Troubles du sommeil
Troubles du sommeil C? ] Qu’est-ce que c’est ? Les troubles du sommeil sont divisés en 3 groupes principaux : Les dyssomnies : insomnie d’origine psychologique (incapacité ? dormir la nuit), insomnie d’altitude, insomnie d’origine extérieure (extrinsèque), troubles du sommeil liés à ralcool ou à des médicaments, narcolepsie. L’insomnie est une plainte fréquente du sujet âgé de plus de 60 ans. On distingue l’insomnie de début de sommeil, l’insomnie de maintien de sommeil et l’insomnie de réveil précoce. ne insomnie temporaire peut durer jusqu’à 3 emaines ; au delà, on parle d’insomnie chronique ; Les parasomnies sont des troubles du sommeil associés a to nextggge des réveils nocturnes sommeil ou altératio e sont surtout observé he- l’adulte revêtant un c comprennent le som importante du de la journée. Il ent persister chez es parasomnies s nocturnes, les troubles du sommeil associ au sommeil paradoxal, le bruxisme nocturne et l’énurésie nocturne (incontinence urinaire au cours de la nuit) ; Les troubles du sommeil d’origine psychiatrique, neurologique ou liés à d’autres maladies. [? Causes et facteurs de risque Les dyssomnies • L’insomnie chronique d’origine psychologique est due à un stress émotionnel L’insomnie d’origine extrinsèque survient à la suite d’une modification de l’environnement de sommeil (lit d’hôpital, bruit, lumière, ronflement du partenaire) ou à la suite d’un événement important (maladie, perte d’ d’un individu proche, changement d’activité professionnelle, examen) ; L’insomnie peut survenir au cours d’un séjour en haute altltude (liée à la diminution en oxygène de l’air) ; Des troubles du sommeil peuvent être liés à la prise d’alcool ou de médicaments.
Chez certains patients, la consommation de 5 tasses de café peut être responsable de troubles du sommeil. Des insomnies peuvent survenir au cours de la période de sevrage d’hypnotiques ; La narcolepsie aurait une origine génétique. Les parasomnies : La cause du somnambulisme reste inconnue ; Le bruxisme nocturne (grincements des dents) débute à la fin de la deuxième décennie et disparait le plus souvent spontanément vers l’âge de 40 ans.
Le stress semble jouer un rôle important dans la genèse de ce trouble , Les causes d’énurésie secondaire sont les troubles émotionnels, es infections urinaires, les malformations des voies urinaires et l’épilepsie. Des troubles du sommeil sont fréquemment observés au cours des affections mentales (dépression, psychose maniaco- dépressive), neurologiques (migraines, algie vasculaire de la face, maladie de Parkinson, syndrome de Gilles de la Tourette et chorée de Huntington) ou d’autres maladies (asthme, reflux gastro-oesophagien).
C? ] Causes et facteurs de risque Les dyssomnies . L’insomnie psychogène : le patient s’endort plus facilement à des périodes non programmées (lorsqu’il n’essaie pas de s’endormir) ; L’insomnie d’origine extrinsè ue il existe une augmentation du temps d’endormissement, octurnes fréquents et des PAG » fréquents et des réveils matinaux précoces ; L’insomnie d’altitude : des troubles de la respiration (pauses respiratoires) apparaissent pendant le sommeil.
Le sujet se plaint de réveils fréquents et d’un sommeil de mauvaise qualité tout particulièrement pendant les premières nuits en haute altitude ; L’insomnie liée à la prise de drogues : la caféine est responsable d’une augmentation de la latence d’endormissement, de réveils octurnes plus fréquents et d’une diminution de la durée totale de sommeil pendant 8 à 14 heures après son ingestion.
L’alcool est responsable d’une augmentation des réveils nocturnes bien qu’il augmente la somnolence et réduise la latence d’endormissement ; La narcolepsie : le patient présente une somnolence excessive au cours de la journée pouvant être accompagnée d’épisodes involontaires de sommeil pendant la journée. Elle s’accompagne de troubles du sommeil nocturne, d’une cataplexie (faiblesse musculaire brutale déclenchée par une émotion), et parfois ‘hallucinations visuelles lors de l’endormissement et d’une paralysie du sommeil (le patient ressent comme une paralysie de ses muscles lors de l’endormissement).
Le somnambulisme est caractérisé par des actlvités automatiques au cours du sommeil (se lever, marcher) ; le patient reste inconscient et ne communique pas. Le réveil est souvent difficile ; Les terreurs nocturnes surviennent pendant les premières heures qui suivent l’endormissement. L’enfant crie de façon soudaine et présente une sudation importante, une accélération de sa fréquence cardiaque et un essoufflement. Le réveil peut être difficile et l’enfant s sa fréquence cardiaque et un essoufflement.
Le réveil peut être difficile et l’enfant se souvient rarement de cet épisode le lendemain matin. La récidive est rare , Les cauchemars (anxiété survenant pendant une période de rêve) entraînent parfois des réveils complets et un rappel de cet épisode ; Les troubles du sommeil associé au sommeil paradoxal (période du sommeil où se produise les rêves) se caractérise par un comportement violent pendant le sommeil qui peut être responsable de blessures chez le patient ou son entourage.
Au réveil, le patients se souvient d’images désagréables ; Le bruxisme nocturne est un grincement involontaire et forcé des dents au cours du sommeil. Les patients ne sont pas conscients de ce grincement ; L’énurésie nocturne survient le plus souvent chez le sujet jeune. Avant l’âge de 6 ans, elle ne doit pas être considérée comme pathologique. Elle devient rare à la puberté. Il est classique de distinguer Vénurésie primaire de l’énurésie secondaire (définie par une énurésie chez des patients qui n’ont pas présenté de problème d’incontinence urinaire auparavant).
Les troubles du sommeil associées à des affections mentales Au cours de la dépression, il est courant d’observer une insomnie d’endormissement, une insomnie de maintien de sommeil et des réveils matinaux précoces. Les dépressions saisonnières (automne / hiver) se caractérisent souvent par une hypersomnie ; Dans la manie (psychose maniaco-dépressive), le temps d’endormissement est souvent allongé. [? ] La consultation Il doit être complet (examen neurologique) même si c’est l’interrogatoire du patient qui permet d’orienter le di PAGF