La Tortue Et Les Deux Canard
La question de l’homme dans le genre de l’argumentation du XVIIème S à nos jours La Tortue et les Deux Canards, Jean de la fontaine (1668) Comment La Fontaine fait -il pour plalre le lecteur tout en l’instruisant ? La Fontaine a puisé son inspiration chez les fabulistes grecques, latins, orientaux, à Foccurrence pour ce texte, il s’est appuyé sur un fabuliste indien, Pilpay du IIIème siècle.
La Fontaine transfert le récit apologue en r s’agit pour lui de « fai hommes en animaux A quel genre littérair echerché) car il ait transformer les to View neKtÇEge On constate qu’il y a deux parties : partie narrative (LI -32) Mort de la tortue (L. 33-36) La forme de la fable est didactique, simple et efficace. « La Tortue » est très chronologique. Le rythme du texte suit la tortue ce qui donne un effet de surprise. Etudier l’énonciation : Le récit commence immédiatement : vers 1 à 2 avec la présence du passé simple « voulut » Nous y trouvons un rapport logique lasse de son trou »v. : la cause, « voulut voir le pays »v. 2 : conséquence. Il justifie le désir de la tortue par des exemples généraux « gens boiteux »v. 4. Il utilise plusieurs procédés d’expression avec l’anaphore et le parallélisme vers 3-4. Il met le savoir de l’humanité dans la morale. Il montre qu’il connait l’homme par les répétitions « imprudence, babil et sotte vanité et veine curiosité »v. 33-34. Il sait long sur ‘humanité et le fait dire. Il arrive à faire parler les personnages dans un récit de 32 vers.
Le discours direct v8-13 révèle des canards convaincants, ersuasifs par l’accumulation des verbes au futur « voiturons, verrez, profiterez, remarquez Ils n’envisagent aucun obstacle. Ils lui proposent un enrichissement personnel, un dépaysement total. C’est un voyage de formation. L’auteur fait une comparaison entre Ulysse et la tortue ce qui montre que la tortue à un côté vaniteux. Nous analysons le discours des canards. On remarque qu’il y a une accumulation de 4 vers au futur. Ils sont convaincants, assurés et persuasifs. Om remarque que la comparaison flatteuse « Ulysse en fit autant.. ?v. 13. L’anaphore appuie sur l’idée d’un voyage très prometteur. « La tortue » est comparée à « une pèlerine » : les canards lui promettent un voyage à dimension culturelle et ethnologique « vous profiterez des différentes mœurs « V11-13 La tortue est à la fois un animal mais dans la complexité du texte, elle a une dimensi PAG » OF d tortue est à la fois un animal mais dans la complexité du texte, elle a une dimension humaine. phrase de La Fontaine : Je me sers d’animaux pour instruire les hommes. Le style est caractérisé par l’art de l’implicite.
Le propos est bref, concis. Il explique beaucoup de chose en peu de mot (=densité) Le discours direct assimile l’animal à un être humain. En expliquant le texte, nous revoyons la technique du commentaire. V. 25 : « Miracle » : terme religieux : crédulité religieuse Une tortue qui vole n’existe pas Aucune critique de soi-même « criait-on » = enthousiasme collectif Le monde idolâtre la tortue « La Reine des Tortues »v. 26 Les passants sont crédules par leurs expressions spontanées qui représentent la pensée non-rationnelle. V. 7 : la tortue est sotte.
Elle a la tête légère. Elle croit à tout ce que les passants lui disent. Elle devient mythomane par la vanité (z aveuglement narcissique, comique ridicule). Cest une forme d’arrogance, de susceptibilité. Début de la morale : V. 28-29 : Reprise du propos d’un narrateur. Il est moqueur. Il émet une critique, un jugement moral mais discret. C’est un euphémisme « elle eût beaucoup mieux fait » ? la place de « elle a causé sa propre mort La morale : v. 32 : son manque de jugement fut la cause de sa mort. Un vers net qui conclut la