’établissement de liens permettent de mieux réaliser cet intérêt général qui découle d’une hausse de la productivité. Mais cette solidarité de type organique est fragile, l’adoption d’attitude opportuniste est facteur de dissolution du lien social lorsque es groupes s’organisent pour faire passer prioritairement leur objectifs présentés comme l’intérêt général.
La société se « communautarise » et devient mécanique. La solidarité est de moins en moins présente et l’anomie peut alors se développer : il s’agit de l’affaiblissement des règles et l’individu ne sait plus trop comment agir. Il recommande donc de développer les groupements intermédiaires, c’est à dire des groupes de taille restreinte, comme les associations professionnelles, qui ont pou fonction d’intégrer leurs membres et de produire de la solidarité.
On voit donc que, pour Durkheim, c’est la division du travail qui est à l’origine de la solidarité dans les sociétés modernes, pas forcément le travail lui-même. On peut donc dire que le travail est devenu, en lui-même, intégrateur. L’excluslon serait donc au contraire facteur de perte du lien social. Il. Les outils pour que la pauvreté ne mène pas à l’exclusion. Deuxièmement, nous allons voir les out outils pour que la pauvreté ne mène pas à l’exclusion.
Deuxièmement, nous allons voir les outils pour que la pauvreté ne mène pas à l’exclusion tout d’abord en expliquant qu’il ne faut as confondre pauvreté et exclusion puis en passant par les intances intégratrices telles que la famille, l’école et enfin les associations et les lois. A. Pauvreté et exclusion L’exclusion sociale désigne à la fois une situation ou un processus qui peut conduire à la rupture du lien social. Le terme d’exclusion ne doit pas être confondu avec celui de pauvreté.
Dans nos sociétés contemporaines, la pauvreté nuit à l’intégration dans la mesure où elle exclut des individus de l’accès à la norme de consommation. La pauvreté différencie, isole, et est ainsi facteur de rupture du lien social. Autrefois, la pauvreté concernait les personnes âgées ou avait un caractère héréditaire alors que de nos jours, avec la montée du chômage et de la précarité, la pauvreté augmente chez les jeunes et s’étend à de nouvelles couches de population jusque-là protégées.
Pauvreté et exclusion sont fortement corrélées. C’est le cumul des handicaps sociaux (chômage, rupture familiale) qui risque de déclencher le processus d’exclusion. B. La famille Le possible handicap sociale qu’est la famille est du à son instabilité de la cellule familiale se voit à travers la progression du ombre des divorces, lequel concerne un mariage sur trois en France. D’autres indicateurs révèlent cette instabilité comme, le recul du nombre des mariages et la France.
D’autres indicateurs révèlent cette instabilité comme, le recul du nombre des mariages et la montée du nombre des unions libres, la progression du nombre des naissances hors mariage et l’apparition des familles « recomposées Comme on observe aussi une augmentation de la mobilité géographique, les familles sont de plus en plus dispersées. La fragilisation de la solidarité familiale est la conséquence de la séparation éventuelle u couple des parents et du plus petit nombre d’enfants, elle diminue de manière mécanique le nombre de personnes avec lesquelles un individu a des liens familiaux.
Cela signifie que la solidarité qui résulte des liens familiaux sera limitée à un nombre réduit de personnes. Si l’éloignement géographique s’ajoute au petit nombre de personnes familialement liées, on comprend que le lien social qui en résulte soit plus fragile que lorsque les membres de la famille étaient nombreux et restaient proches géographiquement. Cependant, l’allongement de la durée de ie et l’enrichissement relatif des seniors placent le jeune au centre d’un réseau de solidarité familiale qui comprend les grand- parents.
Ceux-ci assurent de plus en plus une aide financière, mais aussi renforcent les liens familiaux par la prise en charge de services essentiels tels que la garde des enfants alors que les parents sont engagés dans la vie active. C. ‘école comme instance d’intégration sociale L’école est un des principaux agents de socialisation, elle permet de crée de relations et des liens est un des principaux agents de socialisation, elle permet de rée de relations et des liens dans la « communauté scolaire », de plus grâce à la formation et à l’obtention de diplôme elle permet une intégration économique.
Cependant, les dlfficultés et les conséquences de la crise économique en termes d’intégration sur le marché du travail, la dévalorisation relative des diplômes, conduisent à fragiliser le rôle intégrateur de l’école. Il existe d’autres instances d’intégration; ainsi, la cité, comme communauté de vie constitue une instance d’intégration dans le sens où l’individu y noue des liens sociaux. Cette intégration à la cité peut aussi provoquer un repli sur soi et/ou un rejet par les autres. D. Des associations ou des 1015 existent pour permettre au individu de ne pas être exclus.
La plus grande associations contre la pauvreté en France est surement les Restaurants du cœur crée par Coluche en 1985. Cette dernière à pour but d’aider et d’apporter une assistance aux personnes démunies en leur distribuant gratuitement de la nourriture. Cette association a pour particularité d’avoir bénéficié du soutien de plusieurs personnalités françaises, dès ses débuts, t d’une vaste médiatisation, ce qui retient l’attention de la classe polltique, permet d’établir de nouvelles lois, et attire la participation de nombreux bénévoles.
Il existe la « Trève hivernale ». Pendant l’hiver, la loi prévoit qu’un locataire ne peut pas être expulsé malgré une décision d’expulsion prononcée par la justice. Ce princip ne peut pas être expulsé malgré une décision d’expulsion prononcée par la justice. Ce principe posé par le droit du logement français est néanmoins soumis à certaines conditions d’application. La durée de la période hivernale est supérieure ? elle de la saison d’hiver puisqu’elle s’étend sur une durée de 4 mois et demi.
D’autres associations existent telles que le Secour catholique, le Secour populaire ou encore l’Engagement Solidaire. Le Secours catholique est une association créée en 1946 par l’abbé Jean Rodhain. Le Secours catholique est surtout attentif aux problèmes de pauvreté et d’exclusion et cherche à promouvoir la justice sociale. Le Secours Populaire s’est donné pour mission d’agir contre la pauvreté et l’exclusion en France et dans le monde. L’Engagement Solidaire est une assoclation qui incite les ersonnes à être solidaire et à lutter contre la pauvreté.
Nous possédons plusieurs outils pour lutter contre la pauvreté et les actions se font de plus en plus nombreuses car en temps de crise, les gens ont besoin d’être aidés. Il ne s’agit pas d’une explosion de la pauvreté car la France demeure l’un des pays qui compte le moins de pauvres en Europe. Cependant c’est une affaire préoccupante qui heurte la sensibilité de tout les français et surtout car ce sont les jeunes qui deviennent gravement touchés par la pauvreté. Les outils mis en place sont là pour essayer de réduire ce phénomène.