Le Cerveau Durant Le Sommeil Paradoxal

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Le cerveau durant le sommeil paradoxal. Différents stades de sommeil ont été découverts dans les années 50 grâce à des expériences utilisant l’électroencéphalographie (EEG) pour examiner les ondes cérébrales émises par le cerveau humain et durant lesquelles les chercheurs mesuraient également les mouvements des yeux et des membres.

L’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal est reliée à des métaboliques (qui se rapporte au métabolisme, ensemble des processus de transformation biochimique qui se roduisent dans les tissus des organismes vivants) opposés : diminution du métabolisme basal et économie d’énergie pour le sommeil lent, et mét pour le sommeil para Xat Le premier sommeil e ma considère comme la Il apparaît avec la dis t le ue durant l’éveil) mmeil lent.

On le mmeil paradoxal. ergiques(l ) de l’éveil qui libère les neurones « pacemaker » du noyau réticulaire thalamique. Ces neurones vont alors entrainer à leur rythme les neurones thalamo-corticaux qui vont induire leurs « ondes lentes » dans tout le cortex. 1)Cholinergique : qui vient de l’acétylcholine qui est une substance contenu dans un transmetteur du système nerveux.

Les populations neuronales associées à réveil, au sommeil lent et Swile to Wew next page au sommeil paradoxal fonctionnent donc un peu comme un interrupteur : l’une d’entre elle entre en activité quand l’activité dans l’autre cesse, et vice versa. Le sommeil paradoxal provient de Pinteraction entre des noyaux du tronc cérébral(2) et du pont (protubérance), des structures du système limbique(3) et des aires corticales(4). ) Le tronc cérébral est une partie du système nerveux central servant de relai entre les structures de l’encéphale et la moelle éplmere. (3) Ensemble de zones du cerveau connues pour jouer un rôle dans l’olfaction, la mémoire et la régulation des émotions. (4) Une aire corticale correspond à la zone motrice ou sensitive du cortex c’est à dire à une zone d’arrivée et de départ de fibres nerveuses motrices ou sensitives. Ce sommeil paradoxal présente des caractéristiques remarquables ainsi que des mécanismes qui ont pu être identifiés.

C’est le cas des mouvements oculaires rapides qui suwiennent lors d’un rêve, l’action contenue dans celui-ci entraîne des signes visibles pendant la période de sommeil. Autre caractéristiques singulière de ce sommeil : la paralysie quasi-totale du corps, qui résulte d’une activité nerveuse intense, excitant ainsi la grande majorité des neurones corticaux. Ces neurones entrainent des séquences d’activité commandant les mouvements du corps, mais dans ce cas présent seul les muscles respiratoires, oculaires et ceux de l’oreille intern 2